Depuis l'avenement d'internet, on a la chance de pouvoir bénéficier, grâce au phenomene de mondialisation, à certaines prises de conscience, de certains faits de société, qui auparavent, etaient infiniment moins visible.
On peut en juger, de l'émergeance du mouvement "me too", par exemple, mais aussi, de bien d'autres faits de société.
La "vulgarisation" de la pédophilie, m^me si l'expression, peut choquer, mais je veux dire, par là, "sujet de moins en moins tabou", par le fait que le sujet est plus connu, et donc, reconnu, aujourd'hui par la société, en est un des aspects les plus importants.
Il est possible, que l'expression, VULGARISATION DE LA PEDOPHILIE chue... Et pourquoi pas ?
Quelquefois, il n'est pas un luxe qe de choquer, pour aider à la prise de conscience.
Jadis, un enfant (dont moi) qui en était victime, n'osait le dire à qui que ce soit.
Aujourd'hui, c'est probablement encore le cas, mais grâce à cette "vulgarisation", statistiquement, un enfant, le dira plus facilement, enfin, je l'espère.
Si je tiens à a border ce problème, sous l'angle européen, c'est parce que quelque soit un problème de société, il est souvent instructif de inspirer, d'autres pays. Et notamment, des plus proches, geographiquement.
En effet, la criminalité, sous toutes ses formes, y compris, dans le crime sexuel, plus encore, peut être, et la pédophilie, encore d'aventage, demontre, qu'on a affaire, le plus souvent, à des pervers manipulateurs, assez doués, pour s'arranger, des failles, existantes, d'un pays, à l'autre.....
Partant de ce ait, un violeur recidiviste, ou un pedophile, a toutes les chances, de voyager d'un pays, à un autre, pour brouiller les pistes, esperant ainsi, semer le trouble, au sein des services concernés.
Ces derniers temps, il y a quelques jours, précisement, je voyas à la télévision, une pub, vantant les meritees de l'europe sur ce plan, expliquant que desormais, l'europe, via EUROPOL, avait fait d'enormes progres, sur ce plan.
Au sujet de la demande de commission, pour faire la lumière, sur des éventuels manquements, au sein des archevechés, je la trouve légitime.
Mais il me semble que les autres cultes, devraient eux, aussi, au minimum, évoquer ce problème, au sein de leur culte, afin d'inciter leurs adeptes à en parler, et à libérer la parole.
En effet, chacun, sait à quel point chaque religion, depuis toujous, à condamné le plaisir sexuel, ne considérant ce dernier, que sous l'angle de la procréation.
c'est d'ailleurs de là, et uniquemen de là, que vient, l'integrisme, qui aujourd'hui, condamne, les femmes, qui souhaitent pratiquer, un IVG...
LA FEMME N'EST A LEURS YEUX EXCLUSIVEMENT QU'UN VENTRE A REMPLIR.
Ors, tous les chercheurs sont formels, sur ce point, la dérive pédophile, est très précisément, la conséquence dirrecte, du fait que la plaisir sexuel soit considéré comme tabou.
Comment considérer alors, que curieusement, dans aucune autre culte, on ne parle ouvertement, d'abus sexuels ?
(pour les propos du pape, sur le sujet, je vais y revenir).
Il est vrai que j'ai toujours fourrré mon nez, là, où ça dérange.
Mais si l'on m'avait affirmé, un jour, que la Justice elle même, que mon avocat, et que mon coach, lui même, en personne, se ligueraient contre moi, pour me museler, afin que je ne puisse plus lutter, contre ce que j'ai toujours détesté...Jamais, je ne l'aurai pensé.
Je ne sais pas ce qu'il adviendra de moi, j'ai le sentiment que jamais, je ne parviendrai à pardonner, à tous ceux, qui depuis toutes ces années, ont veillé, si méticuleusement, à m'ecraser, pour mieux observer, telle une souris de laboratoire, avec quelle ruse, je parvenais à me relever, TOUJOURS.
Aujourd'hui, c'est par une décision assassine, qui émane de la juge des tutelles elle même, alors que je n'ai eu de cesse, que de lui dénoncer en quoi, et comment, la curatrice de l'UDAF, pratiquait, sur moi, les pires tortures psychologiques, en n'appliquant pas ce que la juge pourtant, lui avait indiqué.
Je pourrai vous la faire théatrale, selon la chanson de Barbara, en vous disant courtoisement, "et je m'en vais sereine".... Il va bien se trouver un crétin, pour s'en contenter, non ?
Mais ça serait trop d'honneur, que je vous ferai là, et je ne crois pas que le fantôme de Barbara, apprecierait.
Je pourrai aussi, vous resortir, la chanson de Anne sylvestre, sur "les gens, qui doutent"... Et qu'on s'évertue, inmaquablement, à me recoller sous le nez, en la personne de Jeanne Cherhal, Vincent Delerm, et Albin de la Simone.... C'est juste oublier, que de souffrir est infiniment plus acceptable, et concevable, quand on ne vous enferme pas dans un rôle qu'on vous impose.
Aurait elle, elle même ecrit cette chanson, si elle avait été dans la situation, que l'on m'impose, depuis toutes ces années ?
Personne ne le sait, et Anne Sylvestre, pour qui j'ai bien plus que du respect, elle même, ne le sait pas d'aventage.
Je m'excuse de ne pas être aussi forte, que beaucoup le voudraient, je ne suis qu'une simple femme, qu'on s'evertue à transformer, en vielle conne mal baisée..... Et je ne crois pas être responsable, en quoi, que ce soit, du sort que l'on m'impose.
Des lors je n'ai plus d'autre alternative, que de rentrer en moi, afin de lêcher mes plaies, pour une durée indéterminée, puisque l'énergie, qui a été mobilisée, pou porter ma souffrance, les 40 années premières de ma vie, là voilà de nouveau mobilisée, pour cette même raison, énergie, que de facto, je ne puis donc plus donner, vers l'extérieur....
Comment vous dites ?
Consulter un psy ?
Mais j'ai fait, bien sûr.
Le psy, et la psychiatrie, cautionnent entièrement, les méthodes de barbare, de Thomas Fersen. ils les cautionnent tellement, qu'ils souhaitent, non pas me mettre sous neuroletiques, de nouveau, mais sous antidépresseurs.
Quand je pense que je suis assez conne, pour avoir écrit mon histoire sur le sujet, ces derniers jours, pour avoir la certitude, qu'il ne restait rien de douloureux, entre eux et moi, je n'en reviens pas de ma naïveté.
J'attends toujours, depuis plus d'un mois, qu'il me fixe un RV avec la psychiatre, principe que j'ai accepté, mais qui visiblement, semblerait, lui poser à lui quelques problèmes de conscience...
Je souhaite bien du courage, à la profession, pour envisager la moindre collaboration avec moi, quelque soit le sujet, désormais".
Certain vont trouver quelque peu hasardeux, de voir, que je mélange tout ainsi.
J’ai déjà commenté, pat le passé, ce livre, à l’époque, et surtout, ce que personne ne faisait, le fait qu’il ait eu un aussi grand succès, et quelles, en étaient les potentielles raisons.
Si je m’étais permis de le commenter, à l’époque, non pas que je m’en croyais indigne, mais comme toujours, je ne l’avais pas lu, alors, ça me semblait cohérent.
Mais lors d’une de mes dernières hospitalisations à l’HP, pendant quelques jours, alors qu’on m’avait déplacée dans différents services, j’avais sympathisé avec une jeune femme qui tenait dans ses mains, ce livre.
Elle m’expliquait alors, qu’il lui avait été offert, par sa propre mère, qui comme elle, était victime de violences conjugale, raison pour laquelle elle se trouvait hospitalisée en HP, ce qui en soit, déjà, m’interpellait sérieusement.
Je ne nie pas qu’il puisse arriver qu’une femme battue, ait besoin, dans certains cas, d’être hospitalisée, mais objectivement, celui qui a de graves problèmes, dans le couple, c’est celui qui porte les coups, et pas celle qui les reçoit.
BREF.
Je rentrais chez moi, plutôt pensive, par ces confidences qu’elle m’avait faites.
Il y a quelques jours, je découvrais le film, qui a été fait du livre.
Je ne l’ai pas regardé, par intérêt, mais par devoir, parce que je voulais éventuellement pouvoir compléter le travail que j’avais fait sur le livre, et son analyse.
J’avais retendu, dans un article précédent, qu’il était probable, que sur le pourcentage de livres achetés, un fort pourcentage, l ne l’avaient ^me pas ouvert, et je persiste en ce sens, à moins qu’il ne leur soit tombé des films, comme moi, j’ai laissé tomber le film, au bout d’une heure…
J’ai insisté, je précise, par devoir, puis j’ai laissé tomber.
Vous me direz « mais toi aussi, tu achètes des livres, quelquefois, que tu ne lis pas », ce qui est vrai, et c’est souvent le cas, mais moi, c’est pour une autre raison, c’est par manque de temps, et à cause de ma dyslexie.
Mais une des questions, qu’on peut se poser, réside sur les raisons, qui justifient d’acheter un livre.
Je pense que certains font l’objet d’achats compulsifs, comme n’importe quelle bien de consommation.
Acheter 50 nuances de gris, à l’époque, et le poser sur la table, en rentrant chez soi, était sensé, je crois, se faire passer pour ce qu’on est pas, ou en tout cas, tenter de suggérer, qu’on aimerait bien, être autre chose, vis-à-vis de celui qui partage sa vie que ce qu’on est.
Tenter d’allumer un fantasme, en quelque sorte.
L’autre théorie que j’avais avancée, était que le succès, était dû au fait que les femmes devant assurer sur tous les plans, ce qui se traduit sociologiquement, par l’expression « charge mentale », le désir de laisser l’initiative aux hommes, une fois passé le seuil de la chambre à coucher, m’avait semblé assez cohérent.
Et oui, comme vous l’aurez remarqué, il existe effectivement, une sacrée nuances, entre revendiquer des pratiques SM, et simplement proposer à l’homme de prendre l’initiative, nuance, que certains hommes, semblent d’ailleurs, ne pas avoir encore saisie.
Mais venons-en au film.
Il s’agit dune jeune femme, vierge, de surcroit, qui fait la connaissance d’un bel homme, plus âgé qu’elle, et riche….
La description qui est faite du film, généralement, prétend, que l’objectif du film, tendrait à décrire, l’initiation du mentor sexuel, vis-à-vis de son élève, qu’il initie.
Pour commencer, je tiens juste à préciser, que le contexte qui est décrit, est détaché de toute probabilité.
Je ne prétends pas que ça n’existe pas…
Mais franchement, la fille qui gagne le SMIG, à ranger des boites de conserves, dans une superette de quartier, qui voit débouler un mec pété de thunes, qui l’emmène des le lendemain, à la ville la plus proche, dans son hélico personnel, qu’il conduit lui même bien sûr….Moi, perso, je n’ai pas trouvé ça excitant, mais comique, oui, certainement .
Nous en étions, là, à la version de Danny Boon, qui nous explique la collection Arlequin…
Car en vérité, ça n’est de plus que ça…..
Et oui, objectivement, il faut bien le reconnaitre, ça n’est rien de plus.
Car enfin, que recherche ton, quand on ouvre un livre, ou qu’on regarde un film ?
Certains ont envie de trouver des réponses aux questions qu’ils se posent, sur un thème abordé.
D’autres « une belle histoire ».
D’autres, que ça colle avec certaines formes de réalité sociétales, dignes de les faire ressortir, ensuite, en se disant, « tiens, oui, c’est vrai, j’aurai pas vu les choses comme ça ».
Un peu des trois, souvent, je crois, avec selon les goûts de chacun, plus certaines raisons que d’autres.
En ce qui me concerne, je place le cinéma si haut, dans mon estime, qu’il me faut bien reconnaitre que c’est la troisième raison, qui est la plus forte.
Inutile de vous alors, que « le film m’est bien vite tombé des mains ».
Mais au-delà du fait que je n’y ai pas trouvé mon compte, je vois d’autre part, par contre, une certaine toxicité, dans le film, puisque ce dernier tendrait à laisser croire, puisque le lien, entre coups et blessures, ou si vous préférez, le phénomène de violences conjugales, est avéré, qu’il existerait une voie, qui tendrait à laisser croire, qu’une femme battue, ne serait qu’une femme, qui serait adepte du SM, mais qui refuse de l’admettre, ou qui en tout cas, refuserait d’admettre, la théorie, sein laquelle, de recevoir des coups serait légitime, et acceptable, au sein d’un couple.
En somme, ce film, pour moi, est juste d’une certaine façon, fortement préjudiciable, parce qu’il tendrait à légitimer la violence conjugale, en laissant croire, que « sous certaines conditions », liées aux pratiques sexuelles, ça serait non seulement, acceptable, mais pourquoi pas, digne, d’ouvrir des portes insoupçonnées, vers le plaisir sexuel.
Et que l’on ne vienne pas me répondre, qu’avec son contrat, qu’il lui fait signer, ça devient recevable et légitime…
S’il suffisait d’être épanouie sexuellement, pour que tout roule, comme sur des roulettes, psychologiquement, ça se saurait.
L’équilibre psychologique au sein d’un couple, est une chose éminemment subtile, l’épanouissement sexuel, n’en est qu’une des facettes, et je persiste à prétendre que ce film, en banalisant les violences et la domination du « mentor sexuel », sur la jeune femme, dans l’esprit de certains jeunes, filles ou garçons, peut être toxique.
Il est possible que certains doutent, de ce que je prétends, là .
Et bien sachez pour information, que lors de cet internement psychiatrique, aussi, justement, il m’est arrivé aux oreilles, que certaines femmes, et pas uniquement des jeunes filles, se retrouvaient embarquées, dans des histoires soit disant SM, alors, que pour moi, la définition même du SM, ne peut être autre, que librement consentie, et entre personnes, qui se connaissent suffisamment, pour y prétendre, certaines, donc, se retrouvent au comissariat, pour viols, ou coups et blessure, voir, internement psy, au seul prétexte, qu’elle sont parties d’à prioris, parfaitement tronqués, sur les pratiques SM.
Alors, je le dis, et je dis, de nouveau, le corps que nous avons, est un bien précieux, qu’on ne doit pas prêter à n’importe qui, et surtout à un connards, qui n’a pour seul ambition, de vous considérer que comme un jouet sexuel, destiné à assouvir, ses frustrations perverses, dans sa sexualité à lui.
La seule raison, pour laquelle il ne faudrait pas le faire, serait que tu n'en ais toi, pas envie.
Imagine que celui qui t'ait fait ça, l'ait fait à d'autres, même si c'est prescrit, et que cette c victime, ou ces victimes, ne peuvent pas porter plainte, non plus.
Ainsi, le procureur, détient des éléments, qui sont susceptibles de donner des renseignements, qui s’avéreraient fort précieux, si c'est un prédateur, plus actif, que tu ne le soupçonnes, et en lui écrivant, tu peux ainsi, apporter ta pierre à l’édifice, pour le coincer, juridiquement, afin qu'il ne puisse plus être dangereux, pour qui que ce soit.
Il ne faut pas oublier, que (je ne sais pas quel âge, à ton violeur), mais peut être qu'il recommence, et que personne ne dit rien !
Ce qu'il faut comprendre, c'est que par définition, un pédophile, ou violeur, compte parfaitement, sur la peu qu'il a engendré, quelquefois, il continue à menacer, sa victime, pour ne pas qu'elle parle, et son objectif, c'est qu'il passe entre les gouttes.
Si les averses, c'st à dire, les renonciations, sont trop nombreuses, on diminue les chances, de le voir passer entre les gouttes.
Moi, j'ai déjà écrit à plusieurs reprises au procureur, une fois, au sujet d'une forte suspicion, de violence conjugale, j'avais pris toutes les précautions, c'est à dire, en utilisant, le conditionnel, puisque ça n'était qu'une suspicion, mais ça avait été suivi.
J'avais été convoquée, à la gendarmerie pour expliquer, et la victime elle aussi, de son côté avait été convoquée aussi.
C'est lui, ensuite, qui a synthétisé, et qui a pris la décision, afin de déterminer, si ça devait aller plus loin, ou pas.
Je pense d'autre part, que le fait de dénoncer quelque chose à un procureur, peut n'avoir pour conséquence, que le cas, se trouve croisé, avec le fichier pédophile, par exemple, ce qui serait fort important et le fait, que tu n'en entende pas parler, ne signifierait pas, pour autant, que ça n'ait pas été lu, avec beaucoup d'attention.
Dans le cas, de fait très grave, et si tu as vraiment peur, pour ta vie,ou la vie de quelqu'un d'autre, ce qui peut arriver, avec des violeurs, ou des pédophiles, ou qu'une vie est en jeu, et que tu crains, que la gendarmerie, ait du mal, à entendre ce que tu dis, je te recommande, d'utiliser la formule, "pli recommandé", de telle sorte qu'on ne puisse pas dire, que l'enveloppe était vide.
Je suis assez chiante, avec cette méthode, qui fait soupirer ma postière, à chaque fois (mdr), mais juridiquement, je peux te dire que ça tient la route.
Mais de toute façon, par rapport à l'image, que toi, tu te renvoies, comme le dit Isabelle (joli prénom), est juste absolument fondamental, quand o au fait que tu sois "acteur", de ta réparation.
Parce que quelqu'un, qui écrit, mentalement, est toujours, DEBOUT !
Il s’agissait, depuis quelques années, d’aborder ce sujet, face à des faits divers, qui mettaient en accusation, souvent des professeurs, face à des élèves, qui se voyaient accusés de pédophilie, au seul prétexte de l’âge de l’un d’eux, et sans jamais tenir compte, du fait, que c’était avant tout, d’Amour, dont il était question.
Je ne suis pas en train d’encourager ce type de comportement, je dis juste que le sentiment véritablement amoureux, entre un adulte, et un ou une adolescente, peut effectivement se produire, et ça n’est certes pas notre couple présidentiel, qui risque de mettre ma parole en doute.
Un des aspects, qui doit attirer, la plus grande attention, que ce soit dans le milieu des avocats, ou dans l’entourage, réside, dans le fait, qu’il peut parfaitement se produire, que des parents, se disent les mieux intentionnés du monde, en qualifiant de viol, par le dépôt de plainte, sur l’acte commis, ALORS QUE LA VICTIME ELLE N’A PAS CE SENTIMENT et donc, PAS CE DESIR, rendant ainsi, traumatique, un acte sexuel, qui ne l’aurait pas été.
Voilà, le danger.
Là, le moins que l’on puisse dire c’est qu’on est bien loin, de ce genre de situation, puisque c’est la victime, qui est plaignante.
"A 11 ans, on n'est pas consentante." Devant le ministère de la Justice à Paris, mardi 14 novembre, plusieurs organisations féministes dénoncent de récentes décisions de justice dans des affaires concernant des mineures. Début novembre, notamment, la cour d'assises de Melun (Seine-et-Marne) a acquitté un homme accusé du viol d'une fillette de 11 ans, des faits remontant à il y a huit ans. L'affaire a suscité un vif émoi dans l'opinion et relancé le débat sur le consentement sexuel des mineurs : faut-il fixer un seuil, un âge en dessous duquel une victime ne pourra jamais être considérée comme consentante ?
Dans cette affaire, tout débute au mois d'août 2009. L'enfant se trouve en vacances chez son oncle. Elle joue au ballon et fait du vélo en compagnie d'autres enfants, dans la cour intérieure d'un immeuble de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Sa cousine et une amie viennent l'informer qu'un "grand" veut lui parler. Ce jeune homme âgé de 22 ans se trouve également en villégiature dans le lotissement, chez un proche, mais ne lui a jamais adressé la parole auparavant. "Ils discutent de tout et de rien", raconte Laure Habeneck, avocate de cette jeune fille qui est aujourd'hui âgée de 20 ans. L'homme lui demande où il peut trouver un parc dans les alentours.
La plaignante assure avoir bien informé son interlocuteur de son âge, 11 ans. L'homme affirme qu'elle lui a dit 15 ou 16 ans. La fillette "fait" pourtant bien son âge, affirment par la suite des éducateurs, selon Laure Habeneck. Les deux protagonistes discutent de tout et de rien, tout en se dirigeant vers le parc voisin. "Il la suit, car elle connaît mieux Champs-sur-Marne que lui", raconte Samir Mbarki, avocat de l'homme. "Jusqu'à l'entrée, tout va bien. Ma cliente n'a jamais prétendu qu'il l'avait traînée de force, poursuit Laure Habeneck. Mais d'un seul coup, il s'empare d'elle et tout bascule."
Consentante à 11 ans ?
C'est à partir de là que les versions divergent. La plaignante dit avoir été maintenue, déshabillée et pénétrée. "Elle ne lui dit non à aucun moment, ça se fait naturellement", répond Samir Mbarki.
Et oui c’est bien là, que réside le problème « NATURELLEMENT ? COMME UN ANIMAL EN RUT QUI CONVOITE UNE FEMELLE ET QUI LA PREND,
Ha, ça, pour se faire, NUTURELLEMENT, c’est naturel, c’est sûr.
C’est caractéristique, du viol, par essence, justement, aucun affect, aucun discernement, on dispose du corps de la femme, ou de l’enfant, comme si c’eût été un morceau de viande…
Juste dégueulasse.
"C'est parole contre parole", ajoute-t-il, en pointant l'absence de certificat médical, d'ITT (Incapacité totale de travail) ou de témoins.
Et oui, bien sûr, à 11 ans, effectivement, quand on subit ce genre de chose le cops, lui commence à se transformer, mais mentalement on est encore un enfant.
Ce qui est incroyable, c’est que cette notion de « sidération », que putain de bordel de merde, il va falloir arriver à tatouer, sur le front de tous les humains, ma parole, n’ait encore et toujours, une fois de plus, absolument pas pris en compte !
Alors, on va rappeler de quoi, il s’agit.
Le phénomène de sidération, réside dans le fait, que le sentiment de peur paralyse entièrement, le corps de telle sorte qu’on est incapable de réagir, de hurler, ou d’appeler au secours.
Voir l’exemple que j’ai bien dû raconter environ 20 fais, depuis des années et des années, en divers endroits de mes sites internet, l’exemple de la souris et du chat que j’avais observés, dans mon jardin, il y une vingtaine d’années.
Mais Laure Habeneck est convaincue du caractère contraint de l'acte sexuel. Elle voit mal sa cliente, de nature timide et réservée, tomber dans un tel scénario avec un inconnu. "L'expert-psychologue explique que c'est quelqu'un qui n'exprime pas ses sentiments, jamais." Un enfant issu de ce rapport sexuel est né l'année suivante, en 2010, avant d'être placé. La famille a pris connaissance des faits lors de la grossesse de la jeune fille, selon Le Parisien.
Au moment d'évoquer son histoire, lors de l'audience à Melun, lundi 6 et mardi 7 novembre, la plaignante est en pleurs. Laure Habeneck évoque une jeune femme "très courageuse et digne" : "La défense a décrit la scène comme une initiative d'un rapport sexuel – le premier de sa vie, dans un parc avec un inconnu !". L'avocat général requiert huit ans de prison et un suivi socio-judiciaire, mais l'homme est finalement acquitté des accusations de viol. Citée par l'AFP, la procureure de Meaux explique que les jurés ont considéré que les éléments constitutifs du viol, "la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n'étaient pas établis".
Je regrette , mais pour moi, c’est bien de viol, dont il est question, puisque cet enfant a bel et bien été « prise », par surprise, il y a de toute évidence, abus de pouvoir d’un homme qui se considère comme légitime, AU SEUL PRETEXTE qu’il a un ascendant en âge, et physiquement, pour moi, c’est un viol, et certainement pas une simple agression sexuelle.
"Comment ça se fait que des gens potentiellement parents puissent prendre des décisions comme celle-ci ?", s'interroge la mère de l'accusée, citée par l'avocate. Pourquoi la Cour n'a-t-elle pas retenue la "contrainte morale" ? Depuis 2010, l'article 222-22-1 du Code pénal prévoit que cette contrainte "peut résulter de la différence d'âge" entre une victime mineure et son agresseur. Agée de 11 ans lors des faits, la fillette était-elle seulement en mesure de consentir à un acte sexuel ? "Ma réponse est non", tranche son avocate.
Il n'y a aucun doute possible. C'était une enfant à l'époque. Elle ne s'intéressait pas aux garçons.
Laure Habeneck, avocate de la plaignante
à franceinfo
Mais le texte de 2010 sur la contrainte morale donne une "simple possibilité de définition", nuance Audrey Darsonville, professeure de droit pénal : "C'est une indication". La différence d'âge, seule, n'est aujourd'hui pas suffisante pour qualifier la contrainte. En revanche, la juriste estime que le juge aurait, dans cette affaire, pu et dû retenir le critère de surprise. "Une fillette de 11 ans n’a pas besoin de hurler pour que le viol s’applique, explique-t-elle. On peut considérer que l’état de sidération – qui est un état de tétanie – empêche le consentement."
12, 13, 14, 15 ans... Quelle limite ?
Pour éviter des cas comme celui-ci, de nombreuses associations proposent de fixer dans la loi un âge en deça duquel l'agression sexuelle (ou le viol, en cas de pénétration) serait établie de facto : tout acte sexuel entre un adulte et un mineur en-dessous de ce seuil serait qualifié de viol. "Cette question se pose car la loi est mal appliquée, estime Audrey Darsonville. C’est peut-être aujourd’hui le seul moyen qu’on a de protéger les mineurs." "L'avantage, c'est que l'avocat général n'aurait plus à apporter la preuve d'un défaut de consentement", poursuit Laure Habeneck. L'idée fait aujourd'hui l'objet de plusieurs pétitions et de quatre projets de loi, selon un décompte du Monde. La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s'est engagée "sur une loi autour du printemps", au micro de CNews.
Reste à définir ce fameux seuil. Le Haut Conseil à l'égalité propose 13 ans. Audrey Darsonville rappelle qu'un mineur peut être incarcéré à partir de cet âge, en droit pénal des mineurs. "Si l’on considère qu’un mineur de 13 ans est assez mûr pour être incarcéré, on peut considérer aussi qu’il a la maturité suffisante pour accorder son consentement aux relations sexuelles." C'est aussi l'âge statistique de la puberté, précise le psychiatre Roland Coutanceau, coauteur de Victimes et auteurs de violence sexuelle (éd. Dunod) : "L’imaginaire sexuel est révolutionné par la puberté. Une fille ou un garçon prépubère ne cherchent pas dans la sensualité la même chose qu’un(e) pubère."
Mais "la révolution pubertaire" n'est pas suffisante pour "donner un consentement pour une sexualité adulte". Le médecin rappelle que tous les adolescents ne développent pas la même maturité au même âge. "Au-delà du symbole de l'âge, qui permet de donner un message dans le champ social, rien ne remplace l'étude au cas par cas. Il faut encore étudier in concreto chaque histoire, pour comprendre ce qui s'est passé entre les deux protagonistes." D'autres propositions françaises évoquent un seuil à 15 ans. L'Espagne, l'Allemagne et le Royaume-Uni et l'Allemagne ont respectivement adopté des barrières à 12, 14 et 16 ans.
Une requalification en "atteinte sexuelle" possible
On veut faire croire que la cour d'assises a légalisé la pédophilie en France, mais personne ne veut comprendre ! C’est horrible ce que la plaignante a subi, mais cela s’appelle une atteinte sexuelle sur mineure de moins de 15 ans et pas un viol.
Samir Mbarki, avocat de l'accusé
à franceinfo
Récemment, le tribunal de Pontoise (Val-d'Oise) a ainsi acquitté un homme, accusé de viol, dans un dossier similaire, tout en le poursuivant pour atteinte sexuelle. Cette qualification, toutefois, n'a pas été évoquée dans l'affaire de Champs-sur-Marne. Sollicité par franceinfo à ce sujet, le parquet n'a pour l'heure pas donné suite. Un tel délit aurait peut-être pu permettre de condamner l'accusé, mais pour Audrey Darsonville, toutefois, ce terme reste un pis-aller dans ce genre d'affaires. "C'est très injuste pour les victimes car l'atteinte sexuelle postule qu'elles étaient consentantes", analyse-t-elle.
Contrairement au viol, l'atteinte sexuelle n'est pas un crime, jugé aux assises, mais un délit, puni de cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende, étudiée au tribunal correctionnel. Quand elle n'est pas utilisée à bon escient, il s'agirait donc d'une sous-qualification. "Les juges sont parfois réticents à envoyer des mineurs devant la cour d’assises [pour un crime, le viol], par crainte que leur parole ne soit pas suffisamment entendue par les jurés", explique Audrey Darsonville.
Dans cette affaire, la plaignante "a dû faire preuve d'énormément de courage pour venir à la barre", estime son avocate. Après avoir fait "le deuil de son enfance" en 2009, elle a vécu l'acquittement "comme un deuxième traumatisme", selon les mots de Laure Habenec. Aujourd'hui étudiante, la jeune femme âgée de 20 ans ne souhaite pas s'exprimer. Un nouveau procès doit avoir lieu, car l'avocat général a fait appel du jugement controversé.
Il y a un autre traumatisme, qui n’est pas abordé, c’est que cette jeune femme, elle, a placé son bébé, chose que je peux comprendre.
Le simple fait, que précisément, elle n’ait pas désiré soit le garder, soit manifester un intérêt positif, pour cet enfant, en dit pourtant long sur le sujet.
En effet, dans l’hypothèse, où il n’y ait pas eu viol, il eût été plus facilementenvisageable, même si elle l’aurait placé, qu’elle garde un lien, avec cet enfant, non ?
Il importe effectivement, d’aller en appel, et de légiférer sur le sujet, parce que ce verdict, s’il ne change pas, ferait rigoler, bien des pédophiles, qui pour peu que leurs proies potentielles, commencent simplement, à manifester, des signes de puberté, ou à porter le moindre vêtement qui tendraient à montrer un signe de féminité, feraient d’elles, des proies potentielles, avec la bénédiction de la Justice…
En gros, aux yeux des pédophiles, le message serait le suivant :
« Bon, ben, ok, y’a plus qu’à se servir, alors ».
Voilà, la lecture qu’ils en font, EUX !
Sinon, la question à cent balles, il en pense quoi, lui, le coupable, du fait, que sa descendance, soit pris en charge par la DASS ?
Cette video, remonte à plusieurs années, deja, mais plante bien le decor, d'une certaine façon, puisque qu'elle decrit le fonctionnement, exact, de l'association, et demontre comment, l'education des filles, parce qu'elle sont dans les faits, souvent, de futures mères, detiennet effectivement, un réel potentiel, economique, pour influer, le devenir économique, et donc, de developpement, d'un pays.
Prêtez bien attention, aux chiffres qui sont énoncés, notamment, par Michel Drucker.
Pour ce qui me concerne, je travaille depuis pas mal de temps, deja, à l'écriture d'un livre, qui traite de la famille, au sens large.
J'y compile mes articles sur le sujet, selon les problèmatiques que l'on m'a soumis depuis plusieurs années, et notamment, tout ce qui concerne, le manque d'enfant, donc, la stérilité, notamment, entre autre, l'adoption, et en quoi le phénomène de parrainnage, peut dans certains cas, proposer une forme d'alternative, à un manque d'enfant.
Je ne prétends pas que ce soit, l'alternative absolue, mais uniquement qu'il peut se produire, que ça le soit.
Il n'est pas question, pour moi, de vous livrer l'ensemble de mon travail, sur le sujet, ici, mais je vais juste poser, ce que j'ai rédigé, sur le parrainnage, qui est la solution, la plus souhaittable, pour tout le monde, pour soutenir une ONG, comme l'explique,Tina Kieffer, dans la vidéo.
EXTRAIT:
Pourquoi avoir recours au parrainage ?
J'ai l'intime conviction, que le parrainage par ses différentes formules, propose des opportunité, de remettre du lien, entre les êtres, de la façon la plus ajustée, que chaque cas le nécessite.
Il est tout à fait probable que certains ne discernent pas vraiment en quoi, et pourquoi, je tiens à en développer les différentes formules…
Alors, je m'en explique.
Le souci, est le suivant.
D'un côté, des gens qui ont la chance, d'avoir un niveau de vie suffisamment décent, pour avoir la prétention de parrainer, sans pour autant, je le précise, qu'il soit nécessaire, qu'ils fassent partie des classes particulièrement privilégiées, socialement ou financièrement.
De l'autre, des villages entiers, des familles entières, des fratries, ou des enfants seuls, qui ont besoin, soit, d'un soutien uniquement financier, pour poursuivre leurs études, soit d'un soutien financier, pour jouir d'assez de dignité, pour ne pas mourir de faim et aller à l'école, soit des familles entières, qui sont dans une vraie détresse, totale et absolue, soit leur village, entièrement dévasté….Par un cyclone, par exemple.
L'écueil à éviter absolument, consiste dans le fait que le parrain et celui qui en bénéficie, ne soit pollué par le côté toxique des différences de classe.
Il faut qu'ils ne jouissent que du côté merveilleusement positif du parrainage, tout en évitant, le côté toxique, qui lui, a toutes les chances de se produire, si le parrain, fait partie des classes les plus privilégiées, et que certaines conditions ne sont pas remplies.
Vous doutez ? Et bien écoutez ceci.
J'ai parrainé un enfant, au Nicaragua, il y a quelques années.
J'ai dû stopper, hélas, parce que sous tutelle, je ne pouvais continuer.
C'était par l'association PLAN, que je vous recommande chaleureusement.
Ce sont eux, qui m'avaient expliqué, ce "travers", effectivement regrettable.
Une française, parrainant, à l'époque, un enfant, dans un pays "en voie de développement", parce que les adresses véritables, avaient été échangées, avait été contactée par la famille de l'enfant, et sollicitée plus que de raison, pour donner plus d'argent, et une autre avait pris contact, pour carrément, venir ici en France.
Il n'est pas question pour moi, de polémiquer, ou de porter un jugement sur une famille, qui était effectivement dans le besoin, ou dans une forme de détresse, mais juste de dénoncer les dangers, les risques, ou les dérives qui peuvent survenir, si la notion de parrainage, n'est pas encadrée, dans les règles psychologiques, parfaitement déterminées.
Suite à ces problèmes, l'association PLAN, avait fait le nécessaire, pour que ça ne puisse plus se reproduire, et leur protocole est, je le précise, sur ce point, parfaitement fiable.
Enfin, je veux dire qu'ils ont une grande expérience, du parrainage.
Il est bon de savoir, que suite à mes suggestions, beaucoup d'associations, ont développé le parrainage, qui présente de multiples aventage, dont celui, extrêmement précieux, qui réside dans le fait, qu'au lieu de recevoir de l'argent, massivement, suite à une catastrophe, l'ONG en question reçoit au contraire, l'argent, sur le long terme, et de façon plus régulière, ce qui permet un travail, sur le long court, qui ménage autant le moyen terme, et le long terme, que l'urgence immédiate.
Il peut quelquefois, être parfaitement envisagé, que le parrain, ou la marraine, se rende effectivement sur place, ce qui se fait aussi, mais ce projet est alors, préparé en amont, justement pout en éviter les écueil, et je dois avouer, que ces témoignages, ensuite, concrétisent ce parrainage, de façon particulièrement émouvante, il y a sur le site de l'association, des témoignages, tout à fait touchants.
Parrainage, par Éloignement Géographique.
C'est l'exemple que je cite, plus haut.
Dans l'hypothèse, de parrain, ou marraine qui soit particulièrement généreux, je recommande, EN PLUS DU PARRAINAGE CLASSIQUE ET INDIVIDUEL, que vous êtes en droit de multiplier, votre protégé, ou vos protégés, n'ont pas besoin, d'être informés que vous êtes riche ! Et votre relation, n'en sera que….. Plus riche, encore.
Si vous estimez, qu'ils doivent en être informés, je ne saurai trop vous recommander, de consulter un psy, parce que c'est vous, qui avez un problème avec l'argent, et la relation que vous avez avec…..
Car nous savons tous, que l'argent, pervertit beaucoup de choses, et notamment, la relation que nous avons à l'autre….
Et que certains peuvent être tentés, par le parrainage, pour des raisons qui ne seraient pas les bonnes.
Si vous souhaitez "investir" (je parle affectivement), dans la parrainage, d'aventage que sur le plan individuel, je sais qu'il est possible aussi, d'investir, par le parrainage sur un projet, plus conséquent, et parfaitement déterminé….
Si vous souhaitez que ce projet plus précisément, porte votre nom, quel qu'il soit, et que c'est là votre condition, pour que vous le financiez, je ne connais pas la posture de l'ONG, sur ce point, mais je suppose, que leur position, doit être arrêtée, et pour tout dire, je ne la connais pas.
Il me semble, que cette posture a le mérite, au moins d'être honnête, des lors qu'elle est clairement annoncée, en amont.
Parrainage dans votre ville, ou proche de chez vous.
J'avais suggéré, il y a quelques années, que les ONG œuvrant sur le sol français propose aussi ce parrainage de proximité.
Pour moi, il revêt une importance absolument prépondérante, et présente de multiples avantages….Puisque la rencontre véritable, est effectivement envisageable.
Mais là, encore, dans le cas de parrains, particulièrement aisés financièrement, certaines précautions, doivent être prises, de telle sorte que le parrain, ne se trouve sollicités, "pour de mauvaises raisons".
Sinon, je rappelle que Pascal Plisson avait tourné un film, il y a quelques années, qui s'appelle "sur le chemin de l'école", que j'avais adoré, et qui montrait comment, dans des pays extrêmement defavorisés, certains parents avaient à coeur, de tout faire pour que leurs enfants, aillent à 'ecole, et ce, même si dans leur pays, la scolarité n'est pas encore obligatoire, comme c'est le cas, dans des pays occidentaux. Ce film a été rediffusé, ces derniers temps, et est disponible encre, par le biais de France télévision Education.
Moi aussi, comme Laurent Ruquier, je pourrai l'appeler ainsi, je trouve ça parfaitement légitime, non parce qu'il est "mon pape", mais parce qu'il le mérite amplement, posture que je n'aurai, je crois, jamais adopté, vis-à-vis de ses prédécesseurs, qui ont été bien moins courageux que lui, ne l'a jamais été, depuis le début de sa nomination, en temps que pape.
Pour ce qui concerne le fait, qu'il ait choisi un français, pour ouvrir son cœur, et si j'approuve parfaitement les motivations, qui sont données par l'auteur, je crois que c'est aussi, en partie lié à moi, qui suis française, pour le cas, où certains l'auraient oublié.
Christine Angot, ensuite, explique que sa notion du temps, devient pour le moins contraire, aux propos tenus par l'auteur, si l'on observe que six mois de psychanalyse, lui ait semblé suffisant.
Si je crois avoir un regard à présent assez affuté sur le sujet, tout comme elle, il me semble plutôt hasardeux, de prétendre qu'une psychanalyse soit inefficace, sous prétexte, qu'elle ait été aussi courte….
En effet, chaque individu est unique, il le devient plus encore, au fur et à mesure, que les décennies se déroulent, et posent devant nous d'incroyables obstacles à franchir, et si l'on peut prétendre, dicerner certaines généralités, dans ce domaine, il me semble qu'elle tout comme moi, d'ailleurs, devons a voir la sagesse, de ne pas prendre nos expériences, sur le sujet, comme seul regard qui mériterait de valoir comme généralité….
Pour ce qui concerne le regard qu'il donne, sur les femmes, alors, qu'on lui reproche, que sous prétexte qu'il ait eu quelques petites amies, il ne peut pas les prétendre…
Mais peut on vraiment, aujourd'hui, prétendre les connaître? Ou plutôt NOUS CONNAITRE….
Nous ne pouvons prétendre connaître les femmes, comme n'importe quel autre groupe d'humains, d'ailleurs, que par le regard un peu biaisé, de nos expériences personnelles, qui, si elle peuvent sembler partiales, quelquefois, présentent, au moins, l'aventage, de la bienveillance, enfin, j'ose l'espérer, là, où une plus grande subjectivité, peut être, le serait moins…
Combien d'hommes, aujourd'hui, sont en couple, aujourd'hui, jeunes couples, vieux couples, qui font quelquefois, l'admiration, autour d'eux, alors, qu'une fois, entre leurs quatre murs, ils ne se parlent quasiment, pas, ou peu, et l'un et l'autre, vont confier leurs soucis, à l'extérieur ?
Connaissent ils mieux pour autant, l'autre sexe, que quelqu'un, comme le pape ?... Pas si sûr.
Bon ensuite, en ce qui concerne l'affaire barbarin, par contre je me range entièrement, derrière ce que prétend, Christine Angot….
"Grâce à Dieu, les faits sont prescrits"….
C’est-à-dire que pour barbarin, la réputation de l'Eglise, passe avant l'intérêt des enfants, qui avaient été confiés aux prêtres….
Christine Angot dit : "il considère que le silence des enfants, traduit leur responsabilité", enfin, c'est tourné un peu comme ça.
Quand l'auteur cherche à recentrer la problématique, sur le fait que la pédophilie, doit être revu sous l'angle sociétal donc, surtout, aussi familial, il a parfaitement raison… SAUF QUE…..
Adopter cette tournure, démontre, une méconnaissance absolue de la psychologie de l'enfant, puisque c'est occulter entièrement, le fait que précisément, en temps que "notable spirituel", un prêtre est infiniment plus répréhensible, encore, que ne le serait un autre adulte, qui serait simplement responsable d'un enfant….
Et que c'est justement aussi, parce qu'il s'agit d'un maitre spirituel, que l'enfant se tait, d'autant plus, vis-à-vis de sa famille, et de ses parents…
Pour ce qui concerne le fait, d'observer le fait que l'Eglise, gère des temporalités, je dois admettre, que j'ai du mal, à taire ma colère, parce que la temporalité, j'y vois, moi, une autre notion, qui concerne le temps de prescription, en ce qui concerne les crimes sexuels, en général, et la Loi, qui est si imparfaite, encore, pour l'instant….
Un enfant qui est victime d'un acte pédophile, est entièrement broyé, si cet acte est commis, par un prêtre, il l'est dix fois plus, n'en déplaise à certains, justement, parce que la notion de bienveillance, et de refuge spirituel, s'en trouve assassiné…
Imaginez donc, ensuite, dans quel contexte cet enfant, (qui existe encre aujourd'hui, pour information), et qui va se rendre au catéchisme, sachant que son père et sa mère, souhaite qu'il s'y rende, il n'ose rien dire, de peu du scandale, et ses parents, en gros, l'envoie direct à l'abattoir….
Oui, j'ai bien dit AUJURD'HUI, là, au moment, où je vous parle.
L'Eglise d'aujourd'hui, n'est pas responsable, pour ce cas là, puisque tant que l'enfant, terrifié, n'a pas tiré le signal d'alarme, et que les parents n'ont pas réagi….
Ha, au fait, aujourd'hui, en 2017? Comment, réagit un père ou une mère, qui entend de la BOUCHE DES SON ENFANT, que le prêtre, s'est fait faire une petite gâterie, et qu'il voit son gamin, en pleur, comment, réagit il ?
Est-ce qu'il lui dit, comme je l'ai entendu, les années passées, en disant "tu te tais, tu mens, c'est impossible, " ou bien , "tu vas nous faire remarquer".
Ou bien, "on ira pas au paradis, et ça sera ta faute"…
Ne riez pas,…
Enfin, si riez en, désolée, si je choque, mais à for ce de filer, des coups de tatanes, dans la fourmilière, quelquefois, la colère est si grande….
On nous parle là, une perception, du temps qui passe, aux yeux de l'Eglise, "la bonne blague".
Jusqu'à preuve du contraire, la seule temporalité que connaît la Justice, elle, et la prescription, c'est la temporalité du calendrier, celui, qui, je le rappelle, est basé, au départ, sur le naissance, du Christ, celui là, même que l'on vénère, dans la religion, catholique, ha, ça, pour être "vener", je suis vener…..
Pour information, je signale juste qu'un enfant, quia été victime, d'un pédophile, voir, son traumatisme, inscrit, sur son génome, et que cette trace sur son génome, est inscrite, SUR TROIS GENERATIONS…..
TROIS GENERATIONS…..
Alors, NOUS AUSSUI, LES VICTIMES DE PEDOPHILIE AVONS NOTRE TEMPORALITE !
Pour ce qui concerne les reproches, qui sont faits, sur la responsabilité des enfants…
Je n'ai pas lu, les propos, qui sont reportés dans le livre.
Mais de façon générale, pour qu'un enfant, soit tenté de se confier, à ses parents, quand il subit un acte de pédophilie, il doit se trouver en confiance.
Ce qui traduit, la position, de Christine Angot, et j'espère ne pas la trahir en disant cela, c'est que les choses, sont présentées, comme si l'enfant, parce qu'il a été silencieux, est perçu, comme étant responsable des accusations, qu'il profère ultérieurement.
Je ne crois pas que l'on reprocherait à un enfant de s'être tu, pour un crime semblable, dans un contexte, qui serait en dehors du contexte religieux…
Mais là, PARCE QU'IL S'AGIT DE L'EGLISE, on le lui reproche.
Il me semble que c'est sous cet angle que les choses doivent être observées, parce que la Vérité réside dans le fait, que ça braque l'objectif sur le fait que la pédophilie, serait moins grave dans le cadre religieux qu'elle ne le serait dans les autres sphères sociétales.
Ce qui je prétend là, n'est pas de l'ordre de la suspicion, mais de l'ordre de l'absolue certitude.
Il est probable que beaucoup, qui ont la chance, de ne jamais avoir été confrontés, à la pédophilie, de près ou de loin, et s'il est un point que cette observation, met en évidence, c'est que ça ouvre la boite de pandore, sur le fait, parfaitement positif, celui, là, qui réside, dans le fait, que l'Eglise catholique, au moment, où je vous parle, EST LE SEULE A AVOIR OBSERVE LE PHENOMENE PEDOPHILIE AVEC INTELLIGENCE ET HONNETETE…. De la part du pape.
Car les pédophiles, au sein des autres cultes, eux, agissent en toute légalité, sans que jamais personne ne trouve à y redire.
Je sais, par exemple, qu'aujourd'hui, beaucoup de curseurs, bougent, au sein de l'Eglise, qui tendent à faire évoluer, les choses, sur le mariage des prêtres, par exemple, qui n'est pas le seul point, qui a lui seul, pourrait résoudre, le problème de la négation, du plaisir charnel, vis-à-vis de l'Eglise, nous sommes bien d'accord, mais qui au moins, tend à proposer des solutions….
Aujourd'hui, je sais, parce que j'en ai été informée, que les jeunes hommes, qui souhaitent devenir prêtres, et entament des études, dans cet objectif, font l(objet, d'une détection véritable, relativement au risque pédophile…
Quand je parle "détection", c'est au sens large, qu'il faut l'entendre, et je ne sais pas comment, c'est organisé, mais je sais que c'est fait, véritablement, et la raison, c'est qu'il y a plusieurs années, j'avais m pointé du doigt, le fait, qu'un e pédophile, avéré, avait tout intérêt, à devenir prêtre, puisqu'il savait qu'il serait couvert, par l'Eglise…
Alors, du coup, à présent, ils e anticipent les risques.
Je précise que cette détection ne peut en aucune façon, être sécure à 100%... Quelle qu'elle soit.
Mais au moins, par ce fait, et combiné au fait que l'Eglise, n'est plus considérée à présent, grâce au pape François, comme antinomique avec la psychanalyse, les officiants, qui œuvrent à encadrer les postulants prêtres, agissent en ce sens.
Je précise, d'autre part qu'au sein de chaque diocèse, il y a un psychiatre, qui collabore avec le culte, enfin, c'est le cas pour le diocèse de Rouen, en tout cas, que je connais mieux que les autres, puisque c'est mon diocèse.
Je précise que Monseigneur Lebrun, s'est vu remettre ces jours derniers, la légion d'Honneur.
Je précise ma pensée, s j'ai moi aussi, beaucoup d'admiration pour mon Evêque, je connais fort bien sa position sur le droit à l'avortement, et l'euthanasie…
Mais "ne mélangeons pas tout".
Pour ce qui concerne le rapport au temps, qui est dénoncé par Dominique Wolton, c'est en ce sens, qu'il faut l'entendre…
Ca met alors, parfaitement en lumière, justement, la relation, que nous avons, tout à chacun, avec le culte…
Pour quelle raison, va t'on à l'Eglise, est ce que c'est pour se souvenir de quelle culture nous sommes issus ?
Est ce que c'est pour se retrouver "entre soi" ?
Est ce que parce qu'on croit en Dieu ?
Ne riez pas, certains vont à la messe, alors, qu'ils ne croient pas nécessairement, mais ça les rassure….
Certains croient, et ne veulent pas entendre parler de culte…
Certains y vont uniquement pour les valeurs.
La relation à Dieu, si l'on y croit, est très diverse, celle au culte, l'est d'autant plus.
Et c'est pour cette raison que cette notion de temps, que l'on doit rattacher, à la notion d'adaptabilité, doit être retenue, comme une forme d'indulgence, vis-à-vis du pape, sur ces problèmes de société, il me semble.
Je tiens à faire une mise au point, face à ceux qui soNt victimes de ces crimes Sexuels, et qui portent d'autres noms, aussi, comme attouchements, inceste, pédophilie, que si je ne parle que tr7s peu, pas assez je suppose, de ces crimes? ce fait a pour principale raison, que j'en suis complètement guerrie.
Et que c'est précisément, parce que j'en suis parfaitement guerrie, que je n'en parle plus guère, "pour l'instant".
Il ne faut voir dans ma posture, aucun mépris ou démotivation face à cette cause, bien au contraire, mais uniquement, le fait que cette cause, me tient à coeur, non pas plus qu'une autre, mais plutôt, autant qu'une autre.
En ce sens, je suis accaparée, par d'autres sujets, comme la famille, notamment, entre autre, mais surtout, d'autres thèmes, qui comme la famille, justement, sont précisement, intimement liés à la lutte contre le viol, et les crimes sexuels...
En ce sens, il ne faut surtout pas considérer ce fait, comme une forme de résignation, venant de moi, bien au contraire, mais juste comme un signe, qu'on peut s'en sortir véritablement, et rien de plus.
Par contre, sur ce plan là, j'ai une excellente nouvelle à vous annoncer, me concernant.
Depuis des années, sur differents aspects de la santé, je suis amenéee, et sollicitée, pour devenir "patiente experte", comme le sont beaucoup de malades, qui souhaitent mettre leur experience en temps que patients, au service es chercheurs, ou des associations.
Jusqu'à il y a quelques mois, maintenant, le prétexte psychiatrique (par le biais des expertises mensongères) avait rendu impossible, la moindre chance, que ce soit envisageable, pour des raisons parfaitement coherentes.
Lors de l'entrevue avec la juge des tutelles, il y a quelques mois, il a été entendu, que la seule raison pour laquelle je serai maintenue sous curatelle, désormais, ne serait que pour répondre à ma demande, uniquement afin de servir de période transitoire à la tutelle, et la sortie de la moindre mesure de protection juridique.
En théorie, en tout cas, plus rien de ne s'opose, au fai, que je devienne patiente experte....
Par contre, alors qu'il est prévu aussi, que je postule comme assesseur, auprès d'un tribunal, pour aider les magistrats, au sujet des crimes sexuels, j'ai deja fait la demarche les années passées, postulé etc, mais la moindre mesure de protection, donc, aussi, la curatelle, entrave entièrement, la moindre chance que ce soit realisable....
Ca ne pourra donc se faire, strictement, que quand je serai délivrée de la moindre mesure de protection, ce qui est aussi le cas, pour que je puisse donner mon sang, soit dit en passant.
ça fait plusieurs jours, à present, que cette fillette a disparu.
J'ai entendu, ce matin, que les chiens, avaient marqué la perte de sa travce, sur le parking, ce qui tendrait à laisser croire, que la fillette ait été emmenée, par une voiture, dans laquelle elle aurait monté, ce qui orienterait les enquêteurs, vers l'enlevement.
Je précise que depuis le début, j'ai commenté en interne, pour donner mon sentiment, afin que ce soit transmis aux autorités compétantes.
Au sujet de l'alerte enlevement, voci u lien, qui explique, pourquoi elle n'a pas été utilisée.
Si la thèse de l'enlèvement, semble être actuellement privilégiée, j'y vois personnellement, l'occasion de mettrre en avant, comme si ça n'était pas une évidence aujourd'hui, la necessité d'avoir une structure européenne equivalente au FBI, qui permette au même titre que pour le proxénétisme, la traite d'humains, l'esclavage moderne, ou le risque terroriste, d'offrir une collaboration, digne de ce nom, avec les autres pays europépens limitrophes.
On vient d'apprendre à l'instant, que les deux hommes, qui avaient été mis en garde à vue, ont été relâchés.
Plusieurs liens, sur ce sujet, sont disponibles sur FranceTVinfos.
Pour ce qui concerne les chiens renifleurs, je sais que ces derniers ont perdu sa trace, sur le parking.
Actuellement, ce qui serait souhaitable, serait de poser sur leur collier, un émeteur, et de les laisser divaguer, dans la zone à prospecter, et de les suivre par satellite, de telle sorte qu'ils n'aient plus le soutien de leur maitre, pour observer ce que ça donne.... Les chiens, dans le lien de l'humain, ouvriraient peut être certaines novelles opportunités, pour faire avancer l'enquête. Enfin, c'est ce que moi, je ferai.
Mardi 5 septembre 2017.
COUVERTURE MEDIATIQUE DE L'AFFAIRE MAËLYS.
Je ne trouve rien à redire, je trouve que les leçons prises, hélas, par l'affaire Grégory, ont bien été apprises, et sont appliquées, je cautionne entièrement, l'extrême précaution, et la prudence de la procureur, qui sot pafaitement justifiées.