Le procès de Georges Tron s'est ouvert, mardi 12 décembre, devant les assises de Seine-Saint-Denis. L'ancien secrétaire d'Etat chargé de la Fonction publique est accusé de viols et agressions sexuelles en réunion par deux anciennes employées de sa mairie de Draveil (Essonne). "La réflexologie est devenue un outil pour me nuire", a notamment affirmé le maire de Draveil lors du premier jour de son procès aux assises.
Neuf jours. L'élu du parti Les Républicains comparaît pendant neuf jours à Bobigny au côté de son ancienne adjointe à la Culture, Brigitte Gruel. Tous deux clament leur innocence.
La recherche de la vérité. "Je suis sans appréhension et j'espère que [le procès] servira à éclaircir des tas de choses qui auraient dû l'être depuis longtemps", avait déclaré Georges Tron à l'AFP à quelques jours du procès.
Pour ce qui concerne "ces tas de choses", dont il est question, j'ai lu hier dans un article, qu'il evoquait, quelques soirées, bien arrosée, pendant lesquelles, les deux partis etaient présents.
Alors, si l'on boit ensemble, il lui semblait logique, je suppose, de "jouer au docteur.".. Incroyable. Pour un peu, il va nous dire que ce sont des "filles faciles", parce qu'elles ont participé à ces soirées un peu ou pas mal arrosées.
Un procès politique ? Eric Dupont-Moretti, l'avocat de Georges Tron, a affirmé sur franceinfo que "le Front national" est derrière les accusations portées contre son client, les plaignantes ayant des contacts avec la famille de Marine Le Pen.
Bon, l'instrumentalisation politique, admettons, et alors ?
En temps que femmes, qu'elle soient proches, ou pas du FN, n'a pas à entrer en ligne de compte, c'est ridicule et indigne, de Dupont Moretti.
Quand à marine le pen, si elle compte, sur ce point, pour retrouver un virginité politique, et notamment, sur le plan du feminisme, il va lui falloir, encore quelques camion, citerne, d'eau de javel.
Et puis de toute façon, je ne vois pas en quoi, elle devrait y être mêlée, pas plus que n'importe quelle autre femme, de n'importe quel autre parti politique.
Pour commencer, le reflexologie plantaire, est une médecine, et en temps que telle, elle doit être exercée, dans un endroit qui ne soit pas mêlé, au lieu de travail.
Je suis vraiment choquée, de voir, une telle malhonnêteté intellectuelle.
Quand un pedophile, aggresse sexuellement un enfant, il se fait paser généralement, pour "sexilogue pédiatrique", aussi, non ?
Et quand un homme arrache les vêtements d'une femme, dans le but de la violer, ça n'est que pour tester le solidité du tuissu, afin de verirfier si c'est plus ou moins solide, que le jean.
Pour la petite histoire, quand le jean fût inventé aux USA, bien avant que les USA ne voient leur reputation ternie, à l'echelon planetaire, par l'election de leur president, trump, celui quiavait inventé le jean avait, parait il, attaché un x wagon, à la locomotive, pour demontrer, la solidité du tissus.
Je ne sais pas, si ça tient plus de la légende que de la réalité, mais l'anecdote, m'avait semblée croustillante.
Mais en fait, le viol de ces femmes, c'est largement surfait, en fin de compte, moi, je suis sûre que georges tron a des actions dans l'industrie de la chaussures, et il ne faisait qu'essayer la pantoufle de verre... Et comme le pied ne rentrait pas, il fallait le masser.
Sinon, pour le violeur arracheur de petite culotte, il ne fait que faire du Molière, en fin de compte, je crois que c'est dans Tartuffe"... "je tatais l'etoffe"....
Bon, allez je ne suis pas méchante, hein, mais georges tron, si je le croise, je pense que je lui foutrai bien volontier, ma main dans la gueule.
Oui, je sis, ça ne me ressemble pas, et bien comme quoi, moi aussi, je peux, quelquefois, ne pas me contrôler.
georges tron, un exemple typique, d'abus de pouvoir et de mentor toxique dans le milieu "poilitique".
J'ai regardé l'émission, hier soir, sur le sujet du viol, dont il serait accusé, et je suis vraiment effarée, de voir à quel point, par les témoignages apportés, et qui vont bien au delà, de la "présumée vicitime", les témoignages qui sont à charge CONTRE ELLE plaident véritablement, en sa faveur, à elle.
Pour commencer, la technique on ne peut plus classique, helas, qui consiste décrédibiliser l'accusatrice, quand la plainte est déposée.
Et oui, comme l'explique si justement l'avocat, une femme qui se fait voler sa voiture, ou se fait cambrioler, chez elle, c'est une chose, elle est victime, en temps que citoyenne, et demande Justice.
Pour un délit ou un crime sexuel, l'accusé, avec l'aide de son avocat, va s'acharner à devoir démontrer, que sa plainte ne serait pas recevable de toute façon, puisqu'elle n'est pas "une oie blanche", d'où la méthodologie de la décrédibilisation.
Ensuite, le cas de l'ancienne copine, qui fait enfin volte face, pour reconnaitre face caméra, que oui, il y a bien eu réunion, dans le seul et unique but, de la part, d'un suppérieur hiérarchaque, en dessous de georges tron, donc, au sein de l'equipe municipale, dans le but d'expliquer que oui, il est necessaire de rédiger des courriers, dans le but d'enfoncer la plaignante, afin de "couvrir", georges tron.
Non seulement, ces complices de georges tron, (il faut bien appeler les choses par leur nom), ont redigé ces lettres, probablement ce même soir, ou en tout cas, sur un laps de temps assez court, mais en plus, il sont tous arrivés, à la même adresse postale, qui elle même, n'était pas la bonne, ce qui conforte véritablement, dans la stratégie mise effectivement sur pied, par l'équipe de georges tron lui même.
MAIS, "cerise sur le sommet de la pièce montée des grands jours".... On a pu voir un temoignage, qui signe, veritablement, ce que l'on nomme l'emprise, un des collaborateurs, qui son visage flouté (tu m'etonnes, Johnn), et qui "prenant sa défense" à lui, dis de georges tron, sous l'air de la confidence, la chose suivante:
"non mais georges tron, il faut le connaitre, si vous le connaissiez....".
Et ça, croyez moi, en politique, ça en dit au bas mot, vingt fois plus, sur le statut de mentor toxique, qui se drape dans son statut de mentor, que tous les autres éléments.
C'est à dire qu'il y a la Loi, et puis il y aurait, parallèle à Elle, george tron, qui nymbé d'une auréole, celle qui apparait sous ses essailles, à force de pratiquer les massages de pieds, probablement, se positionne bêtement à l'horizontale, au dessus de sa tête.
On est effectivement, dans u systême d'emprise.... Tel qu'il a été décrit, hier soir, dans le reportage.
Avant hier matin, je parlais de la pière du "Notre Père", je sais, ça va sembler étrange, que je fasse un tel rapprochement, mais enfin, quand on aborde le sujet de mentor, je crois que ça tombe plutot à pic, non ?.
J'y explique, ou plutot j'y dénonce, le fait que l'on incrimine, injustement, la notion de tentation.
Dans le cas, d'une emprise, sur le lieu du travail, avec des comportements inappropriés, certains, qui travaillaient dans son entourage, au sein de l'equipe, et du conseil municipal, aurait pu, imaginer sans problème que ces pratiques, qui faisaient l'objet de plaisanteries, comme elle l'explique, aient pu, ne pas être appréciées, ou blesser, au point d'être perçues, comme des atteintes veritables à la dignité, ou perçues, comme des agressions.
Combien, ont subi ces comportements, aujourd'hui, et qui ont été "tentés", de briser la Loi du silence ?
Combien ?
Quand j'explique, dans cet article, que la tentation, est souvent du côté du courage, celui, qui peut rétablir une forme de Justice, je crois qu'on peut difficilement, trouver exemple, plus édifiant, que celui ci.
Car en pareil, cas, au sein de n'importe quelle entreprise, quelque soit sa taille,
QUI NE DIT MOT CONSENT.
Pour ce concerne les menaces, dont elle est victime.
C'est valable pour n'importe quelle victime, qui se sent épiée, menacée, par des mails, des comportements dans l'entourage du domicile, entre l'école, le collège, et le domicile, sur le lieu des courses, par exemple.
Je recommande de demander à quelqu'un, au sein des associations d'accompagner en temps que bénévoles, les victimes en question, au quotidien, PLUTOT QUE PAR LA FAMILLE.
Parce qu'en cas de menaces véritables, qui commencent, par des menaces verbales, le témoignage d'une tierce personne, peut être utilisée sur le plan juridique, ensuite, alors, que le témoignage d'une enfant, d'un mari, d'un compagnon, d'un père ou d'une mère, juridiquement, ne peut pas être employé.
Ensuite, ces menaces se font, au moment, où vous prenez votre véhicule, votre voiture et pour cause, l'autre sous un casque de moto, ne peut être identifié.
Seule solution, "caméra embarquée", comme ça se fait aux USA... Je déteste cette technique, qui relève de comportement paranoïaque, mais dans un cas comme celui là, la caméra embarquée, pour anticiper les menaces, pourraient être utiles.
Dans le cas de menaces physiques, éventuellement, un téléphone d'alerte, comme on en confie à certaines femmes, qui, au sein de leur foyer, craignent pour leur vie, aupes d'un proche violent.
Moi, je ne suis pas "mentor".
Je suis une "mamor", qui emmerde les pédophiles et les violeurs, et si vous saviez ce que j'ai sous la semelle.....
Samedi 16 Décembre 2017.
A la demande de ses avocats, le proces de georges tron, à été ajourné, et se trouve repoussé à une date ultérieure.
Que les faits Weinstein, puis par ses consequence, "lalanceton porc", sur les reseaux sociaux, ait influé la sérénité des debats, me semble, non seulement, une eiidence, mais j'ose l'affirmer, une necessité, qui helas, a fait jour.
Puisqu'il s'agit effectivement, comme dans cette autre affaire, quia mis le feu au pouv dres, d'une veritble abus de pouvoir, qu'un supperieur Hierarchique se soit permis, sur une subiordonnée....
Imaginons, un seul instant, que cette émission, d'ENVOYE SPECIAL, n'ait pas eu lieu.
Qui aujourd'hui oserait affirmer, qu'il se trouve une seule personne, autant dans le camp des "présumés coupables", que dans le camp des "présumées vicitmes", n'y aurait songé ?
Personne, bien sûr, absolument personne.
Pour ce qui concerne la médiatisation de l'affaire, je tiens juste à signaler à monsieur tron, ainsi qu'à son avocat, que lui aussi, quelques jours, avant le procès, n'a eu aucun scrupule, à user des médias, pour mettre en cause son accusatrice en tentant, comme le font toujours les abuseurs au sujet de leurs victimes, de les décridibiliser, aux yeux des juges....
C'est TOUJOURS ainsi, qu'ils pratiquent, je serait tentée de préciser, "depuis la nuit des temps", pour autant qu'on ait en mémoire, hélas, des procès, au sujet de viols, puisqu'il faut bien observer que le viol n'est un crime, juridiquement, que depuis bien peu d'années....
Pendant, que j'y suis, je vais donner un sacré tuyau, à Dupont Moretti, qui visiblement, semble autant sous le charme de son client, que l'ont été les subalternes, du maire, georges tron, "qu'ils soient mâles ou femelles"...
Qu'il n'omette surtout pas d'appuyer sur le fait, qu'il serait un "bon père de famille", fidèle , peut être ? Si sa femme pouvait témoigner...
MDR, et puis, si quelques "mamans", bien pensantes, pouvaient apporter à la cour, une photo de georges tron, en train de refaire les lacets aux souliers, de ses enfants, sur le chemin de l'école, et qu'il se trouve quelques bonne âmes, pour dire à quel point, il est un voisin serviable, qui dit toujours bonjour, et qui participe toujours à la fête des voisins, ça serait encore mieux.
Mais faite quand même attention, aux faux tmloignages, surtout, je dis ça, moi, "je dis rien", pour le cas où ses enfants, seraient un peu trop vieux, pour faire le coup du lacet défait...Enfin, que ce soit raccord, quoi.
Que ça, colle enfin, merde, au moins d'aventage, que le coup, de l'adresse, à la SRPJ, pesonnellement, cette histoire de lettre télécommandée, par le staf, de gorges tron, j'ai trouvé l'anecdiote fort crousitillante, mais qu'au moins, on rigole un bon coup...
Vous pouvez revoir ici:
Parce que quitte à nous prendre pour des connes, allons y gaiment, au moins, qu'on en ait pour notre argent.
Et oui, bêtement, les violeurs devant un tribunal, trouvent toujours des cons, pour expliquer à quel point, ils sont de "bon père de famille"... Je veux dire que tant qu'à nous prendre pour des connes, autant se donner les moyens de faire les choses de façon plus franche et entière.
Sinon, je tiens juste à rappeler à la cour, qu'un doigt introduit, dans le vagin, d'une femme, au pretexte de réflexologie, "ou pas", ça s'appelle bien, UN VIOL, pour le cas où certains seraient tentés, par une relative indulgence, parce qu'ils ont un doute sur le définition.
Un truc, qui devrait être prévu, je crois aussi, pas uniquement dans ce cas précis, mais plus généralement, dans de telles affaires, serait que le généraliste, qui a fourni les arrêts maladie, au moment, s'il est d'accord, puisse délivrer son temoignage.
J'avais deja évoqué cette possibilité là, dans un article, il y a plusieurs semaines.
Sinon, pour ce qui concerne le fait, de mettre une femme, plutot, pour juger, cette affaire, je dois a vouer, que j'ai un doute...
Sait on jamais, imaginez vous, qu'il peut aussi s'agir d'un juge, homme, qui soit homosexuel, et si l'on considère, le pouvoir hypnotique de georges tron, j'ai quelques doutes, sur le déroulement du proces....
Je pose le lien de l'émission, parce que les commentaires sous la vidéo, en disent bien long, sur le chemin, qui nous reste à parcourir pour nous faire respecter.
j'invite ceux qui le désirent, à répondre à ces commentaires, et de façon explicite et respectueuse, si possible.
Il est vrai que j'ai toujours fourrré mon nez, là, où ça dérange.
Mais si l'on m'avait affirmé, un jour, que la Justice elle même, que mon avocat, et que mon coach, lui même, en personne, se ligueraient contre moi, pour me museler, afin que je ne puisse plus lutter, contre ce que j'ai toujours détesté...Jamais, je ne l'aurai pensé.
Je ne sais pas ce qu'il adviendra de moi, j'ai le sentiment que jamais, je ne parviendrai à pardonner, à tous ceux, qui depuis toutes ces années, ont veillé, si méticuleusement, à m'ecraser, pour mieux observer, telle une souris de laboratoire, avec quelle ruse, je parvenais à me relever, TOUJOURS.
Aujourd'hui, c'est par une décision assassine, qui émane de la juge des tutelles elle même, alors que je n'ai eu de cesse, que de lui dénoncer en quoi, et comment, la curatrice de l'UDAF, pratiquait, sur moi, les pires tortures psychologiques, en n'appliquant pas ce que la juge pourtant, lui avait indiqué.
Je pourrai vous la faire théatrale, selon la chanson de Barbara, en vous disant courtoisement, "et je m'en vais sereine".... Il va bien se trouver un crétin, pour s'en contenter, non ?
Mais ça serait trop d'honneur, que je vous ferai là, et je ne crois pas que le fantôme de Barbara, apprecierait.
Je pourrai aussi, vous resortir, la chanson de Anne sylvestre, sur "les gens, qui doutent"... Et qu'on s'évertue, inmaquablement, à me recoller sous le nez, en la personne de Jeanne Cherhal, Vincent Delerm, et Albin de la Simone.... C'est juste oublier, que de souffrir est infiniment plus acceptable, et concevable, quand on ne vous enferme pas dans un rôle qu'on vous impose.
Aurait elle, elle même ecrit cette chanson, si elle avait été dans la situation, que l'on m'impose, depuis toutes ces années ?
Personne ne le sait, et Anne Sylvestre, pour qui j'ai bien plus que du respect, elle même, ne le sait pas d'aventage.
Je m'excuse de ne pas être aussi forte, que beaucoup le voudraient, je ne suis qu'une simple femme, qu'on s'evertue à transformer, en vielle conne mal baisée..... Et je ne crois pas être responsable, en quoi, que ce soit, du sort que l'on m'impose.
Des lors je n'ai plus d'autre alternative, que de rentrer en moi, afin de lêcher mes plaies, pour une durée indéterminée, puisque l'énergie, qui a été mobilisée, pou porter ma souffrance, les 40 années premières de ma vie, là voilà de nouveau mobilisée, pour cette même raison, énergie, que de facto, je ne puis donc plus donner, vers l'extérieur....
Comment vous dites ?
Consulter un psy ?
Mais j'ai fait, bien sûr.
Le psy, et la psychiatrie, cautionnent entièrement, les méthodes de barbare, de Thomas Fersen. ils les cautionnent tellement, qu'ils souhaitent, non pas me mettre sous neuroletiques, de nouveau, mais sous antidépresseurs.
Quand je pense que je suis assez conne, pour avoir écrit mon histoire sur le sujet, ces derniers jours, pour avoir la certitude, qu'il ne restait rien de douloureux, entre eux et moi, je n'en reviens pas de ma naïveté.
J'attends toujours, depuis plus d'un mois, qu'il me fixe un RV avec la psychiatre, principe que j'ai accepté, mais qui visiblement, semblerait, lui poser à lui quelques problèmes de conscience...
Je souhaite bien du courage, à la profession, pour envisager la moindre collaboration avec moi, quelque soit le sujet, désormais".
Je n'ai vu cette excellente emission, que le lendemain, parce que j'ai du mal à demeurer eveillée, aussi tard.
Excellent, oui, je n'ai aucune intérêt, comme chacun sait, au sein de France Télévision, et Dieu sait que par les temps qui courrent, avec les exigences de restriction de budget, exigées, parait il, de la part de la Grande Dame, je ne parle pas de Delphine Ermotte, mais de France Télévision", les temps sont durs.
Nous savons à quelle point la stupéfaction, pour ne pas dire la profonde perplexité, doit reigner, chez le téléspectateur lambda, qui est si justement attachée, à France Télévision.
J'entends bien, qe la posture de Emmaunel Macron, tient plus de la provocation à mon encontre, sur son jugement, à son egard, ces derniers jours, comme si tenter de flinguer "à la trump", des médias de qualité, ne suffisait pas, en remettant en cause, le journalisme d'investigation, il voudrait, je suppose, faire douter de la qualité, qui va bien au delà, précisement, du journalisme, dont il est question.
Je trouve pitoyable de mépriser le service public radiophonique, (Radio France) et télévisuel français, (France Télévision), au seul prétexte, qu'on exigerait de lui, des coupes drastiques dans leur budget, et indigne d'un président et d'un gouvernement, qui se prétend "en marche".
Observant une telle critique, on est en droit de se poser des questions sur l'orientation, qu'il souhaiterait leur donner.
Qu'il ait renoncé à flinguer l'investigation, PARFAIT, "grand bien lui fasse", le mépris gratuit, et injustifié, dont il a fait preuve, par cette réflexion, démontre surtout, le peu d'intérêt que représente la télévision française, alors, que comme tout à chacun, il est bien aise, de l'avoir à son service, quand il s'agit de promouvoir son programme politique.
Et puisque certains trouvent opportun, de flinguer le mandat anterieur, que fût celui de François Hollande, je rappelle simplement, qu'en matière d'invesgation, François Hollande, lui, avait bien ouvert l'Elysée, (trop, peut être ? , c'est possible).....
Mais en tout cas, ce fût effectivement, une posture aux antipodes, de celle de Emmanuel Macron, qui semble verouiller, "à l'extrême", ses relations, avec la presse, ce qui est plus inquietant, à mes yeux, que l'exces inverse.
Mais revenons à cette émission du service public, puisque c'est sur France 2.
J'ai regardé çà, avec une grande curiosité, puisque par mon histoire, j'ai une relation particulière avec le toucher, avec le peau, et tout ce qui s'y rapporte.
Stupéfiant, ça n'est pas seulement une émission culturelle, qui a pour objectif, que de promouvoir ce que se fait, se regarde, ou s'expose.
C'est surtout un regard fort juste, et je dirai aiguisé, qui choisit un fait de société, pour l'étudier de façon transversale, dans le domaine artistique, et surtout, également, avec un regard d'historien de l'Art.
Ce regard, est d'une importance fondamentale, puisqu'elle recadre le traitement qui est fait aujourd'hui, d'un fait de société, dans un contexte chronologique, en en expliquant les causes.
Là, avec le regain ou le developpement, de ce que l'on nomme "la mode pudique", croisé avec le phénomène "balancetonporc", nous assistons dans le milieu artistique, à un retour du nu, je serai tentée de rajouter, non sans provocation, "sous toutes les coutures", et c'est juste passionnant.
On aurait pu intiltuler, l'émission, comme suit.
"Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le nu, dans l'Art et que vous n'avez jamis osé demander".
Quand je recommande d'aller revoir cette émission, alors qu'elle est deconseillée, aux moins de ?? (je ne sais plus), je precise que ma posture, ne tend pas à provoquer, d'ailleurs, il n'y a rien de "sexuel", dans ce reportage... Mais plutot, tend à mettre en évidence, le fait que la démarche artistique, a pour fonction, au sens le plus pur qui soit, d'exorciser certains problèmes de société, et que cet exorcisme est une fonction fondamentale, de n'importe quelle Démocratie...Et qu'il importe, de bien le comprendre, et de l'intégrer.
Le problème en vérité, est le suivant.
S'imaginer que sous prétexte, qu'un homme ou qu'une femme, revendique le fait de couvrir sa peau, "trop", trop peu", "pas assez, "pas suffisemment", et le revendique, comme etant des marqueurs de respectabilité sociale, ou relative au respect de son corps, est, et on le perçoit bien, dans ce reportage, parfaitement hypocrite.
En effet, à l'echelon mondial, quelque soit la culture, quelque soit l'endroit, sur cette Terre, où vivent les humain, c'est encore chez nous, en Occident, et certainement pas en Orient, que statistiquement, une femme qui se soit fait violer, va se sentir d'aventage protégée, et va revendiquer le fait, qu'elle puisse être reconnue, comme vicitime, et qu'elle se considère en droit de porter plainte, et de demander Justice...
Alors quoi , ça rime à quoi, ce soit disant "respect des femmes", au prétexte, qu'on leur impose de cacher leur peau ?
Ca rime, A QUOI ?
Et oui, n'en deplaise aux adeptes de la mode pudique, plus une société, quelle qu'elle soit culpabilise une femme qui revendique de découvrir sa peau, plus, elle met l'accent sur l'impunité octroyée aux hommes, pour nous manquer de respect.
Il ne s'agit pas pour moi d'une injonction à se découvrir, mais mais d'une injonction aux hommes à les autoriser à le faire, et à se remettre en question, sur les raisons véritables, qui les incitent à le leur interdire, ce qui est bien différent.
Si je devais faire la synthèse, des quelques raisons qui justifient le fait qu'il soit important de regarder ce reportage, je dirai, qu'il restitue au nu, la mimension, purement esthetique, NON EROTIQUE, et NON SEXELLE.
Je parle là, d'une synthese de l'émission, et pas du detail.
Je veux die, que de traiter un sujet, comme ce fût fait, là, sous l'angle transversal, et chronologique, come quand on regarde n'importe quel reportage, ou film, d'ailleurs, presente, un interêt, quedans la mesure, où une fois regardé, on a le sentiment, de percevoir ce probleme, sous un angle nouveau, ou au minimum, "un peu different, ce qui est le cas.
Voilà, en quoi, cette émission, est profondement salutaire, par les temps qui courrent.
Cependant, je ne peux pas me résoude à me taire, quand aux critiques qui sont faites, sur certains de ces spectacles, mais je m'en explique.
Je cite : "Trop de nu, c'est inutile, ça ne rime plus à rien".
Je pense que la surabondance de nus, ne fait que reponde justement, à cette pudibonderie, que certains souhaitent revendiquer.
Il me semble, que plus on revendique la mode pudique, et on instrumentalise cette tendance, plus artistiquement, ces derniers sont tentés de s'en saisir, ne serait ce que par provocation.
Pou ceux que ça dérange, je me pose simplement la question suivante, sachant que le spectacle, traitait de ce sujet, qu'est ce qu'ils sont allés y faire ?
Ne serait pas là, plutot, qu'il faille se poser la question, dont la réponse, est à mon avis, précisement de vouloir le monter en épingle, dans le but de le récupérer politiquement.
Certes, le fait, de "jouer du nu", dans un spectacle, peut sembler, un argument bien maigre, et n'est pas synonyme de talent...
Mais qu'est ce donc, que le talent ?
Il est coutume d'admettre que c'est toujours le public, quia raison, cette pièce est nulle , PARAFAIT, elle ne tiendra pas l'affiche longtemps, et qu'il y ait du nu, ou pas, la regle demeure la même.
Alors, de grâce, arrêtez de nous pêter les c......
Juste un commentaire.
Le sujet des modèles qui posent pour les peintres, encore, aujourd'hui, n'a pas été evoqué, et je trouve ça, regrettable.
J'ai deja fait, un après midi, c'est moi qui suis allée au devant d'un peintre que je connaissais, et dont, j'admirais le travail, et je l'ai fait dans un but thérapeutique.
dans le cadre d'un cours de dessin, aussi, nous devions être une douzaine, peut être, je en sais plus, nousa vons dessiné, avec un modèle, c'était une femme, nue... (et oui, car il arrive aussi, que des hommes et des femmes, posent, HABILLES !
(qui l'eut cru.
Et dessiner un nu, avec un modèle vivant, artisquement, c'est juste tres agreable, ça oblige justement, à observer le corps humain, sous un angle, qui n'est pas coutumier.
Pour finir, sur ce sujet, il me faut compléter par l'enquête qui a été menée, au sujet des oeuvres d'Art, et des résaux sociaux.
Je dois avouer que je suis consternée, d'observer une telle sensure, notamment, sur FB.
Si je synthètise, comme ce fût fait par un des commentateurs, si vous posez une photo de Mireille Darc nue, elle ne passe pas, mais si quelqu'un donne l'ordre d'aller tuer toutes les femmes rousses, qui portent un pantalon vert, ça ne leur pose aucun problème...
De façon générale, je pense que chaque reseau social, devrait avoir comme politique, de clairement, annoncer la couleur, de telle sorte que leurs utilisateurs, sachent veritablement, à quoi, s'en tenir.
Observer, que des Musées, en soient arrivés, comme c'est démontré, à tester, sur leurs pages FB personnelles, si telle reproduction, de tel tableau, "passe,", ou "ne passe pas", est juste terrifiant, quand on considdere à quel point, FB detient, une forme de monopole, en ce qui concerne la capacité à promouvoir, une exposition, ou un evênement.
C'est clairement à mes yeux, une sensure injustifiée, et un véritable abus de pouvoir.
Certain vont trouver quelque peu hasardeux, de voir, que je mélange tout ainsi.
J’ai déjà commenté, pat le passé, ce livre, à l’époque, et surtout, ce que personne ne faisait, le fait qu’il ait eu un aussi grand succès, et quelles, en étaient les potentielles raisons.
Si je m’étais permis de le commenter, à l’époque, non pas que je m’en croyais indigne, mais comme toujours, je ne l’avais pas lu, alors, ça me semblait cohérent.
Mais lors d’une de mes dernières hospitalisations à l’HP, pendant quelques jours, alors qu’on m’avait déplacée dans différents services, j’avais sympathisé avec une jeune femme qui tenait dans ses mains, ce livre.
Elle m’expliquait alors, qu’il lui avait été offert, par sa propre mère, qui comme elle, était victime de violences conjugale, raison pour laquelle elle se trouvait hospitalisée en HP, ce qui en soit, déjà, m’interpellait sérieusement.
Je ne nie pas qu’il puisse arriver qu’une femme battue, ait besoin, dans certains cas, d’être hospitalisée, mais objectivement, celui qui a de graves problèmes, dans le couple, c’est celui qui porte les coups, et pas celle qui les reçoit.
BREF.
Je rentrais chez moi, plutôt pensive, par ces confidences qu’elle m’avait faites.
Il y a quelques jours, je découvrais le film, qui a été fait du livre.
Je ne l’ai pas regardé, par intérêt, mais par devoir, parce que je voulais éventuellement pouvoir compléter le travail que j’avais fait sur le livre, et son analyse.
J’avais retendu, dans un article précédent, qu’il était probable, que sur le pourcentage de livres achetés, un fort pourcentage, l ne l’avaient ^me pas ouvert, et je persiste en ce sens, à moins qu’il ne leur soit tombé des films, comme moi, j’ai laissé tomber le film, au bout d’une heure…
J’ai insisté, je précise, par devoir, puis j’ai laissé tomber.
Vous me direz « mais toi aussi, tu achètes des livres, quelquefois, que tu ne lis pas », ce qui est vrai, et c’est souvent le cas, mais moi, c’est pour une autre raison, c’est par manque de temps, et à cause de ma dyslexie.
Mais une des questions, qu’on peut se poser, réside sur les raisons, qui justifient d’acheter un livre.
Je pense que certains font l’objet d’achats compulsifs, comme n’importe quelle bien de consommation.
Acheter 50 nuances de gris, à l’époque, et le poser sur la table, en rentrant chez soi, était sensé, je crois, se faire passer pour ce qu’on est pas, ou en tout cas, tenter de suggérer, qu’on aimerait bien, être autre chose, vis-à-vis de celui qui partage sa vie que ce qu’on est.
Tenter d’allumer un fantasme, en quelque sorte.
L’autre théorie que j’avais avancée, était que le succès, était dû au fait que les femmes devant assurer sur tous les plans, ce qui se traduit sociologiquement, par l’expression « charge mentale », le désir de laisser l’initiative aux hommes, une fois passé le seuil de la chambre à coucher, m’avait semblé assez cohérent.
Et oui, comme vous l’aurez remarqué, il existe effectivement, une sacrée nuances, entre revendiquer des pratiques SM, et simplement proposer à l’homme de prendre l’initiative, nuance, que certains hommes, semblent d’ailleurs, ne pas avoir encore saisie.
Mais venons-en au film.
Il s’agit dune jeune femme, vierge, de surcroit, qui fait la connaissance d’un bel homme, plus âgé qu’elle, et riche….
La description qui est faite du film, généralement, prétend, que l’objectif du film, tendrait à décrire, l’initiation du mentor sexuel, vis-à-vis de son élève, qu’il initie.
Pour commencer, je tiens juste à préciser, que le contexte qui est décrit, est détaché de toute probabilité.
Je ne prétends pas que ça n’existe pas…
Mais franchement, la fille qui gagne le SMIG, à ranger des boites de conserves, dans une superette de quartier, qui voit débouler un mec pété de thunes, qui l’emmène des le lendemain, à la ville la plus proche, dans son hélico personnel, qu’il conduit lui même bien sûr….Moi, perso, je n’ai pas trouvé ça excitant, mais comique, oui, certainement .
Nous en étions, là, à la version de Danny Boon, qui nous explique la collection Arlequin…
Car en vérité, ça n’est de plus que ça…..
Et oui, objectivement, il faut bien le reconnaitre, ça n’est rien de plus.
Car enfin, que recherche ton, quand on ouvre un livre, ou qu’on regarde un film ?
Certains ont envie de trouver des réponses aux questions qu’ils se posent, sur un thème abordé.
D’autres « une belle histoire ».
D’autres, que ça colle avec certaines formes de réalité sociétales, dignes de les faire ressortir, ensuite, en se disant, « tiens, oui, c’est vrai, j’aurai pas vu les choses comme ça ».
Un peu des trois, souvent, je crois, avec selon les goûts de chacun, plus certaines raisons que d’autres.
En ce qui me concerne, je place le cinéma si haut, dans mon estime, qu’il me faut bien reconnaitre que c’est la troisième raison, qui est la plus forte.
Inutile de vous alors, que « le film m’est bien vite tombé des mains ».
Mais au-delà du fait que je n’y ai pas trouvé mon compte, je vois d’autre part, par contre, une certaine toxicité, dans le film, puisque ce dernier tendrait à laisser croire, puisque le lien, entre coups et blessures, ou si vous préférez, le phénomène de violences conjugales, est avéré, qu’il existerait une voie, qui tendrait à laisser croire, qu’une femme battue, ne serait qu’une femme, qui serait adepte du SM, mais qui refuse de l’admettre, ou qui en tout cas, refuserait d’admettre, la théorie, sein laquelle, de recevoir des coups serait légitime, et acceptable, au sein d’un couple.
En somme, ce film, pour moi, est juste d’une certaine façon, fortement préjudiciable, parce qu’il tendrait à légitimer la violence conjugale, en laissant croire, que « sous certaines conditions », liées aux pratiques sexuelles, ça serait non seulement, acceptable, mais pourquoi pas, digne, d’ouvrir des portes insoupçonnées, vers le plaisir sexuel.
Et que l’on ne vienne pas me répondre, qu’avec son contrat, qu’il lui fait signer, ça devient recevable et légitime…
S’il suffisait d’être épanouie sexuellement, pour que tout roule, comme sur des roulettes, psychologiquement, ça se saurait.
L’équilibre psychologique au sein d’un couple, est une chose éminemment subtile, l’épanouissement sexuel, n’en est qu’une des facettes, et je persiste à prétendre que ce film, en banalisant les violences et la domination du « mentor sexuel », sur la jeune femme, dans l’esprit de certains jeunes, filles ou garçons, peut être toxique.
Il est possible que certains doutent, de ce que je prétends, là .
Et bien sachez pour information, que lors de cet internement psychiatrique, aussi, justement, il m’est arrivé aux oreilles, que certaines femmes, et pas uniquement des jeunes filles, se retrouvaient embarquées, dans des histoires soit disant SM, alors, que pour moi, la définition même du SM, ne peut être autre, que librement consentie, et entre personnes, qui se connaissent suffisamment, pour y prétendre, certaines, donc, se retrouvent au comissariat, pour viols, ou coups et blessure, voir, internement psy, au seul prétexte, qu’elle sont parties d’à prioris, parfaitement tronqués, sur les pratiques SM.
Alors, je le dis, et je dis, de nouveau, le corps que nous avons, est un bien précieux, qu’on ne doit pas prêter à n’importe qui, et surtout à un connards, qui n’a pour seul ambition, de vous considérer que comme un jouet sexuel, destiné à assouvir, ses frustrations perverses, dans sa sexualité à lui.
J'expliquais dernièrement, dans une video, que j'ecrivais un livre, sur la spiritualité, ou plus precisement, sur un approche philosophique, du fait religieux.
J'expliquais, qu'aujourd'hui, certains musulmans remettent en cause bon nombre des versets, qui sont écrits dans le Coran, et passent par les reseaux sociaux, pour m'envoyer leurs remarques, me donner certaines explications, pour que je sois leur porte voie, mais aussi, pour que je commente, ou que ça alimente ma reflexion, dans l'ecriture de mon livre.
Avant hier, donc, on vint me poser ce txte, sur FB.
Il est deja arrivé, qu'on m'explique, ce qui est vrai, que le plus gros probleme de l'Islam, aujourd'hui, reside dans le fait qu'il ne parle pas d'une seule voix? mais qu'au contraire, chaque imama, fasse sa sauce, et donc, "pêche", pour defendre les idées, qui l'intéresse, lui, au détriment d'un discours qui dans l'interêt de tous, devrait plutôt montrer une forme de coegherence générale.
Alors certins me diront "mais enfin, un prêtre dans sa paroisse, il en est tout autant"...
Et bien non, justement.
C'est vrai, pour le prêche, oui, il n'est pas question, d'interdire au prêtre, qu'il impregne de ses idées, sont intervention, pendant le culte.
Mais...
Les textes lus chaque dimanche matin, pendant les messes, sont les mêmes lus, où sont dites les messes.
Et c'est uniquement, le commentaire qui en est fait, qui permet au prêtre, de le developper ou de le commenter, comme bon lui semble.
Il est deja arrivé que je recomande de regarder, le dimanche matin, les émissions religieuses...
Il ne faut pas se contenter de ne regarder que celle qui concernent le culte qui est le vôtre, mais au contraire de regarder, au moins en partie, ou episodiquement, les émissions des autres cultes, y compris, ça va sans dire, celle qui est consacrée à l'Islam, pour diverses raisons.
D'une part, ça permet d'observer de façon absolument criante, les énormes simillitudes, qui existent d'un culte à un autre.
Mais ça permet aussi, d'observer, dans chaque culte, en quoi, pourquoi, et comment, le culte en question entre en raisonnance, et de quelle façon, avec l'actualité.
Un exemple.
Dans l'émission qui est consacrée à l'Islam, je me souviens a voir vu qu'il était expliqué, que les prières devaient être adaptées, au pauses observées, selon le travail...
Et pas l'inverse.
Je veux dire par là, que ce sont les moments de prières qui doivent s'adapter aux lois relatives au travail, et pas l'inverse.
Et si j'explique celà, ce matin, c'est pour repondre justement, au post, qu'on m'a posé, sur FB, avant, hier, et que vous livre.
Je cite:
▬ Lu pour vous ▬
Kamel Daoud (je me suis permise d'aérer le texte, pour une lecture plus confortable).
Jeudi 23 nov 2017.
Je viens de revoir occasionnellement, à l'instant, une émission de Thé ou Café, consacrée à Jeannette Bougrab.
J'avais été particulièrement choquée, après l'attentat de Charlie Hebdo, de voir la façon dont elle avait été lynchée, et qu'on remettait en cause sa relation avec Charb'.
Moi, qui suis une fervente défenseuse de le moindre notion de fidélité, que ce soit dans le couple, ou que ce soit de façon plus large, j'avais observé ce problème aussi, à la mort de Coluche, ou la "légitime", qui avait été mariée au defunt revenait sur le devant de la scène, comme la seule femme digne d'être mise en avant, au seul et unique prétexte, qu'un jour, l'homme en question l'avait épousée...
Ca n'est pas la première, helas, ni la dernière, qui se trouvera broyée, au seul pretexte que l'homme en question, a une vie sentimentale, relativement complexe, et que ce soit la femme, qui se touve rangée au placard de la médisance bien pensante.
"Fermons la parenthèse".
Certains la détestent.
Bon, fort bien, raison de plus pour que je m'y attache, alors, j'admire son incroyable courage, et s'il s'en trouve que ça dérange, qu'ils prennent bien conscience que je les emmerde.
Mais au delà, de ces considérations, à la boutin version islamique, je précise que sa position, au sujet du voile, n'est pas exactement la mienne, même si je la respecte.
Je prétends, qu'une jeune femme qui persiste à porter le voile, ici, en France, ne doit le faire que si c'est son choix, et que nous n'avons pas l'entraver, la manipuler, ou la stigmatiser, pour l'instrumentaliser politiquement.
Je veux dire que la base même du féminisme, consiste justement, à leur laisser le choix d'en décider.
Mais les propos qu'elle tient, sur les jeunes femmes qui sont tentées par le fondamentalisme islamique, est parfaitement opportun, et courageux, quand elle parle de pures inventions, quand on parle d'un retour à un islam, qui serait "pur".
Si l'on observe la métaphore avec le végétal, je rappelle que certaines maladies de certaines plantes, s'en prennent aux racines, elles même, et que si les racines, sont gâtées, ou pourries, la partie qui en poussera, ne pourra être viable.
D'autre part, j'ai regardé un reportage passionnant, sur ARTE au sujet des Républiques banannières, en Amérique centrale. j'y reviendrai, dans un autre article.
La théorie que je développe sur la monoculture, qui est toxique, quand à la faune et la flore, Y COMPRIS QUAND C'EST EN BIO...; Trouve aussi, une correspondance parfaitement judicieuse, si on l'applique, à la multiplicité des cultures, dans un même pays, comme l'est la multiplicité des cultures, dans la nature, vraie, ce qu'on appelle la BIODIVERSITE a donc, ainsi, une véritable correspondance, avec le CULTODIVERSITE. (c'est nouveau, ça vient de sortir).
Il s’agissait, depuis quelques années, d’aborder ce sujet, face à des faits divers, qui mettaient en accusation, souvent des professeurs, face à des élèves, qui se voyaient accusés de pédophilie, au seul prétexte de l’âge de l’un d’eux, et sans jamais tenir compte, du fait, que c’était avant tout, d’Amour, dont il était question.
Je ne suis pas en train d’encourager ce type de comportement, je dis juste que le sentiment véritablement amoureux, entre un adulte, et un ou une adolescente, peut effectivement se produire, et ça n’est certes pas notre couple présidentiel, qui risque de mettre ma parole en doute.
Un des aspects, qui doit attirer, la plus grande attention, que ce soit dans le milieu des avocats, ou dans l’entourage, réside, dans le fait, qu’il peut parfaitement se produire, que des parents, se disent les mieux intentionnés du monde, en qualifiant de viol, par le dépôt de plainte, sur l’acte commis, ALORS QUE LA VICTIME ELLE N’A PAS CE SENTIMENT et donc, PAS CE DESIR, rendant ainsi, traumatique, un acte sexuel, qui ne l’aurait pas été.
Voilà, le danger.
Là, le moins que l’on puisse dire c’est qu’on est bien loin, de ce genre de situation, puisque c’est la victime, qui est plaignante.
"A 11 ans, on n'est pas consentante." Devant le ministère de la Justice à Paris, mardi 14 novembre, plusieurs organisations féministes dénoncent de récentes décisions de justice dans des affaires concernant des mineures. Début novembre, notamment, la cour d'assises de Melun (Seine-et-Marne) a acquitté un homme accusé du viol d'une fillette de 11 ans, des faits remontant à il y a huit ans. L'affaire a suscité un vif émoi dans l'opinion et relancé le débat sur le consentement sexuel des mineurs : faut-il fixer un seuil, un âge en dessous duquel une victime ne pourra jamais être considérée comme consentante ?
Dans cette affaire, tout débute au mois d'août 2009. L'enfant se trouve en vacances chez son oncle. Elle joue au ballon et fait du vélo en compagnie d'autres enfants, dans la cour intérieure d'un immeuble de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Sa cousine et une amie viennent l'informer qu'un "grand" veut lui parler. Ce jeune homme âgé de 22 ans se trouve également en villégiature dans le lotissement, chez un proche, mais ne lui a jamais adressé la parole auparavant. "Ils discutent de tout et de rien", raconte Laure Habeneck, avocate de cette jeune fille qui est aujourd'hui âgée de 20 ans. L'homme lui demande où il peut trouver un parc dans les alentours.
La plaignante assure avoir bien informé son interlocuteur de son âge, 11 ans. L'homme affirme qu'elle lui a dit 15 ou 16 ans. La fillette "fait" pourtant bien son âge, affirment par la suite des éducateurs, selon Laure Habeneck. Les deux protagonistes discutent de tout et de rien, tout en se dirigeant vers le parc voisin. "Il la suit, car elle connaît mieux Champs-sur-Marne que lui", raconte Samir Mbarki, avocat de l'homme. "Jusqu'à l'entrée, tout va bien. Ma cliente n'a jamais prétendu qu'il l'avait traînée de force, poursuit Laure Habeneck. Mais d'un seul coup, il s'empare d'elle et tout bascule."
Consentante à 11 ans ?
C'est à partir de là que les versions divergent. La plaignante dit avoir été maintenue, déshabillée et pénétrée. "Elle ne lui dit non à aucun moment, ça se fait naturellement", répond Samir Mbarki.
Et oui c’est bien là, que réside le problème « NATURELLEMENT ? COMME UN ANIMAL EN RUT QUI CONVOITE UNE FEMELLE ET QUI LA PREND,
Ha, ça, pour se faire, NUTURELLEMENT, c’est naturel, c’est sûr.
C’est caractéristique, du viol, par essence, justement, aucun affect, aucun discernement, on dispose du corps de la femme, ou de l’enfant, comme si c’eût été un morceau de viande…
Juste dégueulasse.
"C'est parole contre parole", ajoute-t-il, en pointant l'absence de certificat médical, d'ITT (Incapacité totale de travail) ou de témoins.
Et oui, bien sûr, à 11 ans, effectivement, quand on subit ce genre de chose le cops, lui commence à se transformer, mais mentalement on est encore un enfant.
Ce qui est incroyable, c’est que cette notion de « sidération », que putain de bordel de merde, il va falloir arriver à tatouer, sur le front de tous les humains, ma parole, n’ait encore et toujours, une fois de plus, absolument pas pris en compte !
Alors, on va rappeler de quoi, il s’agit.
Le phénomène de sidération, réside dans le fait, que le sentiment de peur paralyse entièrement, le corps de telle sorte qu’on est incapable de réagir, de hurler, ou d’appeler au secours.
Voir l’exemple que j’ai bien dû raconter environ 20 fais, depuis des années et des années, en divers endroits de mes sites internet, l’exemple de la souris et du chat que j’avais observés, dans mon jardin, il y une vingtaine d’années.
Mais Laure Habeneck est convaincue du caractère contraint de l'acte sexuel. Elle voit mal sa cliente, de nature timide et réservée, tomber dans un tel scénario avec un inconnu. "L'expert-psychologue explique que c'est quelqu'un qui n'exprime pas ses sentiments, jamais." Un enfant issu de ce rapport sexuel est né l'année suivante, en 2010, avant d'être placé. La famille a pris connaissance des faits lors de la grossesse de la jeune fille, selon Le Parisien.
Au moment d'évoquer son histoire, lors de l'audience à Melun, lundi 6 et mardi 7 novembre, la plaignante est en pleurs. Laure Habeneck évoque une jeune femme "très courageuse et digne" : "La défense a décrit la scène comme une initiative d'un rapport sexuel – le premier de sa vie, dans un parc avec un inconnu !". L'avocat général requiert huit ans de prison et un suivi socio-judiciaire, mais l'homme est finalement acquitté des accusations de viol. Citée par l'AFP, la procureure de Meaux explique que les jurés ont considéré que les éléments constitutifs du viol, "la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n'étaient pas établis".
Je regrette , mais pour moi, c’est bien de viol, dont il est question, puisque cet enfant a bel et bien été « prise », par surprise, il y a de toute évidence, abus de pouvoir d’un homme qui se considère comme légitime, AU SEUL PRETEXTE qu’il a un ascendant en âge, et physiquement, pour moi, c’est un viol, et certainement pas une simple agression sexuelle.
"Comment ça se fait que des gens potentiellement parents puissent prendre des décisions comme celle-ci ?", s'interroge la mère de l'accusée, citée par l'avocate. Pourquoi la Cour n'a-t-elle pas retenue la "contrainte morale" ? Depuis 2010, l'article 222-22-1 du Code pénal prévoit que cette contrainte "peut résulter de la différence d'âge" entre une victime mineure et son agresseur. Agée de 11 ans lors des faits, la fillette était-elle seulement en mesure de consentir à un acte sexuel ? "Ma réponse est non", tranche son avocate.
Il n'y a aucun doute possible. C'était une enfant à l'époque. Elle ne s'intéressait pas aux garçons.
Laure Habeneck, avocate de la plaignante
à franceinfo
Mais le texte de 2010 sur la contrainte morale donne une "simple possibilité de définition", nuance Audrey Darsonville, professeure de droit pénal : "C'est une indication". La différence d'âge, seule, n'est aujourd'hui pas suffisante pour qualifier la contrainte. En revanche, la juriste estime que le juge aurait, dans cette affaire, pu et dû retenir le critère de surprise. "Une fillette de 11 ans n’a pas besoin de hurler pour que le viol s’applique, explique-t-elle. On peut considérer que l’état de sidération – qui est un état de tétanie – empêche le consentement."
12, 13, 14, 15 ans... Quelle limite ?
Pour éviter des cas comme celui-ci, de nombreuses associations proposent de fixer dans la loi un âge en deça duquel l'agression sexuelle (ou le viol, en cas de pénétration) serait établie de facto : tout acte sexuel entre un adulte et un mineur en-dessous de ce seuil serait qualifié de viol. "Cette question se pose car la loi est mal appliquée, estime Audrey Darsonville. C’est peut-être aujourd’hui le seul moyen qu’on a de protéger les mineurs." "L'avantage, c'est que l'avocat général n'aurait plus à apporter la preuve d'un défaut de consentement", poursuit Laure Habeneck. L'idée fait aujourd'hui l'objet de plusieurs pétitions et de quatre projets de loi, selon un décompte du Monde. La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s'est engagée "sur une loi autour du printemps", au micro de CNews.
Reste à définir ce fameux seuil. Le Haut Conseil à l'égalité propose 13 ans. Audrey Darsonville rappelle qu'un mineur peut être incarcéré à partir de cet âge, en droit pénal des mineurs. "Si l’on considère qu’un mineur de 13 ans est assez mûr pour être incarcéré, on peut considérer aussi qu’il a la maturité suffisante pour accorder son consentement aux relations sexuelles." C'est aussi l'âge statistique de la puberté, précise le psychiatre Roland Coutanceau, coauteur de Victimes et auteurs de violence sexuelle (éd. Dunod) : "L’imaginaire sexuel est révolutionné par la puberté. Une fille ou un garçon prépubère ne cherchent pas dans la sensualité la même chose qu’un(e) pubère."
Mais "la révolution pubertaire" n'est pas suffisante pour "donner un consentement pour une sexualité adulte". Le médecin rappelle que tous les adolescents ne développent pas la même maturité au même âge. "Au-delà du symbole de l'âge, qui permet de donner un message dans le champ social, rien ne remplace l'étude au cas par cas. Il faut encore étudier in concreto chaque histoire, pour comprendre ce qui s'est passé entre les deux protagonistes." D'autres propositions françaises évoquent un seuil à 15 ans. L'Espagne, l'Allemagne et le Royaume-Uni et l'Allemagne ont respectivement adopté des barrières à 12, 14 et 16 ans.
Une requalification en "atteinte sexuelle" possible
On veut faire croire que la cour d'assises a légalisé la pédophilie en France, mais personne ne veut comprendre ! C’est horrible ce que la plaignante a subi, mais cela s’appelle une atteinte sexuelle sur mineure de moins de 15 ans et pas un viol.
Samir Mbarki, avocat de l'accusé
à franceinfo
Récemment, le tribunal de Pontoise (Val-d'Oise) a ainsi acquitté un homme, accusé de viol, dans un dossier similaire, tout en le poursuivant pour atteinte sexuelle. Cette qualification, toutefois, n'a pas été évoquée dans l'affaire de Champs-sur-Marne. Sollicité par franceinfo à ce sujet, le parquet n'a pour l'heure pas donné suite. Un tel délit aurait peut-être pu permettre de condamner l'accusé, mais pour Audrey Darsonville, toutefois, ce terme reste un pis-aller dans ce genre d'affaires. "C'est très injuste pour les victimes car l'atteinte sexuelle postule qu'elles étaient consentantes", analyse-t-elle.
Contrairement au viol, l'atteinte sexuelle n'est pas un crime, jugé aux assises, mais un délit, puni de cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende, étudiée au tribunal correctionnel. Quand elle n'est pas utilisée à bon escient, il s'agirait donc d'une sous-qualification. "Les juges sont parfois réticents à envoyer des mineurs devant la cour d’assises [pour un crime, le viol], par crainte que leur parole ne soit pas suffisamment entendue par les jurés", explique Audrey Darsonville.
Dans cette affaire, la plaignante "a dû faire preuve d'énormément de courage pour venir à la barre", estime son avocate. Après avoir fait "le deuil de son enfance" en 2009, elle a vécu l'acquittement "comme un deuxième traumatisme", selon les mots de Laure Habenec. Aujourd'hui étudiante, la jeune femme âgée de 20 ans ne souhaite pas s'exprimer. Un nouveau procès doit avoir lieu, car l'avocat général a fait appel du jugement controversé.
Il y a un autre traumatisme, qui n’est pas abordé, c’est que cette jeune femme, elle, a placé son bébé, chose que je peux comprendre.
Le simple fait, que précisément, elle n’ait pas désiré soit le garder, soit manifester un intérêt positif, pour cet enfant, en dit pourtant long sur le sujet.
En effet, dans l’hypothèse, où il n’y ait pas eu viol, il eût été plus facilementenvisageable, même si elle l’aurait placé, qu’elle garde un lien, avec cet enfant, non ?
Il importe effectivement, d’aller en appel, et de légiférer sur le sujet, parce que ce verdict, s’il ne change pas, ferait rigoler, bien des pédophiles, qui pour peu que leurs proies potentielles, commencent simplement, à manifester, des signes de puberté, ou à porter le moindre vêtement qui tendraient à montrer un signe de féminité, feraient d’elles, des proies potentielles, avec la bénédiction de la Justice…
En gros, aux yeux des pédophiles, le message serait le suivant :
« Bon, ben, ok, y’a plus qu’à se servir, alors ».
Voilà, la lecture qu’ils en font, EUX !
Sinon, la question à cent balles, il en pense quoi, lui, le coupable, du fait, que sa descendance, soit pris en charge par la DASS ?
Je cautionne entièrement, tout ce qui a été dit, dans cette vidéo.
Mais je précise ma pensée...
Nous n'avons pas affaire ici, à une bande d'illuminés, qui jouent les maitres spirituels, comme le font certains prédicateurs, helas, quelquefois au sein de certaines religions, non seulement parfaitement officielles et tolérées, et dont certaines sont parfaitement instrumentalisées, par le pouvoir en place, pour justifier certaines dictatures.... Ou bien à certains mentors toxiques, qui sous couvert d'un coaching qui semble clean à tout point de vue, généralement à grand coup de photoshop, et de dents blanches, habillé de la finance internationale, ne cherchent qu'à nous faire croire que de s'attacher au monde ancien, POUR DE MAUVAISES RAISONS suffirait à calmer la peur de l'avenir....
Alors qu'en vérité......
Cette formule n'est pas de moi, on me l'avait posée, sur mo fil FB, je crois, mais je l'avais trouvée tellement juste et intelligente, que je la recite.
Le meilleur moyen de calmer notre angoisse, quand notre avenir,
ça consiste à le bâtir soit même, en y prenant part".
Pour revenir à cette vidéo.
L'objectif, consiste à mettre en avant le fait qu'au sein de certaines religions, existe depuis le début, certaines théories qui convergent toutes vers la même idée, qui réside dans le fait que d'une part, il existe au sein de l'Humanité, et dans son histoire, certaines valeurs universelles, l'Amour de l'autre, ou au minimum, la Bienveillance, et que chacun est entièrement libre de choisir d'y avoir recours, sans pour autant, qu'il s'agisse d'en souffrir, bien au contraire, puisque c'est le seul enrichissement qui vaille.....
J'ai regardé, hier soir, " C politique", sur france 5, et je suis en train de la commenter.
Pour ce qui concerne la bienveillance, soyez sans crainte, quand Simone n'est pas là, Françoise ville, et si certains au service de la politique et de la finance, ont deja eu le culot, d'exploiter le mot BIENVEILLANCE à des fins de récuperation politique, j'ai particulièrement hâte d'observer qu'il en soit de même, avec le mot COMPASSION, qu'on rigole cinq minutes...
Moi aussi, comme Laurent Ruquier, je pourrai l'appeler ainsi, je trouve ça parfaitement légitime, non parce qu'il est "mon pape", mais parce qu'il le mérite amplement, posture que je n'aurai, je crois, jamais adopté, vis-à-vis de ses prédécesseurs, qui ont été bien moins courageux que lui, ne l'a jamais été, depuis le début de sa nomination, en temps que pape.
Pour ce qui concerne le fait, qu'il ait choisi un français, pour ouvrir son cœur, et si j'approuve parfaitement les motivations, qui sont données par l'auteur, je crois que c'est aussi, en partie lié à moi, qui suis française, pour le cas, où certains l'auraient oublié.
Christine Angot, ensuite, explique que sa notion du temps, devient pour le moins contraire, aux propos tenus par l'auteur, si l'on observe que six mois de psychanalyse, lui ait semblé suffisant.
Si je crois avoir un regard à présent assez affuté sur le sujet, tout comme elle, il me semble plutôt hasardeux, de prétendre qu'une psychanalyse soit inefficace, sous prétexte, qu'elle ait été aussi courte….
En effet, chaque individu est unique, il le devient plus encore, au fur et à mesure, que les décennies se déroulent, et posent devant nous d'incroyables obstacles à franchir, et si l'on peut prétendre, dicerner certaines généralités, dans ce domaine, il me semble qu'elle tout comme moi, d'ailleurs, devons a voir la sagesse, de ne pas prendre nos expériences, sur le sujet, comme seul regard qui mériterait de valoir comme généralité….
Pour ce qui concerne le regard qu'il donne, sur les femmes, alors, qu'on lui reproche, que sous prétexte qu'il ait eu quelques petites amies, il ne peut pas les prétendre…
Mais peut on vraiment, aujourd'hui, prétendre les connaître? Ou plutôt NOUS CONNAITRE….
Nous ne pouvons prétendre connaître les femmes, comme n'importe quel autre groupe d'humains, d'ailleurs, que par le regard un peu biaisé, de nos expériences personnelles, qui, si elle peuvent sembler partiales, quelquefois, présentent, au moins, l'aventage, de la bienveillance, enfin, j'ose l'espérer, là, où une plus grande subjectivité, peut être, le serait moins…
Combien d'hommes, aujourd'hui, sont en couple, aujourd'hui, jeunes couples, vieux couples, qui font quelquefois, l'admiration, autour d'eux, alors, qu'une fois, entre leurs quatre murs, ils ne se parlent quasiment, pas, ou peu, et l'un et l'autre, vont confier leurs soucis, à l'extérieur ?
Connaissent ils mieux pour autant, l'autre sexe, que quelqu'un, comme le pape ?... Pas si sûr.
Bon ensuite, en ce qui concerne l'affaire barbarin, par contre je me range entièrement, derrière ce que prétend, Christine Angot….
"Grâce à Dieu, les faits sont prescrits"….
C’est-à-dire que pour barbarin, la réputation de l'Eglise, passe avant l'intérêt des enfants, qui avaient été confiés aux prêtres….
Christine Angot dit : "il considère que le silence des enfants, traduit leur responsabilité", enfin, c'est tourné un peu comme ça.
Quand l'auteur cherche à recentrer la problématique, sur le fait que la pédophilie, doit être revu sous l'angle sociétal donc, surtout, aussi familial, il a parfaitement raison… SAUF QUE…..
Adopter cette tournure, démontre, une méconnaissance absolue de la psychologie de l'enfant, puisque c'est occulter entièrement, le fait que précisément, en temps que "notable spirituel", un prêtre est infiniment plus répréhensible, encore, que ne le serait un autre adulte, qui serait simplement responsable d'un enfant….
Et que c'est justement aussi, parce qu'il s'agit d'un maitre spirituel, que l'enfant se tait, d'autant plus, vis-à-vis de sa famille, et de ses parents…
Pour ce qui concerne le fait, d'observer le fait que l'Eglise, gère des temporalités, je dois admettre, que j'ai du mal, à taire ma colère, parce que la temporalité, j'y vois, moi, une autre notion, qui concerne le temps de prescription, en ce qui concerne les crimes sexuels, en général, et la Loi, qui est si imparfaite, encore, pour l'instant….
Un enfant qui est victime d'un acte pédophile, est entièrement broyé, si cet acte est commis, par un prêtre, il l'est dix fois plus, n'en déplaise à certains, justement, parce que la notion de bienveillance, et de refuge spirituel, s'en trouve assassiné…
Imaginez donc, ensuite, dans quel contexte cet enfant, (qui existe encre aujourd'hui, pour information), et qui va se rendre au catéchisme, sachant que son père et sa mère, souhaite qu'il s'y rende, il n'ose rien dire, de peu du scandale, et ses parents, en gros, l'envoie direct à l'abattoir….
Oui, j'ai bien dit AUJURD'HUI, là, au moment, où je vous parle.
L'Eglise d'aujourd'hui, n'est pas responsable, pour ce cas là, puisque tant que l'enfant, terrifié, n'a pas tiré le signal d'alarme, et que les parents n'ont pas réagi….
Ha, au fait, aujourd'hui, en 2017? Comment, réagit un père ou une mère, qui entend de la BOUCHE DES SON ENFANT, que le prêtre, s'est fait faire une petite gâterie, et qu'il voit son gamin, en pleur, comment, réagit il ?
Est-ce qu'il lui dit, comme je l'ai entendu, les années passées, en disant "tu te tais, tu mens, c'est impossible, " ou bien , "tu vas nous faire remarquer".
Ou bien, "on ira pas au paradis, et ça sera ta faute"…
Ne riez pas,…
Enfin, si riez en, désolée, si je choque, mais à for ce de filer, des coups de tatanes, dans la fourmilière, quelquefois, la colère est si grande….
On nous parle là, une perception, du temps qui passe, aux yeux de l'Eglise, "la bonne blague".
Jusqu'à preuve du contraire, la seule temporalité que connaît la Justice, elle, et la prescription, c'est la temporalité du calendrier, celui, qui, je le rappelle, est basé, au départ, sur le naissance, du Christ, celui là, même que l'on vénère, dans la religion, catholique, ha, ça, pour être "vener", je suis vener…..
Pour information, je signale juste qu'un enfant, quia été victime, d'un pédophile, voir, son traumatisme, inscrit, sur son génome, et que cette trace sur son génome, est inscrite, SUR TROIS GENERATIONS…..
TROIS GENERATIONS…..
Alors, NOUS AUSSUI, LES VICTIMES DE PEDOPHILIE AVONS NOTRE TEMPORALITE !
Pour ce qui concerne les reproches, qui sont faits, sur la responsabilité des enfants…
Je n'ai pas lu, les propos, qui sont reportés dans le livre.
Mais de façon générale, pour qu'un enfant, soit tenté de se confier, à ses parents, quand il subit un acte de pédophilie, il doit se trouver en confiance.
Ce qui traduit, la position, de Christine Angot, et j'espère ne pas la trahir en disant cela, c'est que les choses, sont présentées, comme si l'enfant, parce qu'il a été silencieux, est perçu, comme étant responsable des accusations, qu'il profère ultérieurement.
Je ne crois pas que l'on reprocherait à un enfant de s'être tu, pour un crime semblable, dans un contexte, qui serait en dehors du contexte religieux…
Mais là, PARCE QU'IL S'AGIT DE L'EGLISE, on le lui reproche.
Il me semble que c'est sous cet angle que les choses doivent être observées, parce que la Vérité réside dans le fait, que ça braque l'objectif sur le fait que la pédophilie, serait moins grave dans le cadre religieux qu'elle ne le serait dans les autres sphères sociétales.
Ce qui je prétend là, n'est pas de l'ordre de la suspicion, mais de l'ordre de l'absolue certitude.
Il est probable que beaucoup, qui ont la chance, de ne jamais avoir été confrontés, à la pédophilie, de près ou de loin, et s'il est un point que cette observation, met en évidence, c'est que ça ouvre la boite de pandore, sur le fait, parfaitement positif, celui, là, qui réside, dans le fait, que l'Eglise catholique, au moment, où je vous parle, EST LE SEULE A AVOIR OBSERVE LE PHENOMENE PEDOPHILIE AVEC INTELLIGENCE ET HONNETETE…. De la part du pape.
Car les pédophiles, au sein des autres cultes, eux, agissent en toute légalité, sans que jamais personne ne trouve à y redire.
Je sais, par exemple, qu'aujourd'hui, beaucoup de curseurs, bougent, au sein de l'Eglise, qui tendent à faire évoluer, les choses, sur le mariage des prêtres, par exemple, qui n'est pas le seul point, qui a lui seul, pourrait résoudre, le problème de la négation, du plaisir charnel, vis-à-vis de l'Eglise, nous sommes bien d'accord, mais qui au moins, tend à proposer des solutions….
Aujourd'hui, je sais, parce que j'en ai été informée, que les jeunes hommes, qui souhaitent devenir prêtres, et entament des études, dans cet objectif, font l(objet, d'une détection véritable, relativement au risque pédophile…
Quand je parle "détection", c'est au sens large, qu'il faut l'entendre, et je ne sais pas comment, c'est organisé, mais je sais que c'est fait, véritablement, et la raison, c'est qu'il y a plusieurs années, j'avais m pointé du doigt, le fait, qu'un e pédophile, avéré, avait tout intérêt, à devenir prêtre, puisqu'il savait qu'il serait couvert, par l'Eglise…
Alors, du coup, à présent, ils e anticipent les risques.
Je précise que cette détection ne peut en aucune façon, être sécure à 100%... Quelle qu'elle soit.
Mais au moins, par ce fait, et combiné au fait que l'Eglise, n'est plus considérée à présent, grâce au pape François, comme antinomique avec la psychanalyse, les officiants, qui œuvrent à encadrer les postulants prêtres, agissent en ce sens.
Je précise, d'autre part qu'au sein de chaque diocèse, il y a un psychiatre, qui collabore avec le culte, enfin, c'est le cas pour le diocèse de Rouen, en tout cas, que je connais mieux que les autres, puisque c'est mon diocèse.
Je précise que Monseigneur Lebrun, s'est vu remettre ces jours derniers, la légion d'Honneur.
Je précise ma pensée, s j'ai moi aussi, beaucoup d'admiration pour mon Evêque, je connais fort bien sa position sur le droit à l'avortement, et l'euthanasie…
Mais "ne mélangeons pas tout".
Pour ce qui concerne le rapport au temps, qui est dénoncé par Dominique Wolton, c'est en ce sens, qu'il faut l'entendre…
Ca met alors, parfaitement en lumière, justement, la relation, que nous avons, tout à chacun, avec le culte…
Pour quelle raison, va t'on à l'Eglise, est ce que c'est pour se souvenir de quelle culture nous sommes issus ?
Est ce que c'est pour se retrouver "entre soi" ?
Est ce que parce qu'on croit en Dieu ?
Ne riez pas, certains vont à la messe, alors, qu'ils ne croient pas nécessairement, mais ça les rassure….
Certains croient, et ne veulent pas entendre parler de culte…
Certains y vont uniquement pour les valeurs.
La relation à Dieu, si l'on y croit, est très diverse, celle au culte, l'est d'autant plus.
Et c'est pour cette raison que cette notion de temps, que l'on doit rattacher, à la notion d'adaptabilité, doit être retenue, comme une forme d'indulgence, vis-à-vis du pape, sur ces problèmes de société, il me semble.
En cours de rédaction.
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