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Vendredi 6 octobre 2017 Questions sur le métier d'avocat.
Le 23/10/2017
Je précise que j'avais écouté cette emission, mais que partiellement parce que j'étais en voiture, je la réécoute.
Ce que tout le monde doit savoir ? Je rajouterai INTÉGRER.
Le 18/09/2017
Je cautionne entièrement, tout ce qui a été dit, dans cette vidéo.
Mais je précise ma pensée...
Nous n'avons pas affaire ici, à une bande d'illuminés, qui jouent les maitres spirituels, comme le font certains prédicateurs, helas, quelquefois au sein de certaines religions, non seulement parfaitement officielles et tolérées, et dont certaines sont parfaitement instrumentalisées, par le pouvoir en place, pour justifier certaines dictatures.... Ou bien à certains mentors toxiques, qui sous couvert d'un coaching qui semble clean à tout point de vue, généralement à grand coup de photoshop, et de dents blanches, habillé de la finance internationale, ne cherchent qu'à nous faire croire que de s'attacher au monde ancien, POUR DE MAUVAISES RAISONS suffirait à calmer la peur de l'avenir....
Alors qu'en vérité......
Cette formule n'est pas de moi, on me l'avait posée, sur mo fil FB, je crois, mais je l'avais trouvée tellement juste et intelligente, que je la recite.
Le meilleur moyen de calmer notre angoisse, quand notre avenir,
ça consiste à le bâtir soit même, en y prenant part".
Pour revenir à cette vidéo.
L'objectif, consiste à mettre en avant le fait qu'au sein de certaines religions, existe depuis le début, certaines théories qui convergent toutes vers la même idée, qui réside dans le fait que d'une part, il existe au sein de l'Humanité, et dans son histoire, certaines valeurs universelles, l'Amour de l'autre, ou au minimum, la Bienveillance, et que chacun est entièrement libre de choisir d'y avoir recours, sans pour autant, qu'il s'agisse d'en souffrir, bien au contraire, puisque c'est le seul enrichissement qui vaille.....
J'ai regardé, hier soir, " C politique", sur france 5, et je suis en train de la commenter.
Pour ce qui concerne la bienveillance, soyez sans crainte, quand Simone n'est pas là, Françoise ville, et si certains au service de la politique et de la finance, ont deja eu le culot, d'exploiter le mot BIENVEILLANCE à des fins de récuperation politique, j'ai particulièrement hâte d'observer qu'il en soit de même, avec le mot COMPASSION, qu'on rigole cinq minutes...
Avant la sortie de Joachim Son-Forget, d'autres remarques sexistes en politique
Le 30/12/2018
Pour ce qui concerne la reflexion, "mais qui donc, va garder les enfants", qu'on entend quelquefois, je dois admettre que spontannement, je suis tentée de prendre ça, au second degré....
C'est vrai, quoi, c'est tellement con, de sortir un truc pareil, qu'on se dit, "ça ne peut être qu'une blague".
Sauf que celui, qui en est accusé, ne le précise jamais, ce qui tend à me donner tort.
Je précise à ces messieurs, d'autre part, qu'une femme ne "fait pas enfants" seule, généralement, et si effectivement, la nature est faite de telle sorte, que précisément, il n'y a qu'elle, qui puisse l'assumer physiquement, c'est un argument supplémentaire, alors, justement, pour revendiquer, que les hommes pour en assumer, leur part de responsabilité, dans notre société, d'une part, assume d'aventage la charge mentale, au sein du foyer, mais aussi accepte d'assumer le fait, qu'elle soit en droit d'exister, sans ou bien au delà, de la maternité.
Quand à l'expression, "elle est là, pour"....(faire des enfants, dans le cas présent), je dois avouer que rien que cette expression, j'ai le sentiment, de me trouver il y a un siècle ou deux, où les femmes, en etaient encore reduites, comme c'est encore le cas, dans certains autres pays, exclusivement à la reproduction, comme des animaux, ou aux tâches domestiques...
Rendez vous compte : "ELLE EST LA POUR"...
Moi, personnellement, je ne parle ainsi de quelque chose, que quand je parle d'un objet du quotidien, sensé nous faciliter la tâche, pour les basses besognes, justement, un objet, ou un robot ménager.
Bien sûr, il se trouve probablement, quelques crétins en cette fin d'année, pour s'en satisfaire, je n'en doute pas, helas, et si le fait de relever cette excecrable expression leur semble anecdotique, je rappelle que c'est justement dans cette perception deshumanisée, que les hommes trouvent légitime, de disposer du corps des femmes, pour les violenter, au point, que certaines en meurrent, qu'ils les violent, et que partout, dan le monde, c'est justement cette perception, "chosifièe", et déshumanisée, qui génèrent ces comportements.
Alors, soyez sans crainte.....
Demain, certains envisagent, de boïvcoter les voeux du président, je n'ai pas à porter de jugement sur ce fait, mais si moi, je m'y colle, à propos des masculistes, croyez moi, je ne vais pas m'y coller pour rien non plus.
Parce que si la parole est un sport de combat, ça n'est certe pas d'elle qu'on ne m'ait jamais privée, et c'est pas demain la veille, que ça risque de se produire.
A bon entendeur.....
Et pour information, jute un gros détail, que j'ai appris, recemment, qui vaut tous les arguments....
Quand on observe le comportement des hommes, et des femmes, qui sont aux responsabilités, version "perils imminants", par exemple, aux commandes d'un avion, dont les commandes ne répondent plus....
Les observations, sont absolument formelles, les femmes sont plus rigoureuses, et suivent à la lettre, le sprotocole de sécurité, de façon beaucoup plus méticuleuses, que ne le font les hommes, et font passer l'intérêt de tous, avant leurs égos respectifs....
En d'autres termes, messieurs, tâchez d'être à la hauteur, des tâches qui vous incombent, en vraies féministes que nous sommes, on ne cherchera jamais à détroner un homme, quand il est compétant, d'abord, et respectueux, ensuite.
Seulement, voilà, l'un ne va pas sans l'autre.
12 janvier, 2018, message à tous ceux qui attendent après moi.
Le 12/01/2018
Il est vrai que j'ai toujours fourrré mon nez, là, où ça dérange.
Mais si l'on m'avait affirmé, un jour, que la Justice elle même, que mon avocat, et que mon coach, lui même, en personne, se ligueraient contre moi, pour me museler, afin que je ne puisse plus lutter, contre ce que j'ai toujours détesté...Jamais, je ne l'aurai pensé.
Je ne sais pas ce qu'il adviendra de moi, j'ai le sentiment que jamais, je ne parviendrai à pardonner, à tous ceux, qui depuis toutes ces années, ont veillé, si méticuleusement, à m'ecraser, pour mieux observer, telle une souris de laboratoire, avec quelle ruse, je parvenais à me relever, TOUJOURS.
Aujourd'hui, c'est par une décision assassine, qui émane de la juge des tutelles elle même, alors que je n'ai eu de cesse, que de lui dénoncer en quoi, et comment, la curatrice de l'UDAF, pratiquait, sur moi, les pires tortures psychologiques, en n'appliquant pas ce que la juge pourtant, lui avait indiqué.
Je pourrai vous la faire théatrale, selon la chanson de Barbara, en vous disant courtoisement, "et je m'en vais sereine".... Il va bien se trouver un crétin, pour s'en contenter, non ?
Mais ça serait trop d'honneur, que je vous ferai là, et je ne crois pas que le fantôme de Barbara, apprecierait.
Je pourrai aussi, vous resortir, la chanson de Anne sylvestre, sur "les gens, qui doutent"... Et qu'on s'évertue, inmaquablement, à me recoller sous le nez, en la personne de Jeanne Cherhal, Vincent Delerm, et Albin de la Simone.... C'est juste oublier, que de souffrir est infiniment plus acceptable, et concevable, quand on ne vous enferme pas dans un rôle qu'on vous impose.
Aurait elle, elle même ecrit cette chanson, si elle avait été dans la situation, que l'on m'impose, depuis toutes ces années ?
Personne ne le sait, et Anne Sylvestre, pour qui j'ai bien plus que du respect, elle même, ne le sait pas d'aventage.
Je m'excuse de ne pas être aussi forte, que beaucoup le voudraient, je ne suis qu'une simple femme, qu'on s'evertue à transformer, en vielle conne mal baisée..... Et je ne crois pas être responsable, en quoi, que ce soit, du sort que l'on m'impose.
Des lors je n'ai plus d'autre alternative, que de rentrer en moi, afin de lêcher mes plaies, pour une durée indéterminée, puisque l'énergie, qui a été mobilisée, pou porter ma souffrance, les 40 années premières de ma vie, là voilà de nouveau mobilisée, pour cette même raison, énergie, que de facto, je ne puis donc plus donner, vers l'extérieur....
Comment vous dites ?
Consulter un psy ?
Mais j'ai fait, bien sûr.
Le psy, et la psychiatrie, cautionnent entièrement, les méthodes de barbare, de Thomas Fersen. ils les cautionnent tellement, qu'ils souhaitent, non pas me mettre sous neuroletiques, de nouveau, mais sous antidépresseurs.
Quand je pense que je suis assez conne, pour avoir écrit mon histoire sur le sujet, ces derniers jours, pour avoir la certitude, qu'il ne restait rien de douloureux, entre eux et moi, je n'en reviens pas de ma naïveté.
J'attends toujours, depuis plus d'un mois, qu'il me fixe un RV avec la psychiatre, principe que j'ai accepté, mais qui visiblement, semblerait, lui poser à lui quelques problèmes de conscience...
Je souhaite bien du courage, à la profession, pour envisager la moindre collaboration avec moi, quelque soit le sujet, désormais".
Bon, week end à tous.
Fire and Fury : Inside the Trump White House.
Le 05/01/2018
Maison Blanche, le 4 janvier 2018. (CARLOS BARRIA / REUTERS)
franceinfo avec AFPFrance Télévisions
Mis à jour le 04/01/2018 | 23:39
publié le 04/01/2018 | 23:17
La sortie du livre de Michael Wolff, Fire and Fury : Inside the Trump White House, s'annonce explosive. La sortie de l'ouvrage sur les coulisses de la Maison Blanche, initialement prévue mardi, a été avancée à vendredi, ont annoncé, jeudi 4 janvier, son auteur et son éditeur, qui n'entendent pas renoncer à la publication.
"Et voilà. Vous pouvez l'acheter (et le lire) demain. Merci, monsieur le président", a lancé Michael Wolff dans un tweet.
Here we go. You can buy it (and read it) tomorrow. Thank you, Mr. President.
"Des mensonges ridicules".
Au lendemain de la parution d'extraits ayant suscité une vive controverse, les avocats du président américain ont adressé un courrier à son auteur et à Steve Rubin, président de la maison d'édition Henry Holt and Co. leur demandant de "cesser immédiatement" sa distribution, évoquant, entre autres, la diffamation.
Le livre de Michael Wolff raconte combien la première année au pouvoir de Donald Trump fut marquée d'abord par une forme de "chaos" permanent sur fond d'intrigues autour d'un président raillé par ses propres collaborateurs. La Maison Blanche a dénoncé "les mensonges ridicules" d'un ouvrage truffé de "ragots de tabloïd".
Certes, il serait pour le moins tentant, de s’en réjouir….
Mais avant de s’en réjouir, il me semble plus opportun, encore, d’y regarder à deux fois, sous différents angles.
Pour commencer, « qui a écrit ce livre », et pourquoi ?
Un homme dangereux, et toxique, au sens où politiquement, il est le meilleurs soutien d’une extrême droite américaine, proche du KU KLUX CLAN, et de toute forme de suprématistes blanc…. Autant dire, en ce qui me concerne, « nos pires ennemis ».
Certains alors, doivent se dire, « mais enfin, pourquoi, venant de lui, un tel revirement ?
C’est vrai, ça tiens, « pourquoi, un tel revirement, au point, qu’il devrait à mon avis, faire très attention à sa peau, parce que ces gens là, les suprématistes blancs, sont adeptes des armes à feu, et donc, des intérêts qui s’y rapportent… Et je ne serai pas surprise, qu’il ait reçu quelques menaces de ses anciens amis ».
Pourquoi ?
Parce que à l’extrême droite, TOUJOURS, on ne fait de politique que pour LES MAUVAISES RAISONS…
C'est-à-dire, gagner toujours plus d’argent, et uniquement cela…
Epouser une cause idéologique, n’a pas pour ambition, de véhiculer des valeurs, en aucune façon, mais d’avoir conscience de quelles valeurs, il importe de se draper, pour parvenir soit à gagner plus d’argent, encore, soit, se faire élire, on nage là, en plein populisme, c’est d’ailleurs, la véritable définition, qui doit en être faite.
Côté altruisme des valeurs en question, on est juste au niveau de la fausse à purin, à peu prés au niveau du caniveau.
Pour « ces gens là », d’ailleurs, le mot VALEUR, c’est un raisonnement de financier, et pas un raisonnement de philosophe, d’auteur, d’où le nom du journal VALEURS ACTUELLES ici, en France, c’est sous l’angle financier, que ça doit être entendu, puisqu’ils n’entendent (au sens comprendre), que cela.
Alors, « chez eu », ils doivent se dire, je suppose, « mais enfin, quelle mouche l’a donc piqué…
Bon, la mouche, en principe, c’est MOI.
Je dis bien « en principe », et pourtant, moi, je n’ai rien fait que d’ecrire, et faire des vidéos, je vous promets, moi, ce monsieur, je ne le connais absolument pas !
D’autres, dans leur rang, doivent se dire, « mais quel salaud, et le principe de loyauté alors ? Apres ce qu’il avait fait pour lui ».
Bon alors, là, on arrive dans le caviar de la moralité, et de la bienséance.
D’une part, ce monsieur, était déjà bien établi, socialement, il me semble, et j’ai des doutes, sur le fait, qu’il eût été si nécessaire, pour lui, d’être encore plus mis en avant.
Ensuite, un dicton, dit, « Dis moi, qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es ».
Je veux dire, que quand on fréquente des personnes, de basses moralité, il ne faut pas ensuite, s’étonner de voir, que les méthodes peu recommandables, qu’on observait chez l’autre et qu’on trouvait si drôle, pour s’en prendre au clan Clinton, à la belle époque, d’avant présidentielles, ces méthodes donc, le pseudo ami, il les a dans son ADN politique…
Je veux dire que quand on va faire son marché, dans le caniveau, on trouve ce qui s’y trouve, et on vient pas ensuite, chialer sa mère.
Une autre hypothèse, serait qu’il ait fait un deal, avec un juge, dans l’hypothèse, oùil aurait lui aussi, des problèmes avec la Justice américaine.
C’est une hypothèse, qui tiendrait la route, effectivement, sauf, qu’il y a une autre hypothèse, à la quelle je crois, plus crédible encore, qui réside, dans le fait, qu’observant, comment, ça se déroulait, sous ses yeux, il ait véritablement pris conscience, de l’extrême gravité de la situation.
Je suppose, que certains, là, doivent se dire, que je choisi, cette opportunité, moi aussi, par opportunisme, ce que je peux comprendre….
Moi, j’imagine simplement, que cet homme, a peut être des enfants, et des petits enfants, et qu’il a juste envie, peut être, puisqu’il n’est pas si jeune, de voir ses petits enfants, évoluer dans un monde, où lui, en temps que politique, a le devoir de rendre compte, véritablement, d ce qu’il a vu, pendant cette période….
Car il est une chose, que les puissants, eux, refusent d’observer, c’est que cette histoire de réchauffement climatique, et toutes ces conséquences, quelque soit la richesse du monde de l’entreprise, peu importe… Ils feraient comment, pour en jouir, si autour d’eux, il n’y a plus que le chaos ?
Je veux que si aujourd’hui, au moment, où je vous parle, si l’on observe, qu’il existe autant de puissants, d’entreprises du CAC40, ou multinationales, aux USA pour dire, haut et fort, à la face du monde, « ce que trump, tente d’empêcher, nous, le feront à sa place » ? il arrive inévitablement, un moment, où autour du président, lui, même, certains se posent les bonnes questions….
Si je donne la parole à mon nez de clown, il rajoutera même, « vieux motard que jamais ».
(clin d’œil à qui vous savez…)
Parce que pour information, de tout ce qui est révélé, dans ce livre, il n’ya absolument rien de fantaisiste, mais au contraire, de plus que plausible.
La panique à bord, une fois élu, comme celle qui était lisible, chez jean marie le pen, quand il s’est retrouvé élu, pour le second tour des présidentielles, et que Jospin, avait été évincé et que cette panique avait été notée de tous, ce qui montre bien, les véritables raisons pour lesquelles, ces gens là, font de la politique…. Satisfaire leurs égos personnels, en arrivant au pouvoir, quelque soit la méthode, user de toutes les stratégies possibles et imaginables, au détriment de la moindre morale, ficelles, que trump a toujours, utilisé, depuis le début, et qui sont en train de l’étrangler.
Ce qui est dit, au sujet des amendements, de la Constitution Américaine, est pour le moins explicite, et sonne tellement vrai, qu’il mérite un sketch…
J’explique.
Il se fait expliquer, par la lecture les amendements de la Constitution Américaine… Au bout du troisième amendement, le conseiller constate qu’il n’écoute plus….Et qu’il envoie tout balader, parce que ça l’emmerde.
Et bien si ça t’emmerde, mon gars, et bien laisse la place à quelqu’un de plus patient, et surtout, de plus compétant…
Moi aussi, ça m’emmerdrait, mais moi je ne postulerai jamais, pour devenir chef d’état !
Les pleurs de son eposue… ha, ça, c’est clair, je ne suis pas étonnée, enfin, un soupçon de lucidité, visiblement, qui helas, a bien vite disparu, puisqu’elle n’a rien trouvé de mieux, que de recopier, celui, de Michèle Obama….. Et comme commentaire, quand les journalistes, lui avait fait la remarque, elle n’avait rien trouvé de mieux, que de répondre avec un sourire, aussi naturel, que botoxé….
Enfin, je veux dire, que pour se marier, avec un tel énergumène, qui doit, dans le privé, être simplement aussi épouvantable que capricieux, il faut en vouloir… Elle aussi, n’a que ce qu’elle mérite.
Mais de tout ce qui a été révélé, dans ce livre, enfin, de ce que nous en savons, depuis hier matin, il n’ y a rien, qui laisse supposer, que ça serait diffamatoire….Au contraire, ça colle hélas, avec le profil psychologique, que j’en avais fait, il y a des années de cela.
Avant hier, encore, je regardais une petite vidéo, où il signait un document, la camera est un peu loin, « hélas », mais justement, malgré cela, par le geste de la main, on pouvait y voir, encore, que sa signature, doit faire encore, une largeur en hauteur, parfaitement symptomatique, d’une mégalomanie anormale….
Je veux dire, que quelqu’un, de serein, et de fort, normalement, ne devrait pas signer, un document, où sa signature, fait environ, 4 ou 5 cm de hauteur….
Si un artiste peitre, signe avec des lettres aussi grandes, il faut que le tableau, fasse au moins 5 ou 6 m sur 5 ou 6 m….. On n’imaginerait pas, signer, sur un feuille de format A4, avec des lettres de 4 cm de hauteur. Et bien lui, SI….
Seul les enfant, procèdent ainsi, et c’est normal, un enfant, est en phase de développement, alors, c’est logique…. CQFD.
About Donald Trump twitter.
Le 31/12/2017
Today, the last day of 2017, I décide to watch donald trump account, and comment, "perhaps".
It' important, for me, because I need inspiration.
I think it's a good idea to speak on twitter, because, learning he, think about, is important.
"Syrie, le cri étouffé", un documentaire de Manon Loizeau.
Le 18/12/2017
https://www.replay.fr/infrarouge-syrie-le-cri-etouffe-3342083
Je ne ne comprends pas, pourquoi elle n'est plus disponible.
Sonia Devillers, en a parlé, il y a quelques jours, vous pouvez réécouter, en suivant ce lien.
https://www.franceinter.fr/emissions/l-instant-m
En cours de commentaire.
Institut pour le cerveau et la moelle épinière.
Le 24/11/2017
Je vous recommande d'aller jeter un eil, sur leurs videos, qui sont fort bien faites.
Le viellissement de la population, combiné aux conséquences de differents facteurs, comme la pollution atmosphérique, "ou pas", le consumérisme, l'invasion des ecrans, les addictions, qui sont une conséquence en premier lieu, d'un véritable mal être intérieur, nous oblige à considèrer que mieux nous connaitrons notre cerveau, et son incroyable plasticité, plus nous seront à même d'aider les patients, à se soigner par eux même, de façon naturelle, à chaque fois que ça sera possible, pour peu qu'eux même acceptent l'idée qu'ils puissent, au moins en partie, être leur propre thérapeute.
Je leur ai envoyé un message, pour proposer mon aide, en temps que "patiente experte".
A quel âge peut-on consentir à un acte sexuel ?
Le 16/11/2017
http://www.francetvinfo.fr/choix/a-quel-age-peut-on-consentir-a-un-acte-sexuel-un-fait-divers-impliquant-une-fillette-de-11-ans-rouvre-le-debat_2467732.htmlencer, je dois expliquer ma position, depuis toutes ces années, face ce problème, parce qu’il est possible, que je n’ai pas été bien comprise.
Il s’agissait, depuis quelques années, d’aborder ce sujet, face à des faits divers, qui mettaient en accusation, souvent des professeurs, face à des élèves, qui se voyaient accusés de pédophilie, au seul prétexte de l’âge de l’un d’eux, et sans jamais tenir compte, du fait, que c’était avant tout, d’Amour, dont il était question.
Je ne suis pas en train d’encourager ce type de comportement, je dis juste que le sentiment véritablement amoureux, entre un adulte, et un ou une adolescente, peut effectivement se produire, et ça n’est certes pas notre couple présidentiel, qui risque de mettre ma parole en doute.
Un des aspects, qui doit attirer, la plus grande attention, que ce soit dans le milieu des avocats, ou dans l’entourage, réside, dans le fait, qu’il peut parfaitement se produire, que des parents, se disent les mieux intentionnés du monde, en qualifiant de viol, par le dépôt de plainte, sur l’acte commis, ALORS QUE LA VICTIME ELLE N’A PAS CE SENTIMENT et donc, PAS CE DESIR, rendant ainsi, traumatique, un acte sexuel, qui ne l’aurait pas été.
Voilà, le danger.
Là, le moins que l’on puisse dire c’est qu’on est bien loin, de ce genre de situation, puisque c’est la victime, qui est plaignante.
"A 11 ans, on n'est pas consentante." Devant le ministère de la Justice à Paris, mardi 14 novembre, plusieurs organisations féministes dénoncent de récentes décisions de justice dans des affaires concernant des mineures. Début novembre, notamment, la cour d'assises de Melun (Seine-et-Marne) a acquitté un homme accusé du viol d'une fillette de 11 ans, des faits remontant à il y a huit ans. L'affaire a suscité un vif émoi dans l'opinion et relancé le débat sur le consentement sexuel des mineurs : faut-il fixer un seuil, un âge en dessous duquel une victime ne pourra jamais être considérée comme consentante ?
Dans cette affaire, tout débute au mois d'août 2009. L'enfant se trouve en vacances chez son oncle. Elle joue au ballon et fait du vélo en compagnie d'autres enfants, dans la cour intérieure d'un immeuble de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Sa cousine et une amie viennent l'informer qu'un "grand" veut lui parler. Ce jeune homme âgé de 22 ans se trouve également en villégiature dans le lotissement, chez un proche, mais ne lui a jamais adressé la parole auparavant. "Ils discutent de tout et de rien", raconte Laure Habeneck, avocate de cette jeune fille qui est aujourd'hui âgée de 20 ans. L'homme lui demande où il peut trouver un parc dans les alentours.
La plaignante assure avoir bien informé son interlocuteur de son âge, 11 ans. L'homme affirme qu'elle lui a dit 15 ou 16 ans. La fillette "fait" pourtant bien son âge, affirment par la suite des éducateurs, selon Laure Habeneck. Les deux protagonistes discutent de tout et de rien, tout en se dirigeant vers le parc voisin. "Il la suit, car elle connaît mieux Champs-sur-Marne que lui", raconte Samir Mbarki, avocat de l'homme. "Jusqu'à l'entrée, tout va bien. Ma cliente n'a jamais prétendu qu'il l'avait traînée de force, poursuit Laure Habeneck. Mais d'un seul coup, il s'empare d'elle et tout bascule."
Consentante à 11 ans ?
C'est à partir de là que les versions divergent. La plaignante dit avoir été maintenue, déshabillée et pénétrée. "Elle ne lui dit non à aucun moment, ça se fait naturellement", répond Samir Mbarki.
Et oui c’est bien là, que réside le problème « NATURELLEMENT ? COMME UN ANIMAL EN RUT QUI CONVOITE UNE FEMELLE ET QUI LA PREND,
Ha, ça, pour se faire, NUTURELLEMENT, c’est naturel, c’est sûr.
C’est caractéristique, du viol, par essence, justement, aucun affect, aucun discernement, on dispose du corps de la femme, ou de l’enfant, comme si c’eût été un morceau de viande…
Juste dégueulasse.
"C'est parole contre parole", ajoute-t-il, en pointant l'absence de certificat médical, d'ITT (Incapacité totale de travail) ou de témoins.
Et oui, bien sûr, à 11 ans, effectivement, quand on subit ce genre de chose le cops, lui commence à se transformer, mais mentalement on est encore un enfant.
Ce qui est incroyable, c’est que cette notion de « sidération », que putain de bordel de merde, il va falloir arriver à tatouer, sur le front de tous les humains, ma parole, n’ait encore et toujours, une fois de plus, absolument pas pris en compte !
Alors, on va rappeler de quoi, il s’agit.
Le phénomène de sidération, réside dans le fait, que le sentiment de peur paralyse entièrement, le corps de telle sorte qu’on est incapable de réagir, de hurler, ou d’appeler au secours.
Voir l’exemple que j’ai bien dû raconter environ 20 fais, depuis des années et des années, en divers endroits de mes sites internet, l’exemple de la souris et du chat que j’avais observés, dans mon jardin, il y une vingtaine d’années.
Mais Laure Habeneck est convaincue du caractère contraint de l'acte sexuel. Elle voit mal sa cliente, de nature timide et réservée, tomber dans un tel scénario avec un inconnu. "L'expert-psychologue explique que c'est quelqu'un qui n'exprime pas ses sentiments, jamais." Un enfant issu de ce rapport sexuel est né l'année suivante, en 2010, avant d'être placé. La famille a pris connaissance des faits lors de la grossesse de la jeune fille, selon Le Parisien.
Au moment d'évoquer son histoire, lors de l'audience à Melun, lundi 6 et mardi 7 novembre, la plaignante est en pleurs. Laure Habeneck évoque une jeune femme "très courageuse et digne" : "La défense a décrit la scène comme une initiative d'un rapport sexuel – le premier de sa vie, dans un parc avec un inconnu !". L'avocat général requiert huit ans de prison et un suivi socio-judiciaire, mais l'homme est finalement acquitté des accusations de viol. Citée par l'AFP, la procureure de Meaux explique que les jurés ont considéré que les éléments constitutifs du viol, "la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n'étaient pas établis".
Je regrette , mais pour moi, c’est bien de viol, dont il est question, puisque cet enfant a bel et bien été « prise », par surprise, il y a de toute évidence, abus de pouvoir d’un homme qui se considère comme légitime, AU SEUL PRETEXTE qu’il a un ascendant en âge, et physiquement, pour moi, c’est un viol, et certainement pas une simple agression sexuelle.
"Comment ça se fait que des gens potentiellement parents puissent prendre des décisions comme celle-ci ?", s'interroge la mère de l'accusée, citée par l'avocate. Pourquoi la Cour n'a-t-elle pas retenue la "contrainte morale" ? Depuis 2010, l'article 222-22-1 du Code pénal prévoit que cette contrainte "peut résulter de la différence d'âge" entre une victime mineure et son agresseur. Agée de 11 ans lors des faits, la fillette était-elle seulement en mesure de consentir à un acte sexuel ? "Ma réponse est non", tranche son avocate.
Il n'y a aucun doute possible. C'était une enfant à l'époque. Elle ne s'intéressait pas aux garçons.
Laure Habeneck, avocate de la plaignante
à franceinfo
Mais le texte de 2010 sur la contrainte morale donne une "simple possibilité de définition", nuance Audrey Darsonville, professeure de droit pénal : "C'est une indication". La différence d'âge, seule, n'est aujourd'hui pas suffisante pour qualifier la contrainte. En revanche, la juriste estime que le juge aurait, dans cette affaire, pu et dû retenir le critère de surprise. "Une fillette de 11 ans n’a pas besoin de hurler pour que le viol s’applique, explique-t-elle. On peut considérer que l’état de sidération – qui est un état de tétanie – empêche le consentement."
12, 13, 14, 15 ans... Quelle limite ?
Pour éviter des cas comme celui-ci, de nombreuses associations proposent de fixer dans la loi un âge en deça duquel l'agression sexuelle (ou le viol, en cas de pénétration) serait établie de facto : tout acte sexuel entre un adulte et un mineur en-dessous de ce seuil serait qualifié de viol. "Cette question se pose car la loi est mal appliquée, estime Audrey Darsonville. C’est peut-être aujourd’hui le seul moyen qu’on a de protéger les mineurs." "L'avantage, c'est que l'avocat général n'aurait plus à apporter la preuve d'un défaut de consentement", poursuit Laure Habeneck. L'idée fait aujourd'hui l'objet de plusieurs pétitions et de quatre projets de loi, selon un décompte du Monde. La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s'est engagée "sur une loi autour du printemps", au micro de CNews.
Reste à définir ce fameux seuil. Le Haut Conseil à l'égalité propose 13 ans. Audrey Darsonville rappelle qu'un mineur peut être incarcéré à partir de cet âge, en droit pénal des mineurs. "Si l’on considère qu’un mineur de 13 ans est assez mûr pour être incarcéré, on peut considérer aussi qu’il a la maturité suffisante pour accorder son consentement aux relations sexuelles." C'est aussi l'âge statistique de la puberté, précise le psychiatre Roland Coutanceau, coauteur de Victimes et auteurs de violence sexuelle (éd. Dunod) : "L’imaginaire sexuel est révolutionné par la puberté. Une fille ou un garçon prépubère ne cherchent pas dans la sensualité la même chose qu’un(e) pubère."
Mais "la révolution pubertaire" n'est pas suffisante pour "donner un consentement pour une sexualité adulte". Le médecin rappelle que tous les adolescents ne développent pas la même maturité au même âge. "Au-delà du symbole de l'âge, qui permet de donner un message dans le champ social, rien ne remplace l'étude au cas par cas. Il faut encore étudier in concreto chaque histoire, pour comprendre ce qui s'est passé entre les deux protagonistes." D'autres propositions françaises évoquent un seuil à 15 ans. L'Espagne, l'Allemagne et le Royaume-Uni et l'Allemagne ont respectivement adopté des barrières à 12, 14 et 16 ans.
Une requalification en "atteinte sexuelle" possible
On veut faire croire que la cour d'assises a légalisé la pédophilie en France, mais personne ne veut comprendre ! C’est horrible ce que la plaignante a subi, mais cela s’appelle une atteinte sexuelle sur mineure de moins de 15 ans et pas un viol.
Samir Mbarki, avocat de l'accusé
à franceinfo
Récemment, le tribunal de Pontoise (Val-d'Oise) a ainsi acquitté un homme, accusé de viol, dans un dossier similaire, tout en le poursuivant pour atteinte sexuelle. Cette qualification, toutefois, n'a pas été évoquée dans l'affaire de Champs-sur-Marne. Sollicité par franceinfo à ce sujet, le parquet n'a pour l'heure pas donné suite. Un tel délit aurait peut-être pu permettre de condamner l'accusé, mais pour Audrey Darsonville, toutefois, ce terme reste un pis-aller dans ce genre d'affaires. "C'est très injuste pour les victimes car l'atteinte sexuelle postule qu'elles étaient consentantes", analyse-t-elle.
Contrairement au viol, l'atteinte sexuelle n'est pas un crime, jugé aux assises, mais un délit, puni de cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende, étudiée au tribunal correctionnel. Quand elle n'est pas utilisée à bon escient, il s'agirait donc d'une sous-qualification. "Les juges sont parfois réticents à envoyer des mineurs devant la cour d’assises [pour un crime, le viol], par crainte que leur parole ne soit pas suffisamment entendue par les jurés", explique Audrey Darsonville.
Dans cette affaire, la plaignante "a dû faire preuve d'énormément de courage pour venir à la barre", estime son avocate. Après avoir fait "le deuil de son enfance" en 2009, elle a vécu l'acquittement "comme un deuxième traumatisme", selon les mots de Laure Habenec. Aujourd'hui étudiante, la jeune femme âgée de 20 ans ne souhaite pas s'exprimer. Un nouveau procès doit avoir lieu, car l'avocat général a fait appel du jugement controversé.
Il y a un autre traumatisme, qui n’est pas abordé, c’est que cette jeune femme, elle, a placé son bébé, chose que je peux comprendre.
Le simple fait, que précisément, elle n’ait pas désiré soit le garder, soit manifester un intérêt positif, pour cet enfant, en dit pourtant long sur le sujet.
En effet, dans l’hypothèse, où il n’y ait pas eu viol, il eût été plus facilement envisageable, même si elle l’aurait placé, qu’elle garde un lien, avec cet enfant, non ?
Il importe effectivement, d’aller en appel, et de légiférer sur le sujet, parce que ce verdict, s’il ne change pas, ferait rigoler, bien des pédophiles, qui pour peu que leurs proies potentielles, commencent simplement, à manifester, des signes de puberté, ou à porter le moindre vêtement qui tendraient à montrer un signe de féminité, feraient d’elles, des proies potentielles, avec la bénédiction de la Justice…
En gros, aux yeux des pédophiles, le message serait le suivant :
« Bon, ben, ok, y’a plus qu’à se servir, alors ».
Voilà, la lecture qu’ils en font, EUX !
Sinon, la question à cent balles, il en pense quoi, lui, le coupable, du fait, que sa descendance, soit pris en charge par la DASS ?
"Recherche famille d'accueil désespérément".
Le 15/11/2017
https://www.franceinter.fr/emissions/grand-angle/grand-angle-15-novembre-2017
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