Pour commencer, je vous donne de mes nouvelles !
Non, je ne suis pas en vacances, je travaille, chaque jour, mais comme j'écris beaucoup en interne, pour faire éditer une partie de mon travail, ce travail, ne parait pas sur internet.
Pour l'actualité, je fais du mieux que je peux et je tente surtout de synthétiser, pour être la plus efficace possible.
Des signes sont très encourageants.
D'une part, c'est un éditeur, qui court après moi, maintenant, et non l'inverse…
Et le nombre de personnes, qui me suivent, sont de plus en plus nombreux.
Pour ce qui concerne l'actualité, j'ai une excellente nouvelle à vous annoncer.
D'ailleurs, pour ne rien vous cacher, c'est le titre de mon billet aujourd'hui.
C'est dire, "le brexit a sacrement, du plomb dans l'aile".
J'ai chopé je ne sais où, il y a quelques semaines, un journaliste qui expliquait, qu'au Royaume Uni, chacun veillait à trouver une solution, pour contourner le brexit, ou l'annuler.
J'ai entendu, hier, que Tony Blair avait annoncé, qu'il serait ors de question, que le Royaume Uni casque cette somme faramineuse, que l'Europe leur réclame pour s'en retirer.
Je propose de présenter la note aux politiques, qui se sont positionnés pour le brexit, à l'époque, sans avoir anticipé, le moins du monde, quelles ont seraient les conséquences.
Un journaliste, ici, en France, avait fourni une métaphore, parfaitement juste et parlante, pour expliquer, ce qu'était en réalité, le brexit.
Voilà, son explication.
Pour faire l'Europe, on va dire que chaque pays, ait donné chacun, un œuf.
Puis l'Europe s'est faite, et à présent, par le brexit, le Royaume Uni, dit, "Ha, mais nous, on veut récupérer notre œuf" le souci, c'est que l'Europe, c'est l'omelette…
Et bien non, c'est impossible.
Mais ce matin, si je choisis ce titre, c'est parce que j'ai entendu que pour la première fois, par les airs, des passeurs, étaient venus chercher des migrants, ici, sur le sol français, et visiblement, c'était la première fois, que ça arrivait.
Ca implique, donc, de la part des autorité britanniques, à présent, d'avoir l'œil sur leur sécurité, eux, qui en sont toujours et encore, à refuser le regroupement familial, pour que certaines familles, qui pourtant, pourraient y prétendre ne puissent accueillir leurs proches, restés ici, sur le sol français…..
Mais puisqu'on en est à parler volatiles, là, poussins, etc, j'ai quelques remarques à faire.
Je viens de voir, là, le titre d'un article au sujet du tour de France, sur France Tv info.
Le titre est le suivant :
"Un coureur est-il obligé d'avoir une bonne équipe pour finir maillot jaune "?
Je serai tentée de corriger, en faisant le parallèle entre "équipe et famille", puisque ces migrants, qui attendent désespérément, à Calais, ou à proximité ont eux aussi, des familles, qui les attendent au Royaume Uni…
Sinon, la réponse dépend aussi, du fait, qu'il s'identifie, " ou pas", au célèbre CALIMERO, poussin de Pavilly, par excellence, puisqu'il est noir, et que son "chapeau coquille", est blanc, immaculé.
Est-ce que les postulants, qui souhaitent rejoindre le Royaume Uni, doivent, pour a voir, les faveurs, de Theresa Mey, et de la reine, se grimer, en noir (they never be, their "négro"), et dire, sur nos plage du Nord, le plus fort possible, à coup de vidéo, sur youtube…
"Je suis un pauvre petit migrant, j'ai faim, j'ai froid, et je suis tout mouillé, et je veux juste rejoindre ma famille, s'il vous plait".
Comment vous dites ?
Ridicule ? (comme le film, de Patrice Leconte).
Ha, non non, je ne crois pas, non.
En tout cas, j'ai vu, hier, que la Reine d'Angleterre, conformément au "proutocole", avait mandaté ses serviteurs, pour attraper ses cygnes, parents, et petits, qui vogues, EUX COMME BON LEUR SEMBLE, sur les plans d'eau, autour des châteaux, appartenant, à la Reine, comme ça se fait chaque année.
Les mecs, étaient sapés, comme des pièces de musée, en carton pâte, avec les bicornes, tout aussi anachroniques, et franchement, à voir leurs têtes, affublés de la sorte, avec la plume de cygne, qui était mise en travers, je pense que nos caliméros, le seraient moins qu'eux !
Je ne sais pas si les familles, sur le sol britannique, viennent quelquefois, en bord de mer, et regardent vers la France, et disent, le plus fort possible…
"fais moi un cygne", mais en tout cas, c'est interpellant, d'être outre manche, aussi bornés et aussi cons !