Je précise que j'ai beaucoup travaillé, depuis toutes ces années, sur le l'échec scolaire, et sur le decrochage.
A ce titre, j'ai remarqué, qu'assez souvent, en boutade, je dis dans mes vidéos, "je vous ferai chier jusqu'au BAC", ce qui dans mon esprit, m'amuse beaucoup, puisque non seulement, je ne l'ai pas, mais en plus, je n'ai jamais revendiquer de le passer...
Alors, il y a qelques jours, je me suis dit, que devant, sortir ce travail, en livre, le titrre etait tout trouvé !
Extrait du discours de Benoît Hamon au Cirque d'Hiver le 08/122018 :
"Depuis des mois, je sillonne notre pays à l’occasion du tour Génération.s Fraternité, et j’ai vu partout des combattants de l’espoir.
J’ai vu Cédric Herrou, les femmes et les hommes de la Roya, migrants et Français unis en fraternité.
J’ai vu les sages-femmes, les parents de la maternité du Blanc et de l’Hôpital Pinel en grève depuis 6 mois, qui se battent pour NOTRE service public.
J’ai vu les incroyables militants d’Alternatiba, au Pays basque, qui sont “plus chauds que le climat” comme ils disent.
Comme nous, ils se battent, ils inventent, ils proposent, ils espèrent, ils sont debout comme ceux qui y croient encore !
Alors ce soir je veux leur adresser un message clair, mais aussi à toutes celles et ceux tentés de baisser les bras ou qui se sont déjà résignés et ce message tient en quelques mots simples :
Il y a environ une vingtaine d’années, l’école du village que nous habitions, dans une vie antérieure, avait organisé un jumelage, avec un village, non loin du lac d’Annecy, plus précisément, Argonay.
Nous avions fait l’échange, physique, je veux dire, eux avaient dormi chez l’habitant, c'est-à-dire les parents d’élèves, et nous, aussi, par voie de conséquence, chaque élève, ayant un correspondant, dans la classe du village.
A cette époque, internet, était encore dans l’œuf, ou en tout cas, pas encore répand, au point, que dans une école, on puisse en être équipé.
La question, que certains se posent, alors, serait de savoir, si l’expérience serait aussi enrichissante, aujourd’hui, la réponse relève de la v certitude, ABSOLUMENT.
Plus encore, je dois préciser, précisément, parce que l’idée reçue, qui voudrait, qu’internet, par la vidéo live, skype, etc, tuerait la magie de la rencontre, est fausse, parce que rien, jamais, ne vaudra, la réalité d’une rencontre ? « dans la vraie vie ».
Michèle, femme au foyer, et qui faisait, comme moi, du bénévolat, dans le milieu associatif, nous avait reçues, ma fille ainée et moi, son mari, ingénieur aux eaux et forêts, ils habitaient un chalet, en pleine forêt, avec vue sur le montagne, et leur parc à daim. (le mari de la daimne ?).
Enfin, le rêve, quoi.
Evidemment, on refaisait le monde, parce que j’ai pas attendu ni de péter les plombs, ni d’inspirer des gens, ou des décideurs, pour a voir envie, de mettre ma pierre à l’édifice.
Déjà, et oui, jeune maman, j’étais une chieuse, qui fourre son nez partout.
Parlant de choses et d’autres, elle, m’expliquait, qu’un jour, je ne sais plus dans quel contexte, dans le cadre associatif, elle avait eu l’occasion d’organiser un repas, préparé exclusivement, par les femmes, mais je ne me souviens plus, de quel pays arabe, elles étaient originaires.
Mais ce qui l’avait particulièrement marquée, c’était qu’elle avait ressenti, la charge émotionnelle, absolument incroyable, et particulièrement palpable, due au fait que ces femmes, n’étaient absolument habituées, au fait de sortir de chez elles, qui plus est, dans une démarche, où précisément, leur identité culturelle, était ainsi, mise en valeur….
On leur avait demandé, A ELLES, qui ne sortaient que peu, de s’en charger.
Ce qu’elle m’avait expliqué là, je dois dire, m’avait beaucoup touchée, et m’est toujours resté en mémoire.
J’ai mis ça de côté comme on dit, en me disant, « un jour, j’en ferai quelque chose ».
Cette histoire, remonte aux années 70 environ, environ.
Aujourd’hui, une démarche identique, de la part des féministes, à juste titre, prêterait à interprétation, parce qu’elle serait perçue, comme sexiste, reléguant les femmes arabes, derrière les fourneaux exclusivement, c'est-à-dire, là, où précisément, elles aimeraient qu’on ne les voient pas que elles, exclusivement.
Ou si vous préférez, on courrait le risque, d’être perçus, comme antiféministes, risque que je ne prendrai pas.
Je veux dire, que ma démarche, ne tend pas, pas plus que ne l’était la démarche de mon amie, à être antiféministe.
Non, mais ce que je retiens de cette expérience, si émouvante, réside dans le fait, que c’est dans ce cas précis, par le vecteur de la nourriture, et du « manger ensembles », que l’intégration se fait.
Alors, qu’aujourd’hui, comme certains l’avaient prévu, dont moi, il y a environ 15 ans, on voudrait nous faire gober, que le phénomène migrant, serait un problème, là où il est en vérité, une incroyable opportunité à saisir, je me suis dit, qu’il fallait agir.
Certes, il n’est pas question, pur moi, de saper, le reps annuel, de telle association culturelle, émanant de telle, diaspora, régionale, ou nationale, auquel je n’ai d’ailleurs jamais participé….
Pourquoi, au fait ?
Et bien parce que vous écrivant ces lignes, je suis sous curatelle, toujours, et que financièrement, je n’en ai jamais les moyens, sinon, j’y viendrai, d’office.
Je précise, parce qu’il existe des associations locales, prés de chez moi, et qu’elle pourraient penser que je marche sur leurs plates bandes .
Surtout pas ! L’un n’empêche pas l’autre.
Quelqu’un qui émigre, comme on le sait tous, émigre aussi, avec une culture culinaire, qui lui est propre. Des que des migrants arrivent, et sont acceptés, pour vivre sur notre territoire, il émerge certains d’entre eux, qui souhaitent cuisiner, et en vivre.
Certains, au point d’ouvrir leur food truk.
Il y a quelques semaines, j »tais allée rouler ma bosse, à paris, place de la République, où la ville de Paris, avait organisé une manifestation, un week end entier, pour donner l’occasion à ces food truk, de proposer leurs cuisines, aux parisiens.
J’avais trouvé cette idée géniale.
A renouveler, ça va sans dire, et à multiplier ? ailleurs.
Dans quel contexte, et où, c’est une autre histoire, à laquelle, on doit réfléchir.
Mais en ce qui me concerne, j’y vois surtout, une occasion rêvée, de mettre en pratique, l’idée selon laquelle, un restaurateur, ambulant, puisque c’est ça, un food truk, eut parfaitement fournir, la logistique, « colorée de sa culture », l’association, elle, étant chargée, d’une part, de répertorier, les food truk, de veiller à ce que l’éthique de la démarche, venant de chacun, soit conforme à la culture qu’il revendique, mais aussi, de veiller, justement, au lieu d’accueil, où le repas, sera servi.
Ce que je veux dire, c’est que le nomadisme culinaire, peut aussi, donner l’occasion incroyable, de proposer, une activité culturelle, dans certains villages, par exemple, qui voient leur vie culturelle, un peu poussive, par manque de bénévoles, (je sais ce que c’est), qui voient leurs petits commerces, boulangeries, épiceries, cafés, fermer, les uns après les autres, dans l’objectif que j’assume, aussi, d’apporter un peu de sang neuf, dans des villages, ou petites villes, qui ont le sentiment, d’être les oubliés, de la République.
Ce qui m’importe, aussi, je dois admettre, c’est de donner l’opportunité, à ces professionnels, parce que je souhaite que ça ne soit que des professionnels, de la restauration, et pas des bénévoles, qui s’y collent, si possible, puissent bosser, en mauvaise saison, sachant, que le principe, du food truk, réside, dans le fait, que les gens, mangent en plein air, à proximité, avec éventuellement, quelques chaises, et table, installées sur place, mais EN PLEIN AIR.
Avec cette formule, tout sort du food truck, sur le plan matériel, et professionnel, mais c’est uniquement, le lieu de consommation, de la cuisine produite, qui apporte l’opportunité pour le consommateur, de manger, et de profiter de son repas, dans des conditions matérielles, plus confortables.
Je tiens à ce que ce soit, des food truk, précisément, pour le côt nomade, qui me semble important.
Ensuite, pour le côté professionnel, qui impose, des normes de sécurité, mais surtout, pour donner la plus grande crédibilité, à la valeur culturelle, de la cuisine proposée.
L’association, bien sûr, (MOI, EN L’OCCURANCE), sera chargée, d’une part, de dénicher le food truck, prendre contact avec lui, le rencontrer, voir si le courant passe (parce que sinon, ça le fera pas !), voir son histoire, rédiger une bio, afin de le présenter.
Afin, que faisant le lien, avec des villages, les associations, les salles, ou pourquoi pas, les restaurateurs, qui souhaiteraient mettre à disposition leur salles, puissent se faire.
Au sujet du nom.
Pour moi, culturellement, le pot au feu ? c’est juste SACRE….. Mais sacre, à un point que vous ne soupçonnez pas.
C’est un plat rural, et modeste…. Tout est dit.
On a un potager, on fait un pot, et on le mange, pendant plusieurs jours.
Le bouillon, pour ma part, j’en congèle une partie, dans des bocaux(remplis aux deux tiers), pour faire des soupes, ou pour cuire des pâtes, nouilles en lettres, vermicelle, cheveux d’anges, ou autres.
Si je trouve important, de donner ce nom, à cette association, c’est précisément, pour appuyer sr le fait, que notre culture, y compris, donc, notre cuisine, puisqu’elle en fait partie, s’est enrichie, au fil des siècles et au fil, des voyages, aussi, des découvreurs, qui ont introduit, tel légume, ou tel autre.
En somme NOTRE POT AU FEU, s’il n’était in finé, que la somme de ce mille feuilles salutaire, de ces diverses cultures, nous n’aurions à nous mettre sous la dent, ni chou, ni pommes de terre, ni poireaux….
Et pour conclure, tien, je vous recommande, à nouveau, l’émission, de France inter, « on va déguster », de François Régis Gaudry, à qui je demande officiellement, d’être le parrain.
Alors, je sais, certains me diront, « mais puisque c’est ainsi, pourquoi, ne pas prévoir, aussi, des artistes, qui correspondent à cette culture, et à ce pays d’origine… »
Oui, je sais, j’anticipe.
Paris et Rouen, ne se sont pas fait en un jour .
On commence, déjà, par mettre sur pied, le côté strictement, culinaire, à petite échelle, on observe, ou met en pratique, et ensuite, on verra en corrigeant, ce qui peut ne pas fonctionner, et petit à petit, on y pensera, mais pour l’instant, ce qui importe, c’est que ça voie le jour.
Un détail, encore, et là, je m’adresse aux restaurateurs, en particulier.
Je sais que pour certains, les temps sont durs, quelquefois, relativement à la baisse du pouvoir d’achat, et donc, des répercussions sur le nombre de clients, en salle.
Cette idée, peut offrir l’opportunité alors, de modifier, quelque peu l’image, de certains établissements.
A méditer.
Ça n’est pas de bénévolat, dont je parle, je le rappelle.
Le seul bénévolat, éventuellement, ne serait que dans mon travail de coordination, des différents acteurs de l’ensemble de la démarche.
30 janvier 2019.
"The greatest show", à la halle aux grains, à Pavilly.
Il est probable que ma posture, en choque quelques uns, et pourtant.
Nous avons affaire là, à une escalade, où l'un et l'autre, satisfont leurs egos, l'un en occultant parfaitement que ce qui devrait faire le rayonnement de son pays et qui devrait être en premier chef, sa Culture, sa bienveillance, vis-à-vis de son peuple, et sa capacité à anticiper, par sa politique, les problèmes auquel il va être confronté, dans l'avenir proche, mais aussi plus lointain…
Et l'autre en train de griller son postérieur, juché sur son trône de PDG des USA, dans la remise en cause, du moindre engagements, qu'il avait pris pendant sa campagne, alors qu'il ne fait que trahir ceux qui l'ont élu, au point que sa côte de popularité n'est plus qu'une guenille, qui attend le recyclage, au fond d'une poubelle….
Et qui, hier, pendant son discours à l'ONU, se frottait les mains, à tailler un costard de première, au premier, menaçant de les rayer de la carte (je n'exagère pas)….
Je ne suis pas en train de tresser des couronnes de laurier, au dictateur nord coréen, je précise, ça ne risque pas.
Je dis juste, que donald trump, trouve dans cette détestation, la seule et unique justification, qu'il reste au pouvoir, aujourd'hui, aux USA, et que ces propos, toujours aussi outranciers qu' anxiogènes, n'ont pour seuls et uniques raisons d'être, que de cacher l'ensemble des domaines, où il ne brille que par son incompétence….
Un peu comme si Kim Jong Un, était l'arbre qui cache la forêt, qui lui permet de faire diversion.
Je précise que j'avais été questionnée sur ce phénomène qui consiste à recueillir les avis d'internautes, qu'il s'agisse de restaurants d'hôtels, ou de quoi que ce soit dans ce style.
J'en avais conclu que ça devait être purement et simplement interdit.
Peut être est ce possible de trouver une méthode véritable, qui soit honnête, je vais y réfléchir, mais pour être franche, je n'y crois absolument pas.
Quoi qu'il en soit, "l'oeil du 20h" a fait un test sur le sujet, et je dois dire que j'étais morte de rire.
Je crois que le summum a été quand la journaliste précise "avant que nous ne soyons sorti meilleurs restaurant de la capitale" !
Excellent travail, ils ont du prendre des cours chez Elise Lucet je pense, avec CASH INVESTIGATION, ce doit être ça !
En fait ce qui est terrible avec Elise, on ne dirait pas comme ça, mais en fait, c'est une vraie comme on dit chez nous. pire que moi face au Front National, c'est vous dire !
Mercredi 16 septembre 2015.
Un livre vient de sortir que je trouve tres interpellant qui s'appelle "Eloge de la gentillesse en entreprise" signé deEmmanuel Jasselin.
Pour moi c'est juste une évidence. Par définition, le fait de se sentir apprécié, et respecté, au sein de son entreprise, booste la productivité mais surtout rend l'employé heureux de venir bosser, parce qu'il sait que l'ambiance va être agréable.
D'autre part, c'est là aussi que réside une des clés du déficit de la sécurité sociale, puisque quelqu'un qui se sent respecté dans son travail, tombe moins malade que s'il vient la boule au ventre.
Vendredi 4 mars 2016.
Un cas qui n'avait pas du m'être rapporté par hasard, il y a quelques mois.
Quelqu'un du coin, artisan, ou profession libérale, éprouvait quelques difficultés de trésorerie, pour payer ses charges.
Je ne sais pas avec quelle caisse, particulièrement.
Au téléphone, son interlocuteur, lui accordait un delai.....
Le probleme c'est que ça n'était que des paroles en l'air, et que les charges non payées, ont donc eu pour consequence, une majoration....
NE JAMAIS PRENDRE UNE PAROLE ORALE COMME VERITABLE, IL FAUT UNE TRACE ECRITE EMANANT DE LA CAISSE EN QUESTION...
Si c'était Laurence Dupont qui avait pondu cette loi, elle serait passée comme une lettre à la poste...
Mais pas de bol c'est : El Khomri qui l'a pondu...
Oui, tu as raison, le fait que ce soit une femme, rend les choses plus difficiles encore, c'est une évidence, maintenant, il ne faut pas oublier non plus que le gouvernement en joue aussi, tu comprends ?
Ce qui est étonnant et même inquiétant c'est que des gens signent une pétition contre la loi El Khomri qu'il n'ont jamais vu ce texte mais l'ont juste entendu c'est grave car c'est gens là peuvent signer n'importe quoi, cette loi en se moment est en discussion mais n'est pas figée et parce que une personne a mis cette pétition en ligne les gens signent et contexte une loi qu'ils ne connaissent pas , alors que cette loi est faite pour que les Employeurs puissent embaucher. Il se peut que les gens qui ont signés cette pétition disent qu'il y a trop de chômage et font tout pour que cette situation s’aggrave, c'est vraiment le monde à l'envers alors que cette loi va Générer de l'emploi.
Oui, sur ce point, tu as hélas raison; Moi, je sais qu'elle doit être revue, mais j'ai refusé de la signer, parce que je ne veux pas cautionner, sa sanction de façon globale.
Tout à fait d'accord avec votre analyse, hélas nous seront toujours "l'exception Française" qui nous a fait et nous fait tant de mal, L'Europe est en train de se disloquer et nous en somme pour une grande partie responsable, nous allons nous retrouver seul dans notre bel hexagone, et nous allons retrouver nos valeureux francs, quel bonheur car avec ce cocktail plus de chômage sans doutes.
Arrête ton char, veux tu, il ne faut pas non plus faire le jeu du patronat; pour information, on essaie de nous faire croire que c'est pour défendre le petit patronat, et les PME alors, que les contrats précaires, qui volent en éclat, sont en majorité, émis par les entreprises du CAC 40, alors, si ça, ça n'est pas nous prendre pour des cons, c'est quoi ?
Pour ce qui concerne la loi sur les indemnités relatives aux prudhommes, est ce qu'il ne serait pas envisageable de trouver un moyen de les indexer sur les revenus, du PDG, de l'entreprise qui est concernée, ou bien de l'indexer, sur les 4 plus gros salaire, de l'entreprise, en question ?
J'aimerai poser l'index, sur un truc auquel personne ne pense, bien avant de se soucier, peut être de leur montants, et de leur plafonnement, qui lui, doit sauter, qui réside dans le fait que pour que les prud'hommes, pour fonctionner, doivent faire l'objet, d'une réaugmentation du budget qui leur est consacré,au sein du Ministère de la Justice, parce que visiblement, il y a un gros probleme, sur ce plen.
Ensuite, en ce qui concerne les plaintes au prud'homme, il serait bon de rpevoir comment, et pourquoi, un salarié, peut en arriver, à vouloir ataquer son patron, aux prud''homme.
Je veux parler de la souffrance au travail, sous forme de harcèlement, mise au placard, etc.
Il faut mettre sur pied un barême objectif de souffrance au travail.
Je ne remets pas en cause ce qui existe deja, actuellement, mais je pense que de trouver un moyen de tirer la sonnette d'alarme en amont, pour que puisse être eviter, d'aller au prod'homme, serait un bon moyen, d'eviter d'y a voir recours.
J'écoutais il y a quelques jours, Agnès B, qui parlait du patronât, et qui disait qu'elle aimerait que soit créé, une nouvelle autorité, qui représente le patronat, parce qu'elle ne se reconnait, elle, absolument pas, dasn le MEDEF, tel qu'il est.
Je suis parfaitement d'accord.
Je pense moi, que ces grands patrons sont complètement déconnectés de la situation de leurs employés.
Quand ils parlent de la necessité de pouvoir licencier, plus facilement, ils donnent le micro, à des patrons de PME..... mais l'appreciation du probleme n'est absolument pla m^me , entre les PME et les p^trons du CAC 40.....
C'est ecxactement le même probleme qui se pose, au sein de l'agriculture....
Belin, est un homme d'affaire tellement haut perché, et même pas sur son tracteur, il a un mousse pour ça, qu'il est parfaitement deconnecté des petites exploitations, qui sont dans la mouise.
Je veux dire par là, qu'un employé, peut parfaitement admettre, qu'il faille plus de souplesse, et doive faire plus de concession, quand une entreprise, fait parti des PME que quand ila a affaire à un grand groupe.
Le provbleme est le suivant. oui, je sais, certains diront que je defonce encore une porte ouverte.
Mais le probleme est le suivant.
Ca n'est pas le nonbre de salariés, qui doit être pris en compte, MAIS LE CHFFRE D'AFFAIRE.....
Plus le chiffre d'affaire est dysproportionné avec le nombre de salariés, plus le code du travail, est le droit des travailleurs, doit être severe vis à vis de l'entreprise.
D'autre part, moi,je pense toujours aux jeunes, c'est mon rôle.
La flexibilité, c'est bon, ils ont compris.
Il y a juste un gros souci, en ce qui concerne d'une part, les banques, et d'autre part, les propriétaires d foncier, et organismes de logements.
Aujourd'hui, avoir un compte en banque, est obligatoire.
Quand un travailleur ne parvient à travailler, que par CDD, qui s'enchainent les uns apres les autres.
Il détient, lui, ses relevés bancaires.
Ors, quelque soit, le serieux, avec lequel il gère, son compte en banque, la banque elle, et les acteurs, dont il depend, utilisent ce fait, pour les empêcher, d'avoir un logement, et d'avoir desprojets.
ORS LE SERIEUX AVEC LEQUEL IL GERE SON ARGENT AVEC SES RELEVES BANCAIRES EST UNE PREUVE DE SA SOLVABILITE......
Ainsi, on pourrait parfaitement imposer aux banques de leur accorder le crédit, qu'ils accordent d'autres part, à d'autres, qui ont des CDI, et qui eux, éventuellement, gèrent mal leurs comptes en banque.
Chacun a ses relevés de compte en banque, non ? Et bien alors......
Mercredi 9 mars 2016.
Aujourd'hui, c'est ma fête, celle de François Hollande aussi, ainsi que celle du Pape François. Oui, je sais,il y en a d'autres, mais je n'ai pas que ça à faire, non plus.
Toujours est il que c'est le jour "J" qu'on choisi les etufdiants pour manifester, contre la loi Trvail.
Je viens d'écouter avec beaucoup d'attention Marion marechal le pen, sur le sujet, et de la m^me façon que l'aur ditrice, quia l'a interpellée, sur le sujet, j'ai le regret de preciser que je n'ai pas vraiment compris, quel était sa position à elle.....
Si j'ai comris, une chose à laquelle, je dois avouer, j'adhère, c'est qu'elle considère que certaines propositions, sont recevables, et que d'autres, qui penalisent trop le travailleur, sont à ses yeux, irrecevable.
Probable qu'elle est plus douée que moi, pour en parler. Mais d'evoquer le fait, que de revenir aux heures supplementaires, non imposées, m'a deja donné l'occasion de grimacer, de nouveau.
J'ai trouvé beaucoup interpellant, car infiniment plus explicite, la démonstration qui a été faite, plus tôt, par Philippe Martinez, représentant de la CGT.
Il a expliqué, notamment, que la majorité des PME, voyaient leurs choix politiques dépendre de leurs donneurs d'ordre.....
les "donneurs d'ordres", sont des entreprises, du CAC 40, généralement, qui font travailler les PME....
Par exemple, un constructeur automobile, que je ne citerai pas, qui travaille en sous traitance, avec des entreprises plus modestes, qui elles, en sont donc entièrement dependantes.
C'est un peu comme des agriculteurs, qui dependent eux, de gros groupes de l'agroalimentaires, qui les font vivres, et leur "donnant des ordres"....
Résultats des courses, ces PME, sont en fait, les larbins des grosses entreprises du CAC 40, et n'ont absolument aucune indépendance, quand à leur positionnement, sur laloi relative au droit du travail...
CONCLUSION, ce sont les entrepises du CAC 40 uniquement, qui conditionnent le positionnement des patrons de PME, sur la loi du travail....
Alors, QUE FAIRE ESTHER ?
Moi, si j'étais patron de PME, j'aurai à coeur, de diversidfier ma production, pour d'une part, pourvoir faire face à d'eventuelles, fluctuations d'activité, dans le pays de caux, dans le milieu agricole, on disait "ne pas mettre tous ces oeufs dans le m^me pannier"....Comme quoi, les vielles recettes, sont toujours d'actualité.
Ensuite, la seconde raison en serait ue je n'accpetrrai pas que lon fasse pression, sur ma position, sous pretexte, que les gros patrons du MEDEF, sont les donneurs d'ordre.
Un détail assez amusant.
J'entendais, ce matin, Léa Salamé qui interrogeait donc, Philippe Martinez, et lui demandait en riant, s'il avait été bien reçu, mettant l'accent sur le fait, que si lui n'avait eu le droit, qu'à un simple café, hier, tout le monde se pressait parait il, pour dérouler le tapis rouge, à monsieur Macron....
Et bien hier, moi, journée de la femme, au palais des consuls à Rouen, j'avais trois RV de fixés, avec des petites entreprises installée, dans une pépinière du même nom, à saint Etienne du Rouvray, et nous avons été reçus, avec deux grandes corbeilles, remplies de viennoiseries, d'au moins 6 ou 7 sortes, un café long, et excellent, et des gens charmants...
De là, à prétendre que les syndicats, souffrent d'un manque de considération de la part du patronât, il n'y a qu'un pas, que je franchis aussi allegrement, qu' un géant, enjamberait la SEine, allez, tant qu'y est, à DUCLAIR......
Oui, là, d'où est originaire, la canard du même nom.
L'origine du nom de la ville, vient du fait que jadis navigant, sur la Seine, pour rejoindre la Manche, au Havre, les marin alors, arrivant à cet endroit précis, à cause des méandres je suppse, par un jeu difficile à expliquer, d'un seul coup, voyait les brumes de seler. Donc, ont appeler cet endroit, DU CLAIR.
Juste une précision, ça n'est pas moi, qui revele celà, parce que je suis semiologue, non, j'ai, moi, recherché, il y a plusieurs années, parce que je suis curieuse, et on me l'a donc expliqué.
Je pense moi, qu'il faut se soucier des veritables motivations, qui font que la jeunesse aujourd'hui, plus encire que leurs ainés sont ainquiets, au sujet de cette loi.
J'entendais, hier matin, dans ma voiture, france bleu, avec deux auditeurs, qui intervenaient.
Tous les deux, tenaient un discours reactionnaire, passéiste, et franchement pitoyable. En gros, ça consistait à dire que les travailleurs français, devaient comprendre
Que de reformer la loi du travail, était necessaire, et que de s'arqueboutter contre, était improductidf, et d'apres eux, carrement irresponsable.
C'est aussi la position de Mattheo Renzi, en Italie.
Aujourd'hui 9 mars 2016. Les étudiants et lyceéens ont manifesté en nombre, partout en France.
Parallèlement à celà, on apprendd que les loyers partout, en France, diminuent.
Il est vrai que l'argument premier, que moi je sors, tourne autour des difficultés que l'absence de CDI, entraine à savoir, un pretexte de non solvabilité, qui sert d'argument aux banques, pour refuser des prêts, ainsi qu'au propriétaires de fonciers, pour accepter un locataire.....
Est ce que cette diminution de loyer, va impacter positivement, sur la vie étudiante ?
Moi, je ne le pense absolument pas.parce que la baisse du loyer n'impactera la revendication, ou le prétexte de non solvabilité.
Il est probable que certains du côté des patrons, voient d'un mauvais oeil cette gronde. J'ai l'intime conviction, moi, au contraire, que les syndicats, eux, ont bien bossé leur sujet, et que leur propositions, soint parfaitement dignes d'intérêt.
Un autre truc, moi, m'a beaucoup choqué aussi, qui concerne la durée des temps de repos, qui seraient susceptibles de se voir dangereuement fractionnées, selon le bon vouloir du patron.
Je trouve ça grave, il est possible que ça fasse l'objet de négociations, pour que ces fractions de congès, soient limités en nombres, mais n'importe quel psy vous expliquera que pour se deconnecter d'un travail, en période de repos, il est indispensable que cette période soit respectée...
Je considère deja que de voir le monde du travail, empiéter dangereusement, via le portable, ou les mail, la vie des salarié à leur domicile, demeure un problème, problème qui n'est jamais abordé.... Si en plus, la périodes de repos, est ainsi tronçonnée, je ne donne pas cher de la qualité réelle, du temps de repos.
Je précise enfin, que les repos sont captés aussi pour profiter de prendre quelques vacances, et dans l'hypothèse où ces derniers seraient ainsi fractionnés, il y aurait, sans aucun doute, des répercussions, non négligeables sur le plan touristique.
Jeudi 10 mars 2016.
Lendemain d'une manifestation sans précédent au sujet de la loi sur le travail, Nicolas Sarkozy, en est encore à chercher comment exister.
Aujourd'hui, moi, comme chaque jeudi, je suis passée à la banque, pour prendre, mon argent, 80€ par semaine, pour acheter à manger, payer mon essence, et souffler un peu.
Je suis allée voir un film, qui s'appelle "ENCORE HEUREUX", que je recommande chaleureusement, à Nicolas Sarkozy, pour lui ouvrir les yeux. je ne paue que 2€50.
Heureusement que je sais, ce que c'est que de vivre avec un petit budget, ce que visiblement Sarko, lui, n'a jamais connu.
Je le savais pas futé, mais j'ai été assez naïve, je le reconnais, pour envisager qu'il sache évoluer.
Il fût un temps où je lui avais conseillé d'aller vivre en HLM, dans une cité, avec le SMIG, pour avoir un peu de plomb dans la cervelle, visiblement, s'il ne crache par sur le fait de venir lire, c'est une chose, mais certainsconseils lui ont echappé.
Avec un discours au ras du bitume, difficile de lui donner pourtant meilleurs conseil, pour que sa position, elle, vole plus haut, on ne se refait pas, c'est un fait.
Est ce donc, si lourd, à assumer, d'être né, avec une cuiller en argent dans la bouche....?
J'ai toujours cru pourtant, moi, que c'était plus facile à assumer, que d'être né, dans un milieu ou avec une histoire, réellement difficile à assumer.
SOIT.
Ce matin, j'ecoutais NKM, qui, je le rappelle, fait partie des Républicaisn, jusqu'à preuve du contraire.
J'ai trouvé son discours, tout à fait interpellant, certaines choses sont encore un peu floues, c'est vrai, mais au moins, ne peut on pas l'accuser, elle, de manquer de lucidité sur le monde politique, mais aussi, sur notre société....
Elle est perçue comme "folle", ou "ingérable", par les gros bonnets (dont le fils ainé s'appelle Arthur, bien sûr, et fait la cuisine politique comme personne)...
Alors, je decrypte, non, je vous assure, ne me remerciez pas, c'est gratuit.
"Folle", quand on dit ça d'une femme, c'est qu'on la craint, parce qu'elle est juste plus intelligente qu'eux, et surtout, plus subtile.
"Ingérable", ça veut dire juste qu'elle les emmerde, et qu'ils ne parviennent pas à la manipuler comme eux, le souhaiteraient.
Bon, ensuite, Sarko, lui,a parlé de la manif' d'hier, considérant que les jeunes, ne sont pas les bons interlocuteurs, pour parler du code du travail...
C'est vrai, suis je bête. Quand un patron licencie, un jeune, que ce dernier est en situation de précarité, il existe deux solutions.
Soit, on se met à la place de celui qui est licencié, soit en se met à la place, de celui qui licencie...
La troisième option, qui est seule à être recevable, c'est la troisième, celle qui perçoit le côté humain, d'un côté comme de l'autre.
Quiconque n'est capable de considérer les faits, qu'avec la première méthode, ou qu'avec la seconde, est juste un parfait couillon, qui n'a rien compris.
Ce que je trouve vraiment pitoaable, moi, dans sa position, c'est qu'il prend vraiment les jeunes, pour des imbeciles, et que surtout, des l'insant, qu'ils ne sont pas patrons eux même, leur position, n'a pas à être entendue.
Surtaxer les CDD, c'est l'une des propositions que la CGT, en présence de son secrétaire général Philippe Martinez, a officialisé ce mercredi 9 mars.
AFP/Eric Feferberg
Le gouvernement affirme être prêt à surtaxer les CDD. Ca tombe bien: c'est l'une des propositions phares du syndicat dans le cadre de la négociation sur l'assurance-chômage. Il souhaite aussi une taxation des ruptures conventionnelles pour renflouer les comptes de l'Unedic.
Sans surprise, les pressions exercées par l'exécutif pour réaliser autour de 800 millions d'euros d'économies sur l'indemnisation des chômeurs sont sans effet sur le syndicat ouvrier. La CGT réclame au contraire de nouveaux droits pour les demandeurs d'emploi. La durée d'affiliation - le temps qu'il faut avoir travaillé pour pouvoir prétendre à une allocation - chuterait de quatre à deux mois pour les nouveaux venus sur le marché du travail.
François Hollande et ses ministres n'excluent pas une dégressivité dans le temps des allocations? La CGT propose d'allonger de 24 à 30 mois la durée maximale d'indemnisation à taux plein. Les plus de 50 ans auraient droit à 60 mois, contre 30 aujourd'hui, pour tenir compte de l'allongement des carrières.
Pour compenser ces dépenses, la CGT compte sur plusieurs leviers. Le premier, proposé en coeur par tous les syndicats, consiste à taxer d'avantage les CDD. Ces derniers creusent le déficit de l'Unédic car les entreprises les plus avides en contrats très courts cotisent peu au regard de ce que leurs ex-salariés perçoivent quand ils se retrouvent au chômage. La "sur-cotisation" introduite en 2014 n'a pas produit ses effets "car elle a évacué l'intérim et les CDD d'usage", pointe Eric Aubin, secrétaire confédéral de la CGT en charge de l'assurance-chômage.
Jusqu'à 12% des transactions dans la poche de l'Unédic
Aujourd'hui, le taux des cotisations sur les CDI et les CDD de plus de six mois est de 6,4% (réparti entre 4% pour l'employeur et 2,4% pour le salarié). Il augmente ensuite à mesure que la durée du contrat baisse: trois points supplémentaires en dessous d'un mois et 1,5 point de plus entre un et trois mois.
La CGT propose de frapper plus fort. Le taux de cotisation patronale passerait à 8,40% pour les contrats de deux à six mois, à 10,40% de un à deux mois, et jusqu'à 12,40% pour moins d'un mois, hors CDD de remplacement. La centrale espère réaliser un milliard d'euros d'économies.
Autre idée sur le tapis: la taxation des ruptures conventionnelles des seniors. De plus en plus prisée des entreprises, cette séparation "à l'amiable" coûterait 4,8 milliards d'euros par an à l'Unédic, selon la CGT. Chez les plus de 50 ans, le syndicat estime que les ruptures conventionnelles cachent souvent "des pré-retraites déguisées". D'où sa proposition de pénaliser les employeurs à l'origine de la rupture du contrat d'un "senior". Suivant l'âge du salarié, l'équivalent de 8 à 12% du montant de la transaction irait à l'assurance-chômage. La CGT précise que "cette contribution ne [pourra] être retenue sur le montant de la transaction qui bénéficie au salarié". Difficile toutefois de croire que les entreprises n'en tiendront pas compte en négociant la part "supra-légale" des indemnités.
La fin des plafonds
La CGT envisage enfin de supprimer tous les plafonds, tant en matière de cotisation que d'allocations, pour collecter autour de 700 millions d'euros. Aujourd'hui, les salariés ne cotisent que dans la limite de quatre fois le plafond mensuel de la sécurité sociale, soit 12 872 euros. Si l'idée du syndicat était mise en place, l'intégralité de leur salaire serait soumise à cotisation. Leurs allocations augmenteraient d'autant, mais la CGT mise sur le fait que peu de salariés à hauts revenus se retrouvent au chômage. Le salaire moyen de référence des chômeurs indemnisés est de 1705 euros, pour 1206 euros d'allocation en moyenne.
Court-circuitées par les débats sur le régime des intermittents, les négociations sur l'assurance-chômage ne sont pas encore entrées dans le vif du sujet. Il faudra probablement attendre le 7 avril pour que les partenaires sociaux - et surtout le Medef, toujours muet sur le sujet-, précisent leurs propositions. On peut déjà parier qu'un compromis sera difficile, tant le patronat est hostile à toute hausse des cotisations comme à la perspective de nouvelles dépenses...
Bon, moi, je fais confiance à la CGT, pour defendre les salariés, juste pour info, si je n'aime pas les chiffres, je ne me suis pas contentée de poser, mais j'ai lu, aussi.
Bon, s'il le dit, c'est que ce doit être vrai, je pense. La politique des banques reste axée, selon le même principe, on minimise les risque, il faut que ça gagne, quitte à se faire enjoler, par un bon baratineur, qui n'a pour seule caution, lui, d'avoir reussi à en embobiner d'autres (banquiers, je veux dire). "surtout on ne changez rien"...
J'entendais, il y a quelques semaines, le cas d'une jeune femme, bardée de diplômes, elle s'était endettée pour financer ses études, une fois obtenus ses diplômes, et conformement à ce qui avait prévu par le prêt, elle devait rembourser maintenant sa banque.
Depuis trois ans, elle ne trouvait que des stages.....
"Dans l’arène où sévissent les populistes, la question économique est au cœur de la dénonciation des élites et de «?leur?» politique?:
Dictée par les intérêts bien compris des banques et des marchés, elle serait favorable à une globalisation tous azimuts, européenne avant d’être française, indifférente aux effets de la désindustrialisation, de la pauvreté, des inégalités.
Or l’argumentaire économique des populistes n’est jamais analysé comme tel, jamais confronté non plus aux expériences politiques que ces derniers ont pu soutenir.
C’est pourquoi ce livre fait le pari, avec dix-sept économistes, tous reconnus dans leur domaine, d’analyser et de déconstruire toute une palette de thématiques chères aux populistes, du protectionnisme aux migrations.
Ainsi se trouvent démontés des «?faits?», des «?données?», voire des «?analyses?», qui relèvent en réalité du storytelling, de la mauvaise foi, d’éléments chiffrés piochés çà et là en fonction de leur capacité à conforter des a priori et des ambitions politiques".
Sur FB, à l'instant:Virginie Carbuccia"On a de gros cinglés à la tête de nombreux pays, mais celui-là, c'est le pire de tous. Comment les Brésiliens ont-ils pu tomber dans ce piège".
Par facilité, ce qui fait la particularité du populisme, c'est justement de faire croire, qu'il existerait des solutions simples, à des problèmes politiques, qui sont toujours complexes et donc, qui demandent le plus souvent, des solutions plurielles, et surtout, qui exigent des mises en pratiques, autant sur le moyens terme, et le long terme, que le court terme...
Des lors, la solution de facilité est envisagée, comme providentielle, et ce sont toujours les minorités, qui en font les frais. Je crois que ma théorie, sauf erreur de la ma part, s'est toujours vérifiée, quelque soit le pays, ou le moment, de l'histoire de l'Humanité.
Francoise Niel AubinNat Snowskye il y a la possibilité de rendre la forêt amazonienne, patrimoine de l'UNESCO, comme je l'avais deja suggéré, à l’époque, peut être que si ça avait été fait à il y a quelques années, comme je l'avais suggéré, ces incendies aujourd'hui, n'auraient pas pu avoir lieu.
Quand un secrétaire ne peut pas donner le la, pour les municipales.....
Faut.il garder le soldat Faure ou, le sauver ou le faire démissionner....
Moi, je pense qu' il doit montrer son autorité pour les règles des candidats aux municipales dans les villes...si il n' en ai pas capable qu il démissionne !
Bon, pour commencer, harry cover, serait "bien inspiré", de m'expliquer pourquoi les miens, de haricots verts, ne veulent toujours pas lever, au potager.
Bon, comme je ne suis pas méchante, je ne vous ferai pas l'offense, d'exiger que mère nature, daigne es faire lever, pour vous donner mon son de cloche.
Mais quand même.
Oui je comprends fort bien, que tu réagisses ainsi... MAIS. Si l'on considère, qu'il ait sacrement déconné, au moment, où B Hamon attendait son soutien, au moment des présidentielles, ce qu'il n'a pas su faire? alors, son silence, en dit long. Pour moi, de toute façon, je ne vois pas comment le PS, peut persister à persévérer, et tenir la route, s'il ne reconnais pas ses torts, à ce moment, de 'histoire de notre gauche.