Trump présent, pour le centenaire de l'armistice de 1918, c'est
Trump présent, pour le centenaire de l'armistice de 1918, c'est
Le 10/11/2018
Il a annulé sa visite, dans un cimetière americain..... A cause de la pluie.
Dommage, d'afficher un tel mepris, pour l'histoire de son pays, et les liens, pourtant veritables, qui se sont tisss, pendant la seconde guerre mondiale. les vetarans apprecieront.
On aurait pourant pu lui fournir des bottes, "le chameau", islamophobe, comme il est, ça aurait "le pied".
A la place, j'espère qu'il a saisi l'opportunité de se rendre au Musée dorsay, pour le visiter... Puisqu'il y graille, en soirée. Non, mais je veux dire, "il aurait pu apprendre des trucs", comme on dit.
Et puis la notion d'impressionnsisme le concernant, c'est interressant, parce que ça induit, sur le plan pictural, la notion de nuances, de dégradés, de ressenti, qui sont autant de subtilités, dans la palettes d'un artiste, d'où l'expression de "nuancier", d'ailleurs, qui sont autant de facettes, qu'on devrait être à même d'appréander, en temps que politiques, et qu'on est sensé s'interresser à l'âme humaine.
Enfin, délicate intention, de la part de d'Emmanuel Macron, qui l'invitant au Musée d'Orsay, pourra lui expliquer, d'une part, que c'était une gare, avant, la gare d'Orsay, les chemin de d fer, devant être considérés, en principe, comme une des formes d'antidote aux gazs à effet de serre provoqués par les émissions de CO2, et les énergies fossiles.
Ensuite, il va pouvoir lui expliquer, la raison d'être du mot IMPRESSIONNISME, qui vient du tableau "impression au soleil levant"de Claude Monet, là, où deja, les machines à vapeur, commençaient deja à polluer l'air du Havre, à l'époque.
Ce tableau, non seulement, à l'origine du mot "impressionnisme", ayant été, sans qu'on en ait conscience, jusqu'à aujourd'hui, déja, à l'époque, l'expression de la pollution atmosphérique, qui nourcissait aussi, et noircit encore, l'ensemble de nos monuments.
Je suis sage, j'ai l'honnêteté, de reconnaitre mon incompétance.
Tout que je vois, ce ne sont que des puissants, qui instrumentalisent la religion, pour satisfaire leurs égos personnels, au detriment de l'humain.
Je ne sais pas s'il existe un dieu, quelque part, objectivement, je veux dire, chacun, en son âme et conscience, est libre, contrairement à ce que prétendent certains, d'y croire, ou de ne pas y croire, et surtout, de lui donner le nom qui l'arrange, mais une chose demeure certaine, en tout cas, c'est q'une fois qu'ils auront avalé leurs bulletins de naissance, quelque soit la condition de leur trepas, que je leur souhaite la moins douloureuse possible, malgré tout, si tant est que dans leurs pays d'origine, il aient bénéficié de la reconnaissance d'être humain, parce que tous les bébé n'ont pas cette chance, et s'il existe une Justice, là haut, je ne donne pas cher, du sort qu'il leur réserve.
Il y a environ une vingtaine d’années, l’école du village que nous habitions, dans une vie antérieure, avait organisé un jumelage, avec un village, non loin du lac d’Annecy, plus précisément, Argonay.
Nous avions fait l’échange, physique, je veux dire, eux avaient dormi chez l’habitant, c'est-à-dire les parents d’élèves, et nous, aussi, par voie de conséquence, chaque élève, ayant un correspondant, dans la classe du village.
A cette époque, internet, était encore dans l’œuf, ou en tout cas, pas encore répand, au point, que dans une école, on puisse en être équipé.
La question, que certains se posent, alors, serait de savoir, si l’expérience serait aussi enrichissante, aujourd’hui, la réponse relève de la v certitude, ABSOLUMENT.
Plus encore, je dois préciser, précisément, parce que l’idée reçue, qui voudrait, qu’internet, par la vidéo live, skype, etc, tuerait la magie de la rencontre, est fausse, parce que rien, jamais, ne vaudra, la réalité d’une rencontre ? « dans la vraie vie ».
Michèle, femme au foyer, et qui faisait, comme moi, du bénévolat, dans le milieu associatif, nous avait reçues, ma fille ainée et moi, son mari, ingénieur aux eaux et forêts, ils habitaient un chalet, en pleine forêt, avec vue sur le montagne, et leur parc à daim. (le mari de la daimne ?).
Enfin, le rêve, quoi.
Evidemment, on refaisait le monde, parce que j’ai pas attendu ni de péter les plombs, ni d’inspirer des gens, ou des décideurs, pour a voir envie, de mettre ma pierre à l’édifice.
Déjà, et oui, jeune maman, j’étais une chieuse, qui fourre son nez partout.
Parlant de choses et d’autres, elle, m’expliquait, qu’un jour, je ne sais plus dans quel contexte, dans le cadre associatif, elle avait eu l’occasion d’organiser un repas, préparé exclusivement, par les femmes, mais je ne me souviens plus, de quel pays arabe, elles étaient originaires.
Mais ce qui l’avait particulièrement marquée, c’était qu’elle avait ressenti, la charge émotionnelle, absolument incroyable, et particulièrement palpable, due au fait que ces femmes, n’étaient absolument habituées, au fait de sortir de chez elles, qui plus est, dans une démarche, où précisément, leur identité culturelle, était ainsi, mise en valeur….
On leur avait demandé, A ELLES, qui ne sortaient que peu, de s’en charger.
Ce qu’elle m’avait expliqué là, je dois dire, m’avait beaucoup touchée, et m’est toujours resté en mémoire.
J’ai mis ça de côté comme on dit, en me disant, « un jour, j’en ferai quelque chose ».
Cette histoire, remonte aux années 70 environ, environ.
Aujourd’hui, une démarche identique, de la part des féministes, à juste titre, prêterait à interprétation, parce qu’elle serait perçue, comme sexiste, reléguant les femmes arabes, derrière les fourneaux exclusivement, c'est-à-dire, là, où précisément, elles aimeraient qu’on ne les voient pas que elles, exclusivement.
Ou si vous préférez, on courrait le risque, d’être perçus, comme antiféministes, risque que je ne prendrai pas.
Je veux dire, que ma démarche, ne tend pas, pas plus que ne l’était la démarche de mon amie, à être antiféministe.
Non, mais ce que je retiens de cette expérience, si émouvante, réside dans le fait, que c’est dans ce cas précis, par le vecteur de la nourriture, et du « manger ensembles », que l’intégration se fait.
Alors, qu’aujourd’hui, comme certains l’avaient prévu, dont moi, il y a environ 15 ans, on voudrait nous faire gober, que le phénomène migrant, serait un problème, là où il est en vérité, une incroyable opportunité à saisir, je me suis dit, qu’il fallait agir.
Certes, il n’est pas question, pur moi, de saper, le reps annuel, de telle association culturelle, émanant de telle, diaspora, régionale, ou nationale, auquel je n’ai d’ailleurs jamais participé….
Pourquoi, au fait ?
Et bien parce que vous écrivant ces lignes, je suis sous curatelle, toujours, et que financièrement, je n’en ai jamais les moyens, sinon, j’y viendrai, d’office.
Je précise, parce qu’il existe des associations locales, prés de chez moi, et qu’elle pourraient penser que je marche sur leurs plates bandes .
Surtout pas ! L’un n’empêche pas l’autre.
Quelqu’un qui émigre, comme on le sait tous, émigre aussi, avec une culture culinaire, qui lui est propre. Des que des migrants arrivent, et sont acceptés, pour vivre sur notre territoire, il émerge certains d’entre eux, qui souhaitent cuisiner, et en vivre.
Certains, au point d’ouvrir leur food truk.
Il y a quelques semaines, j »tais allée rouler ma bosse, à paris, place de la République, où la ville de Paris, avait organisé une manifestation, un week end entier, pour donner l’occasion à ces food truk, de proposer leurs cuisines, aux parisiens.
J’avais trouvé cette idée géniale.
A renouveler, ça va sans dire, et à multiplier ? ailleurs.
Dans quel contexte, et où, c’est une autre histoire, à laquelle, on doit réfléchir.
Mais en ce qui me concerne, j’y vois surtout, une occasion rêvée, de mettre en pratique, l’idée selon laquelle, un restaurateur, ambulant, puisque c’est ça, un food truk, eut parfaitement fournir, la logistique, « colorée de sa culture », l’association, elle, étant chargée, d’une part, de répertorier, les food truk, de veiller à ce que l’éthique de la démarche, venant de chacun, soit conforme à la culture qu’il revendique, mais aussi, de veiller, justement, au lieu d’accueil, où le repas, sera servi.
Ce que je veux dire, c’est que le nomadisme culinaire, peut aussi, donner l’occasion incroyable, de proposer, une activité culturelle, dans certains villages, par exemple, qui voient leur vie culturelle, un peu poussive, par manque de bénévoles, (je sais ce que c’est), qui voient leurs petits commerces, boulangeries, épiceries, cafés, fermer, les uns après les autres, dans l’objectif que j’assume, aussi, d’apporter un peu de sang neuf, dans des villages, ou petites villes, qui ont le sentiment, d’être les oubliés, de la République.
Ce qui m’importe, aussi, je dois admettre, c’est de donner l’opportunité, à ces professionnels, parce que je souhaite que ça ne soit que des professionnels, de la restauration, et pas des bénévoles, qui s’y collent, si possible, puissent bosser, en mauvaise saison, sachant, que le principe, du food truk, réside, dans le fait, que les gens, mangent en plein air, à proximité, avec éventuellement, quelques chaises, et table, installées sur place, mais EN PLEIN AIR.
Avec cette formule, tout sort du food truck, sur le plan matériel, et professionnel, mais c’est uniquement, le lieu de consommation, de la cuisine produite, qui apporte l’opportunité pour le consommateur, de manger, et de profiter de son repas, dans des conditions matérielles, plus confortables.
Je tiens à ce que ce soit, des food truk, précisément, pour le côt nomade, qui me semble important.
Ensuite, pour le côté professionnel, qui impose, des normes de sécurité, mais surtout, pour donner la plus grande crédibilité, à la valeur culturelle, de la cuisine proposée.
L’association, bien sûr, (MOI, EN L’OCCURANCE), sera chargée, d’une part, de dénicher le food truck, prendre contact avec lui, le rencontrer, voir si le courant passe (parce que sinon, ça le fera pas !), voir son histoire, rédiger une bio, afin de le présenter.
Afin, que faisant le lien, avec des villages, les associations, les salles, ou pourquoi pas, les restaurateurs, qui souhaiteraient mettre à disposition leur salles, puissent se faire.
Au sujet du nom.
Pour moi, culturellement, le pot au feu ? c’est juste SACRE….. Mais sacre, à un point que vous ne soupçonnez pas.
C’est un plat rural, et modeste…. Tout est dit.
On a un potager, on fait un pot, et on le mange, pendant plusieurs jours.
Le bouillon, pour ma part, j’en congèle une partie, dans des bocaux(remplis aux deux tiers), pour faire des soupes, ou pour cuire des pâtes, nouilles en lettres, vermicelle, cheveux d’anges, ou autres.
Si je trouve important, de donner ce nom, à cette association, c’est précisément, pour appuyer sr le fait, que notre culture, y compris, donc, notre cuisine, puisqu’elle en fait partie, s’est enrichie, au fil des siècles et au fil, des voyages, aussi, des découvreurs, qui ont introduit, tel légume, ou tel autre.
En somme NOTRE POT AU FEU, s’il n’était in finé, que la somme de ce mille feuilles salutaire, de ces diverses cultures, nous n’aurions à nous mettre sous la dent, ni chou, ni pommes de terre, ni poireaux….
Et pour conclure, tien, je vous recommande, à nouveau, l’émission, de France inter, « on va déguster », de François Régis Gaudry, à qui je demande officiellement, d’être le parrain.
Alors, je sais, certains me diront, « mais puisque c’est ainsi, pourquoi, ne pas prévoir, aussi, des artistes, qui correspondent à cette culture, et à ce pays d’origine… »
Oui, je sais, j’anticipe.
Paris et Rouen, ne se sont pas fait en un jour .
On commence, déjà, par mettre sur pied, le côté strictement, culinaire, à petite échelle, on observe, ou met en pratique, et ensuite, on verra en corrigeant, ce qui peut ne pas fonctionner, et petit à petit, on y pensera, mais pour l’instant, ce qui importe, c’est que ça voie le jour.
Un détail, encore, et là, je m’adresse aux restaurateurs, en particulier.
Je sais que pour certains, les temps sont durs, quelquefois, relativement à la baisse du pouvoir d’achat, et donc, des répercussions sur le nombre de clients, en salle.
Cette idée, peut offrir l’opportunité alors, de modifier, quelque peu l’image, de certains établissements.
A méditer.
Ça n’est pas de bénévolat, dont je parle, je le rappelle.
Le seul bénévolat, éventuellement, ne serait que dans mon travail de coordination, des différents acteurs de l’ensemble de la démarche.
30 janvier 2019.
"The greatest show", à la halle aux grains, à Pavilly.
Presentation du feuillet, du festival de contes, 2018, à FRESQUIENNES.
"Née à Ljubjana, en Slovénie, Spela Pahor a fait des études d'ethnologie et d'anthropologie, qui l'ont conduite à collecter des histoires de conteurs d'Istrie.
Conteuse elle même, depuis 1996, elle raconte aussi, en kamishibaï, traduit des contes traditionnels, et a publié plusieurs ouvrages, dont des récits de vie d'habitants de Piran".
Pour commencer, j'ai été en admiration, devant le challenge que représente le fait de parler en conférence, ou conter, dans une langue qui n'est pas la sienne, et on sait tous à quel point le français est une langue difficile.
Ensuite, au delà du fait, que ses prestations, étaient aussi interressantes qu'agréables, je tiens à préciser une chose.
Depuis plusieurs années, depuis que ces provinces de l'Est de l'Europe, sont devenues indépendantes du bloc communiste, on assiste quelquefois, à une forme de récupération politique, de leurs cultures personnelles, par les extrêmes droites.
J'avais entendu, que dans le cadre de certaines fêtes régionales, cette récuperation était bien réelle. Je ne sais si ça se produit encore, aujourd'hui.
Mais il est important de prendre conscience, que ce qui fait la culture d'une région, ou d'un pays, n'a pas lieu d'être interprété de telle sorte qu'elle cloisonne l'opinion, dans une forme de schlérose culturelle, qui n'aurait pour seul objectif, que de nourrir des intérêts particuliers, si l'on observe que toujours, les extrêmes droites européennes, instrumentalisent leur culture, pour tenter d'éjecter, la moindre chance de s'enrichir d'autrui, comme un terreau malsain, qui serait déséquilibré, dans sa composition finale, et impropre à "la culture".
Vous doutez ?
Un jour, dans mon ancien jardin, pour une raison que j'ai un peu oubliée, je dois avouer, mon tas de compost avait reçu, les cendres de la cheminée, en quantité anormalement élevée.
Nous avions pourtant retourné le matériau, de façon qui semblait physiquement, satisfaisant....
Une fois utilisé ce compost rien ne poussât. Aucune graine, ne germât.
De la même façon, entretenir une culture traditionnelle, en l'instrumentalisant de telle sorte qu'elle soit une entrave au sang neuf, venant de l'extérieur, est aussi stérile que le terreau dont je viens de vous parler.
Si je ressens le besoin de vous parler de cette conteuse, c'est pour une autre raison, aussi.
Les témoignages des histoires qu'elle nous a racontées(oui, je sais, pour l'accord, mais je persiste), ont été collectées, sur une base strictement orale.... Et que j'ai en mémoire, d'avoir travaillé sur ce sujet, en ce qui concerne, certains pays d'Afrique, qui bénéficient eux aussi, du fait que cette culture, ne se transmette que de façon orale.
Il importe alors, absolument, et je ne crois pas que ce soit la trahir, de la transcrire, de façon ecrite, aussi, et si possible, indépendamment (on ne sais jamais), de l'nformatique.
Belle reflexion. En effet, difficile de nier le courage absolu, et l'abnégation de Theresa Mey, sur ce coup là. J'entends que l'opposition aimerait la voir partir, "le califfe, qui prende la place du califfe".. Classique, je dirai, mais il y a juste un problème, c'est de se demander comment gèrerait, un éventuel remplaçant...
Le problème, comme c'est dit, ça n'est pas Theresa Mey, mais bien, le brexit.
Ensuite, si je n'aime pas, par principe, le referendum, (on voit à quoi, ça mène), parce que je trouve que c'est de la part d'un politique, une forme de dégagisme, équivalent à une forme de lâcheté, et même si ça ne signifie pas que je condamne en bloc le procédé, j'ai expliqué, il y a quelques jour, la métaphore du mauvais chemin...
Quand on empreinte un mauvais chemin, qui nous mène en haut de la falaise (je vous rappelle, que j'habite en pays de Caux, alors, c'et vous dire, si je m'y connais en falaise, avec la Manche, je fais coucou à ma fille, au passage, et oui, j'ai le bras long, pour qu'elle puisse m'apercevoir), le seul moyen pour rebrousser chemin, (enfin, sauf pour moi, qui un jour, suis un colibri, et le lendemain suis une abeille, il n'y a qu'à voir ma taille de guêpe, pour s'en convaincre), c'est bien de faire machine arrière, et pour faire machine arrière en toute sécurité, il n'y à qu'en reprenant, le chemin dans l'autre sens, et donc, refaire un référendum.
On m'a appris, hier soir, que Theresa Mey, aurait évoqué, une annulation pure et simple du brexit. Je parle au conditionnel, parce que je n'en retrouve nulle trace, ce matin.
Pour les pro brexit, qui aurait ce matin, une énorme crise d'urticaire, je compatis, voyez donc...
Je rappelle simplement que la campagne qui a précédé le référendum, à été entièrement pollué de fake news, venant on le sait, à présent, de Russie, qui avait eu, pour ambition de tronquer, cette élection, afin de tenter de bousiller, l'Europe...
Je pense que l'intoxication émanant de poutine, sur les scrutins européens, dans chaque etat, n'a que trop duré.
On nous parle d'armement, et de conflits armés, dont les plus pauvres et les plus demunis, font toujours, plus que jamais les frais.
Mais les véritables incendies, aujourd'hui, au delà, de Notre Dame de Paris, concernent les Démocraties, dont certaines se trouvent mises à rudes epreuves, à cause de cette toxicité, venant de Russie...
On dit, qu'un pot en terre, une fois réparé, peut laisser passer la Lumière, ce dont je suis intimement convaincue...
Gageons que les démocratie, sont faites de tissus, une bonne toile de lin, peut être, ferait l'affaire, egoïstement, je pense à la Normandie, nous qui en produisons tant.
Avant que je ne naisse, ma grand mère, était couturière.
Son mari, pour la taquiner, prenait le tissus, et le mettait devant l'éclairage, et se moquait d'elle, parce quon pouvait voir la lumière au travers.
A défaut de cassures, et de pot fêlé, je vous propose alors, la métaphore, du patchwork... On voit bien, aussi la lumière, au ravers du patchwork, non ?
C'est d'autant plus adapté, (le patchwork, est originaire des USA), quand on observe, les ravages que Trump, laisse sur son passage, et nuit à la réputation de son pays, sur le plan international.
Pour les déboires du bonhomme, "qui sème le vent, récolte la tempête".
Ce matin, sur France Inter, on nous expliquait la situation juste catastrophique, au Royaume Uni, sur le plan de la santé, "sans parler du reste", je veux parler, par exemple, de l'éducation.
Ces couillons de pro brexit, aussi stupides, qu'irresponsables, ont plongé leur pays, Boris Jonhson, en tête, dan la chaos le plus total, faisant croire comme partout, où ils sévissent, que la détresse sociale, ne pouvait être que la conséquence, du phénomène migrant...
Comment, vous dites ?
Je caricature ?
Non, je ne crois pas., j'ai parfaitement en mémoire que les régions les plus touchées par le chomage, ont vu le fait de voter pour le brexit, comme un moyen de taper un bon coup sur la table, qui ne risquait, pas d'être celle des négociations,en tout cas, avec un crétin décérébré, tout juste capable de faire du sous trump, c'est vous dire.
En dehors, d'un malencontreuse similitude, côté coiffure, pour servir de diversion, peut être ?
Au lieu d'un renard mort, outre atlantique, on a la version britanique, à présent, avec pour seule nuance capillaire, que l'autre rougeot, aux USA, vide une bombe de laque, pour que ça tienne (vive les tempêtes, quand il sort de l'avion), là, où sa progénitude idéologique fait l'économie d'une apparence capillaire, que je qualifierai de f brousailleuse"....
Qu'il fasse attention, au incendies de forêt, surtout....
S'il cherche à se donner des airs, de liberté et d'innovation, de façon parfaitement intentionnelle, qu'il sache que les friches, qui font si peur, à la présidente de la FNSEA, en France, si elles sont blondes comme les blés, outre manche, ça ne signifie pas pour autant que les neurones, qui se trouvent dans sa caboche, à quelques centimètres au dessous, trouveront comment, sortir le Royaume Uni, de l'ornière.
Je l'aurai cru plus subtile, mais il est en vérité, aussi bête.... Et ceux qui ont voté pour eux, à la solde je le rappelle, de Poutine, via ses usines à clics, en ont aujourd'hui pour leur frais, parce que rien, absolument rien, n'est résolu, bien au contraire.
La seule, qui a perdu l'occasion d'y mettre son grain de sel, des le début, que cet urluberlu est apparu, c'est la Reine Elisabeth.
Certes, elle est sensée, ne pas s'imiscer dans la politique, en tout cas, de façon officielle...
Mon sentiment réside dans le fait qu'il eût été plus profittable, qu'elle mette les pieds dan le plat, bien en amont, pour comme on dit chez nous, "secouer le cocottier", avec le référendum, avec un peu de chance, le résultat, eût été sensibement different... Oui, je sais, ça n'aurait pas été très orthodoxe... Poutine qui manipule les opinions, dans les pays occidentaux, avec ses usines à clics, ça n'est pas d'aventage orthodoxe, que je sache, et pourtant, ça n'est là que la stricte vérité.
Ce qui me perturbe, je dois avouer, c'est qu'on ne cesse à intervalles réguliers, et à juste titre, de nous dire que l'histoire peut être, serait en train de se répéter...Alors, si je ne suis pas une experte en histoire de l'Europe, je crois me souvenir, que pendant la seconde guerre mondiale, c'est bien grâce au Royaume Uni, que la resistance française, s'est distinguée...
Est ce que par hasard, la Reine Elisabeth, aurait perdu elle, la mémoire, je ne comprends pas pourquoi, elle ne tape pas, un bon coup de poing, sur la table.... De toute façon, là, au point, où ils en sont.... Une poule SUSSEX, n'y retrouverait pas ses pousins.
Alors que dorénavent, le brexit est acté, et qu'il va bien falloir l'assumer, les répercussions politiques, n'en deplaise à Boris Jonhson et à ses partisans, sont bien loin d'être résolues.
Parmi celles ci, le courant separatiste écossais, qui à présent, donne à nouveau de la voix, là, où parmi les ecossais, certains indécis qui avaient voté contre le séparatisme, parce que leur esprit optimiste leur avait fait estimer, que de toute façon, le brexit ne se ferait jamais "finalement", et que donc, la sortir de l'Europe de l'Ecosse, pas d'aventage...
En gros, bon an mal an, c'était superflu, de revendiquer l'autonomie, et qu'il n'y avait pas le feu au Loch Ness.
Et puis voilà que le vent tourne, et que finalement, il aura bien lieu, et on se rend compte alors, que le brexit avec les repercussions, face l'Europe, il va bien falloir s'en accomoder.
Un mot, cependant, sur le séparatisme.
Car j'ai sur ce point, un jugement, qui peut étonner.
Si l'on observe la carte du monde, on réalise, que plus un état est petit en superficie, et plus, statisitiquement, il devient un paradis fiscal...
Et oui, il faut bien trouver le pognon quelque part, et des qu'une entreprise est en échec, qui postule pour la racheter, et la faire disparaitre ?
A 75 %, voir plus, une multinationale, qui généralement, ne le fait, que pour en conserver quelques brevets, puis foutre tout le monde dehors, illoco presto...
Oui, je sais, je caricature un peu, mais en gros, je ne suis pas loin de la vérité.
Comme les multinationales jouissent, d'une zone tellement grise, en droit international, au point que je les appelle, depuis lontemps, des "pieuvres opportunistes", en gros, elle font leur marché, bon an, mal an, et ouvrent, et ferment, leurs filiales, un peu comme si, sur un coup de tête, je decidais d'ouvrir ou de fermer mes volets, dans l'hypothèse ou ma maison, en aurait.
Que l'Europe ait une lecture un peu douteuse de la notion, de paradis fiscal, est le moins que l'on puisse dire, sachant, que ce que l'on nomme "les bons éléves", seraient ceux, qui font le mieux la risette, plus qu'autre chose, personnellement, j'ai de gros doutes.
Que le Royaume Uni, à present, soit en voie de le devenir, pour moi, releve simplement, d'une logique implacble, parce que le mnque à gagner, il va bien falloir, aller le gagner ailleurs, que ce qui etait jusque là.
Si je fais un lien, avec la superficie des états concernés, c'est que j'ai remarqué, et je ne suis pas la seule, c'est que si l'on observe les etats concernés, on remarque, que c'est effectivement le cas, d'une part, mais aussi, que ce sont eux, qui hebergent, les sites qui servent à couvrir, les escroqueries, de toute sorte.... Sur internet.
Il suffit de superposer les deux cartes, pour l'observer, alors, c'est pas compliqué, et ça n'est certes pas Europol, qui risque de me contredire.
Si j'explique celà, c'est pour signifier, qu'en matiere de séparatisme, si je suis plus que méfiante, en ce qui concerne la Catalogne, par exemple, pour les raisons expliquées plus haut, l'Ecosse, elle, ne répond pas à cette specificité, quand à sa superficie....
Il existe ensuite une autre répercussion qui est tombée, il y a quelques jours, en ce qui concerne le "séparatisme", du fils Harry, vis à vis de la royauté.
La reine mère, est dans tous ses "états"....
Tu m'etonnes, John......
Si elle avait tenu son rôle, des le debut, de la menace du brexit, jamais, aujourd'hui, il ne serait acté, comme il l'est.
Certes, ma lecture est bien personnelle, je le reconnais.
J'entendais que les commentateurs, que ce soit ici, en France, ou que ce soit outre Manche, expliquaient que telle que la constitution était fichue, en Angleterre, elle avait un devoir de neutralité, vis à vis du pouvoir....
Pendant le seconde guerre mondiale, son rôle fût pourtant fondamental, pour venir en aide au continent européen, à l'époque, où la Queen, elle en a vait dans la culotte...
Helas, on ne vieiellit pas sans se ramollir, et la Queen en question, a largement perdu, de sa superbe....
Enfin, en dehors de ses magnifiques chapeaux, et ses tenues, je veux dire.
Car si dans les fait, elle avait un devoir de neutralité, en temps que simple citoyenne, elle était en droit de donner son point de vue, point de vue, qui aurait pesé, bien au delà de ce que les instigateurs du brexit, auraient soupçonné...
En attendant, elle pleurniche, là, de voir son petit fils, se faire la belle, avec sa belle, si ispanique d'origine soit elle, ce qui me fait penser, que sa décision est bien loin, d'être anodine, et au contraire, en dit bien long, sur le non dit, particulierement altruite, de la jeune femme, qui aurait bien des choses à raconter, sur la soit disant ouverture d'esprit de la Queen, et qui ne peut, je le soupçonne, que se touver plus qu'interloquée, par le fait que cette soit disant neutralité de la Queen sur le brexit, quand il en était encore temps, lui signifiait, à elle, en temps qu'ispanique, le même rejet, qu'elle peut observer, vis à vis des migrants, qui souhaiteraient rejoindre leurs familles, sur le sol britanique....
L'opinion des angalis, à son sujet, pour certains d'ailleurs, en dit long...Demandez leur donc, à ceux qui la denigrent, ce qu'ils pensent du brexit, et vous verrez, vous ne serez pas déçus....
En gros, la Queen récolte, ce qu'elle a semé, c'est à dire, la lâcheté dont elle a fait preuve, ces dernieres années... Comme quoi, toute Qeen qu'elle est, elle en prend pour son grade, et dans son cas, c'est pas peu dire....
Ho, dites donc, vous savez quoi ?
Alors, que j'écrivais à ma fillotte, numéro 2, hier, qui vit à Brighton, enfin, dans la banlieue, je réalisais, que c'était dans le SUSSEX... Trop drôle, non ?
Cécidément, ce livre, sur l'aviculture, il va bien finir par sortir, non ?
Bisous, à mes deux poulettes, outre manche. Le colis arrive, jusqu'à preuve du contraire, le brexit n'interdit pas encore, que je vous envoie un colis, ha ha ha ha.
Je suis extrêmement en colère, ce matin, parce qu'on me bloque le moteur de recherche, interne à mon site internet, alors, que personne ne devrait s'y sentir autorisé.
C'est vrai que ça fait 5 jours, que j'attends, que l'UDAF, me verse mon argent mensuel, et que considérant, que "ventre affamé n'a pas d'oreille", comme on dit vulgairement, ce matin, "je ne suis pas facile à traire".
Pour mon argent, oui, merci, j'ai alerté ma fille ainée, j'ai alerté mon avocat, j'ai lalerté l'UDAF, j'ai remué ciel et terre, bien sûr, comme il se doit, y compris la juge ces derniers temps, par ecrit, et si hier, c'est le café du village (merci, Cécile, qui m' a avancé deux timbres postes, et une enveloppe, pour poster la lettre à la juge, et mon travail sur la tutelle), et merci, encore, pour le repas gratuit, et la boulangère, pour les deux pains au chocolat gratuits..
OK, j'ai bien compris, pour la solidarité au sein du village, MERCI ENCORE.....
Désolée, hein, si je lave mon linge sale en public, mais franchement, quand je remue ciel et terre, pour me faire respecter, et que je vois que rien ne bouge, je ne vois guère ce que je peux faire de plus, alors, je n'ai pas le choix.
Ce matin, donc, j'avais l'intention de vous parler de l'émission, du "téléphone sonne", sur France Inter.
Vous pouvez réécouter cette émission, en suivant ce lien:
Pour ce qui concerne Bayeux, et ce mémorial, consacré aux reporters de guerre, j'étais allée le visiter, il y a quelqus années, un été, j'ai même fait quelques vidéos, sur le sujet, et redigé des articles, aussi, je suppose, si vous parvenez à remettre la main dessus.
Desolée pour le jeu de mots, mais je n'ai pas pu résister.
Je viens de tomber sur un article, qui tend à démontrer, que cette loi nouvellement promulguée par le gouvernement, ne fait pas l'unanimité, c'est le moins qu'on puisse dire.
mais j'ai quelques autres commentaires à faire passer, au sujet des HLM.
En dehors du fait, que certains logments, largement amortis, soient mis en vente, et qu'il est prifittable, pour certains locataires, de les acheter.
Je précise, ou plutôt, je rappelle que certains logements où les enfants sont partis, se trouvent toujours occupés, par des personnes, dont le nombre de chambres, n'est plus adapté, au nombre de personnes composant le foyer, et si je comprends fort bien, l'attachement de ces locataires à leur logement, je vois moi, l'intérêt d'autres familles nombreuses, qui sont en attente de logements adaptés, et dont les enfants dans une situation de précarité, souvent, si l'on observe la situation sociale, en subissent les conséquences.
Car on a beau dire, et beau faire, la suituation ideale, pour elver un enfant, demeure bel et bien, qu'il ait sa chambre personnelle.
Je le sais d'autant plus qu'enfant, je n'ai pas eu cette chance.
Dans une vie anterieure, quand mon ex et moi, avons eu trois enfant, nous a vions vendu, notre maison, au seul pretexte que nous attendions, le troisième enfant, et qu'à mes yeux, le simple fait, que nous ayons, trois enfant, à lui seul, justifiat, qu' vende, pour faire construire une maison, où chacune d'elles, aurait sa chambre.
Ce problème se pose aussi, dans le privé, quand dans une zone pavillonnaire, les enfants sont partis de la maison, et que la population vieillit.
Mais je considère que les offices HLM, ont pour mission contre subvention, je le rappelle, d' apporter des formes de logements, qui soient adaptées à la population, et qu'à ce titre, en aucune façon, quelque locataire que ce soit, n'est droit d'exiger de demeurer dans un logement, quand parallèlement à celà, des familles, pour lesquel ces logements conviendraient, vivent dans des trois pieces, "dans le meilleurs des cas".
Parce que chercher à faire un travail constructif en banlieues, c'est aussi, voir le logement sous cet angle.
Je précise, d'autre part, que j'experimente un systême sur le pan bancaire, au sujet de la precarité sociale, qui pourrait peut être, être susceptible de faire bouger les choses, il faut aller lire ce qui suit.
Je suis moi aussi, pour que le problème de l'Aquarius, trouve une issue sous cette forme.
Je rappelle, pour le cas où certains l'auraient oublié, que bon nombre des problèmes que nous rencontrons, aujourd'hui, peuvent trouver une issue, par l'intermédaire de ces personnes, qui au delà, de leur situation de detresse, sont assez souvent des étudiants, des diplomés, qui ne demandent qu'à retrouver un emploi.
Quand à l'attitude du Panama, qui se couche, litteralement, devant l'Italie, comme une véritable carpette, je trouve ça vraiment honteux, et pitoyable, mas il est vrai que comme la Suisse, ou d'autres paradis fiscaux, on ne peut en attendre d'aventage.
Oui, je sais, je suis bien chiante, n'est ce pas, avec ces histoires de paradis fiscaux, mais enfin, soit on lutte contre, afin de garantir, dans chaque pays, un minimum d'humanité, pour avoir un systême de santé, digne de ce nom, et une protection sociale acceptable, soit on considère que l'argent n'a pas d'odeur, et on fait preuve de complaisance, vis à vis de l'exil fiscal, ou de la mafia, c'est selon... Mais on ne peut pas être à la fois, au service de l'argent, non pas comme moyen, mais comme objecif exclusif, et parallelement, se revendiquer comme fonctionnant, sur des valeurs européennes, il arrive juste un moment, où il faut avoir le courage de choisir.
Plus que jamais, desormais, les femmes sont les plus vulnerables, face aux evolutions que connaissent les sociétés contemporaines.
Pourquoi ?
Parce que quand sevit le chômage, elles trinquent elles, et les enfants, plus encore que les hommes.
Un homme qui vit seul, et qui est SDF, se trouve moins en danger qu'une femme. Si elle fait la manche, par exemple, pour simplement s'cheter à manger, on lui propose de "monter", sans le moindre complexe.
Je sais ce que c'est parce que ça m'est arrivé.
Rarement, qu'on se rassure, mais ça m'est arrivé. il y a longtemps, alors, je connais.
D'ailleurs, c'est enrichissant, sur le plan de l'expérience, parce qu'une femme qui fait la manche, ne peut que constater qu'elle se voit "donner", infiniment plus par les autres femmes, qui sont solidaires, que par les hommes, qui observent plutôt une proie potentielle, inutile, je crois, que je developpe.
On est même pas dans le problème de harcelement, là, on est bien d'accord.
Cet apres midi, deux emission, "ça commence aujourd'hui", avec quatre cas particuliers, ont traité de ce sujet.
Si je parle de ce problème particulièrement, c'est pour pointer du doigt, le fait qu'une femme qui se sent en danger, n'a pas le choix, pour partir, le plus souvent, à plus forte raison, si elle ne travaille pas, puisqu'elle est dependante, financièrement.
Il est bon de noter que le plus souvent, je l'ai precisé dans les commentaires, beaucoup d'entre eux, sont des pervers manipulateurs, ils tissent leur toile, savamment, posant l'épouse, ou la compagne, en situation de dépendance notamment, financière quelquefois.
Mais surtout, en temps que tels, ils sont tres forts, pour donner l'apparence que "tout va bien", à l'entourage, et les familles, ainsi que les amis, à aucun moment, ne soupçonnent quoi que ce soit, au point que si la victime ose parler, ou se confier, il apparait que le plus souvent, comme un enfant, qui révèle qu'il est victime de viol, elle n'est pas crue.... Pour être franche, j'ai été surprise, que dans le cas des violences faites aux femmes, il existait aussi, une telle omerta.
Moi, il y a quinze ans, pour me protéger, mon psy m'a suggéré, de me faire interner, non pas, parce que j'en avais besoin, mais ben parce que c'était la seule possibilité, pour me trouver un endroit où loger, puisqu'il n'y avait aucune association, ni aucune autre alternative.
Je precise que mon mari, n'a jamais levé la maisn sur moi, mais il me sentait en danger.
Ayant posé la question, à l'assitante sociale de Pavilly, il y a encore quelques années, elle me disait que rien n'avait bougé encore, sur ce point.
Il y a quelques années, une solution avait été envisagée, qui consistait à virer le mari violent, et que la femme battue, reste dans les murs. Si ça partait d'une bonne intention, cette alternative, induit alors, que le loyer soit payé, d'une autre façon, et que le bail soit transféré, parce que si le mari violent paie le loyer, c'est le serpent qui se mort la queue, et en aucun cas, dans de telles conditions, la femme battue peut prétendre s'émanciper du mari, ou du compagnon violent.
D'autre part, psychologiqueent, pour tourner la page, un déménagement n'est pas inutile.
J'ai personnellement, dans mes cartons, un projet de maison transgénérationnelle.
Mais les années passant, je dois me résoudre, au fait d'observer, que le plus urgent, réside dans cette demande plus précise encore, qui n'est axée que sur les femmes, afin de les protéger, plus encore, que les autres categories de citoyens.
L'aspect transgénérationnel, n'est pas à évincer pour autant, mais disons qu'il me semble souhaitable, qu'il ne se fasse, que par le biais de parrainnage, simplement, comme le font beaucoup d'associations, à présent.
Le fait d'accueillir d'autre part, des femmes en situation de detresse, ou leur vie est en danger, implique aussi, une collaboration étroite, avec la gendarmerie, pour leur assurer, la sécurité nécessaire (revoir l'émission, avec les cas, pour le moins éloquents, sur le sujet).
Pour ma part, je ne ressens pas le besoin de créer une association sur ce sujet, puisqu'il en existe deja un certain nombre, et qu'il me semble préférable de soutenir celles deja existantes.
Le problème en fait, est double.
Parce que l'urgence, surtout si elle est vitale, est fondamentale.
Mais une femme qui choisit de briser l'omerta, et de cesser de subir, se voit obligée de se projeter aussi, comme le dit le psychiatre, dans l'emission, et je le rejoins parfaitement, au minimum, sur le moyen terme.
Et c'est là, AUSSI, que se pose le problème, parce que les associations, elles, sont sensées n'intervenir, que pour répondre, à ces situations, dans l'urgence de la violence conjugale, mais pas sur le moyen terme, et le long terme.
Sinon, ensuite, dans l'émission, "je t'aime etc", aussi, un reportage, sur une maternité, dans le 93, qui refuse de renvoyer à la rue, des femmes, qui sont SDF, et qui viennent d'accoucher.
"no comment". L'assocuition, qu'il faut soutenir, pour leur venir en aide, s'appelle INTER LOGEMENT 93.
Sinon, je precise que j'ai participé aux commentaires, sur FB, cet apres midi.
Et j'ai remarqué, que tous les commentaires, n'émanaient que des femmes, et exclusivement des femmes. un seul homme a pris la parole, une fois étudié le profil, sur FB, il est apparu, qu'il s'agissait d'un gendarme, qui trouvait regrettable, que l'emission soit orientée, sous l'angle compassionnel (enfin, c'était dit plus maladroitement, que ça, dans le style "larmoyant"...
C'est clair, un crétin de ce style, quand il se trouve face à une femme en état de choc, qui vient de se faire tabasser, inutile de préciser le chemin, qui reste à parcourir.
Ha, si, zut, il y a peut être, une autre explication, IL TABASSE LA SIENNE !
Et oui, ça existe aussi.
Sinon, le fait, que si peu d'homme commentent, perso, ça me fait flipper, et je ne peux m'empêcher de faire le raprochement avec le fait, que ces pauvres chéris, (pas tous, qu'on se rassure), se trouvent en difficulté pour draguer, depuis l'affaire, ME TOO, ho lal a, les pauvres petits chéris !
25 décembre 2019.
Une bonne nouvelle, le jour de Noël, la ville de Lyon donne l'exemple.
Un exemple à suivre et à multiplier. certaines villes, aussi, en banlieues, cherchent à vendre leurs centres de vacances, alors, qu'ils pourraient les conserver, et les dedier, à cet usage.
Merci, votre note vient d'être comptabilisée.
Merci, mais vous avez déjà voté pour cette page, réessayez plus tard.
Vous devez être connecté pour pouvoir voter
★★★★★
Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !