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#cuentalo, la sideracion, no la conocen ?
Le 29/04/2018
FBI Européen émancipation viol pédophilie tournante
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12 janvier, 2018, message à tous ceux qui attendent après moi.
Le 12/01/2018
Il est vrai que j'ai toujours fourrré mon nez, là, où ça dérange.
Mais si l'on m'avait affirmé, un jour, que la Justice elle même, que mon avocat, et que mon coach, lui même, en personne, se ligueraient contre moi, pour me museler, afin que je ne puisse plus lutter, contre ce que j'ai toujours détesté...Jamais, je ne l'aurai pensé.
Je ne sais pas ce qu'il adviendra de moi, j'ai le sentiment que jamais, je ne parviendrai à pardonner, à tous ceux, qui depuis toutes ces années, ont veillé, si méticuleusement, à m'ecraser, pour mieux observer, telle une souris de laboratoire, avec quelle ruse, je parvenais à me relever, TOUJOURS.
Aujourd'hui, c'est par une décision assassine, qui émane de la juge des tutelles elle même, alors que je n'ai eu de cesse, que de lui dénoncer en quoi, et comment, la curatrice de l'UDAF, pratiquait, sur moi, les pires tortures psychologiques, en n'appliquant pas ce que la juge pourtant, lui avait indiqué.
Je pourrai vous la faire théatrale, selon la chanson de Barbara, en vous disant courtoisement, "et je m'en vais sereine".... Il va bien se trouver un crétin, pour s'en contenter, non ?
Mais ça serait trop d'honneur, que je vous ferai là, et je ne crois pas que le fantôme de Barbara, apprecierait.
Je pourrai aussi, vous resortir, la chanson de Anne sylvestre, sur "les gens, qui doutent"... Et qu'on s'évertue, inmaquablement, à me recoller sous le nez, en la personne de Jeanne Cherhal, Vincent Delerm, et Albin de la Simone.... C'est juste oublier, que de souffrir est infiniment plus acceptable, et concevable, quand on ne vous enferme pas dans un rôle qu'on vous impose.
Aurait elle, elle même ecrit cette chanson, si elle avait été dans la situation, que l'on m'impose, depuis toutes ces années ?
Personne ne le sait, et Anne Sylvestre, pour qui j'ai bien plus que du respect, elle même, ne le sait pas d'aventage.
Je m'excuse de ne pas être aussi forte, que beaucoup le voudraient, je ne suis qu'une simple femme, qu'on s'evertue à transformer, en vielle conne mal baisée..... Et je ne crois pas être responsable, en quoi, que ce soit, du sort que l'on m'impose.
Des lors je n'ai plus d'autre alternative, que de rentrer en moi, afin de lêcher mes plaies, pour une durée indéterminée, puisque l'énergie, qui a été mobilisée, pou porter ma souffrance, les 40 années premières de ma vie, là voilà de nouveau mobilisée, pour cette même raison, énergie, que de facto, je ne puis donc plus donner, vers l'extérieur....
Comment vous dites ?
Consulter un psy ?
Mais j'ai fait, bien sûr.
Le psy, et la psychiatrie, cautionnent entièrement, les méthodes de barbare, de Thomas Fersen. ils les cautionnent tellement, qu'ils souhaitent, non pas me mettre sous neuroletiques, de nouveau, mais sous antidépresseurs.
Quand je pense que je suis assez conne, pour avoir écrit mon histoire sur le sujet, ces derniers jours, pour avoir la certitude, qu'il ne restait rien de douloureux, entre eux et moi, je n'en reviens pas de ma naïveté.
J'attends toujours, depuis plus d'un mois, qu'il me fixe un RV avec la psychiatre, principe que j'ai accepté, mais qui visiblement, semblerait, lui poser à lui quelques problèmes de conscience...
Je souhaite bien du courage, à la profession, pour envisager la moindre collaboration avec moi, quelque soit le sujet, désormais".
Bon, week end à tous.
Janvier 2018, la crise iranienne.
Le 03/01/2018
Pour commencer, Macron a parfaitement raison, sur le fait qu’on ne peut transiger, sur la liberté d’expression, que ce soit ici, sur le sol français, en ce qui concerne la diaspora iranienne, ou que ce soit en Iran….
Au sujet de la posture, de la France, vis-à-vis de ces manifestations, et de l’influence de cette diaspora, je rappelle que sur plusieurs médias, ces jours derniers, dont Europe 1, hier matin, et ça avait été fait, aussi, la veille, il me semble, ont resitué la photo dans son vrai contexte, à savoir qu’elle avait été prise plusieurs jours avant les manifestations, et qu’il était important, de le rappeler.
Maintenant, je tiens juste à rappeler, à monsieur Rohani, que si certains iraniens, ont déserté leur pays, depuis plusieurs décennies, ça n’est pas un hasard, et que s’ils l’ont fait, c’était pour trouver ailleurs, ce qu’ils ne trouvaient pas chez eux.
Revendiquer le fait de ne pas porter le vole, ne signifie pas que l’on souhaite nécessairement tourner le dos à sa culture, dont la religion, n’est que la racine ancestrale, ça signifie simplement que cette culture et accessoirement, si l’on est croyant, sa religion, ne doit pas être un obstacle, au développement personnel, qui permet de s’épanouir, au sein d’une nation.
Si cette diaspora, aujourd’hui, comme c’est toujours le cas, de quelque diaspora qui suit une vague migratoire, revendique plus ou moins ouvertement une quelconque influence, dans ces manifestations, ce qui, soit dit en passant, reste à démontrer, il serait plus judicieux, d’observer cet éventuelle influence, si elle est réelle, comme une opportunité à saisir, et ce ci, pour deux raisons.
La première, réside dans le fait, qu’elle démontre un attachement véritable, à leurs origines.
En sommes, si vous regrettez, qu’ils aient cette influence tâchez de faire le nécessaire, pour qu’ils n’aient plus envie de fuir, votre ays, en respectant les droits de l’homme.
Pour n’importe qui, immigrer, pour ds raisons, purement économiques, ou environnementales, est toujours un déchirement, et une plie profonde, n’importe quel émigré, qu’il s’en soit sorti, ou mal sorti, au fil des décennies, vous le confirmera.
C’est clair, que ceux, qui pourrissent aujourd’hui, au fond de la mer méditerranée, ceux là, ne sont plus dans la souffrance, eux, mais ils y ont cru, et c’est parce qu’ils ont refusé de mourir, justement, qu’ils y ont laissé leur peau.
Ce que je trouve vraiment regrettable, c’est d’observer que l’influence de cette diaspora, soit observée par vous, comme une menace, alors, qu’au contraire, elle devrait être observée, comme une véritable opportunité, au contraire…
Puisque par définition, la diaspora, représentant, la génération, qui est ou qui suit la vague migratoire, ne cherche pas uniquement, à m’immiscer politiquement, ce qui est légitime, mais aussi, à investir, en monnaie sonnante et trébuchante, pour ainsi, insuffler, une énergie nouvelle sur le plan économique….
J’entends bien, qu’un gouvernement, ait du mal à accepter, d’avoir le sentiment d’une certaine façon, de manipulation, vis-à-vis de ces manifestations, et de façon générale, vis-à-vis des diasporas, quelque soit l’endroit, dans le monde, comme on peut m’observer, au USA, avec la diaspora israélienne, et le gouvernement de Netanyaou, je ne trouve pas ça, « honnête »….
Mais entre « accepter de se faire dicter la loi » par cette diaspora », et « entendre ce que dit cette volonté d’influence », je pense qu’il existe certaines nuances, qu’il me semblerait légitime, d’observer avec plus de discernement, et de subtilités….
Quand je parle d’investir, dans l’économie iranienne, je ne suis pas dans la fantasme, là, je suis dans la réalité, vraie…
Quand on observe une vague migratoire, cette diaspora, où que ce soit, dans le monde, on observe, que cette diaspora, ensuite, les générations, qui suivent, souhaite aider leur pays d’origine, pour entre autres, aider à cicatriser leurs blessures, liées à l’immigration, qu’ils ont subie, pour aider au développement du pays concerné, TOUTES LES DIASPORAS FONT CA, et c’est une s chose salutaire, et bienfaisante, qu’il faut saluer et observer, comme une bénédiction, et surtout pas comme une menace.
Une réponse qui pourrait être faite, là, des maintenant, au manifestants, serait des mesures réelles, contre la corruption.
About Donald Trump twitter.
Le 31/12/2017
Today, the last day of 2017, I décide to watch donald trump account, and comment, "perhaps".
It' important, for me, because I need inspiration.
I think it's a good idea to speak on twitter, because, learning he, think about, is important.
"Syrie, le cri étouffé", un documentaire de Manon Loizeau.
Le 18/12/2017
https://www.replay.fr/infrarouge-syrie-le-cri-etouffe-3342083
Je ne ne comprends pas, pourquoi elle n'est plus disponible.
Sonia Devillers, en a parlé, il y a quelques jours, vous pouvez réécouter, en suivant ce lien.
https://www.franceinter.fr/emissions/l-instant-m
En cours de commentaire.
50 nuances pour balancer son porc !
Le 05/12/2017
Certain vont trouver quelque peu hasardeux, de voir, que je mélange tout ainsi.
J’ai déjà commenté, pat le passé, ce livre, à l’époque, et surtout, ce que personne ne faisait, le fait qu’il ait eu un aussi grand succès, et quelles, en étaient les potentielles raisons.
Si je m’étais permis de le commenter, à l’époque, non pas que je m’en croyais indigne, mais comme toujours, je ne l’avais pas lu, alors, ça me semblait cohérent.
Mais lors d’une de mes dernières hospitalisations à l’HP, pendant quelques jours, alors qu’on m’avait déplacée dans différents services, j’avais sympathisé avec une jeune femme qui tenait dans ses mains, ce livre.
Elle m’expliquait alors, qu’il lui avait été offert, par sa propre mère, qui comme elle, était victime de violences conjugale, raison pour laquelle elle se trouvait hospitalisée en HP, ce qui en soit, déjà, m’interpellait sérieusement.
Je ne nie pas qu’il puisse arriver qu’une femme battue, ait besoin, dans certains cas, d’être hospitalisée, mais objectivement, celui qui a de graves problèmes, dans le couple, c’est celui qui porte les coups, et pas celle qui les reçoit.
BREF.
Je rentrais chez moi, plutôt pensive, par ces confidences qu’elle m’avait faites.
Il y a quelques jours, je découvrais le film, qui a été fait du livre.
Je ne l’ai pas regardé, par intérêt, mais par devoir, parce que je voulais éventuellement pouvoir compléter le travail que j’avais fait sur le livre, et son analyse.
J’avais retendu, dans un article précédent, qu’il était probable, que sur le pourcentage de livres achetés, un fort pourcentage, l ne l’avaient ^me pas ouvert, et je persiste en ce sens, à moins qu’il ne leur soit tombé des films, comme moi, j’ai laissé tomber le film, au bout d’une heure…
J’ai insisté, je précise, par devoir, puis j’ai laissé tomber.
Vous me direz « mais toi aussi, tu achètes des livres, quelquefois, que tu ne lis pas », ce qui est vrai, et c’est souvent le cas, mais moi, c’est pour une autre raison, c’est par manque de temps, et à cause de ma dyslexie.
Mais une des questions, qu’on peut se poser, réside sur les raisons, qui justifient d’acheter un livre.
Je pense que certains font l’objet d’achats compulsifs, comme n’importe quelle bien de consommation.
Acheter 50 nuances de gris, à l’époque, et le poser sur la table, en rentrant chez soi, était sensé, je crois, se faire passer pour ce qu’on est pas, ou en tout cas, tenter de suggérer, qu’on aimerait bien, être autre chose, vis-à-vis de celui qui partage sa vie que ce qu’on est.
Tenter d’allumer un fantasme, en quelque sorte.
L’autre théorie que j’avais avancée, était que le succès, était dû au fait que les femmes devant assurer sur tous les plans, ce qui se traduit sociologiquement, par l’expression « charge mentale », le désir de laisser l’initiative aux hommes, une fois passé le seuil de la chambre à coucher, m’avait semblé assez cohérent.
Et oui, comme vous l’aurez remarqué, il existe effectivement, une sacrée nuances, entre revendiquer des pratiques SM, et simplement proposer à l’homme de prendre l’initiative, nuance, que certains hommes, semblent d’ailleurs, ne pas avoir encore saisie.
Mais venons-en au film.
Il s’agit dune jeune femme, vierge, de surcroit, qui fait la connaissance d’un bel homme, plus âgé qu’elle, et riche….
La description qui est faite du film, généralement, prétend, que l’objectif du film, tendrait à décrire, l’initiation du mentor sexuel, vis-à-vis de son élève, qu’il initie.
Pour commencer, je tiens juste à préciser, que le contexte qui est décrit, est détaché de toute probabilité.
Je ne prétends pas que ça n’existe pas…
Mais franchement, la fille qui gagne le SMIG, à ranger des boites de conserves, dans une superette de quartier, qui voit débouler un mec pété de thunes, qui l’emmène des le lendemain, à la ville la plus proche, dans son hélico personnel, qu’il conduit lui même bien sûr….Moi, perso, je n’ai pas trouvé ça excitant, mais comique, oui, certainement .
Nous en étions, là, à la version de Danny Boon, qui nous explique la collection Arlequin…
Car en vérité, ça n’est de plus que ça…..
Et oui, objectivement, il faut bien le reconnaitre, ça n’est rien de plus.
Car enfin, que recherche ton, quand on ouvre un livre, ou qu’on regarde un film ?
Certains ont envie de trouver des réponses aux questions qu’ils se posent, sur un thème abordé.
D’autres « une belle histoire ».
D’autres, que ça colle avec certaines formes de réalité sociétales, dignes de les faire ressortir, ensuite, en se disant, « tiens, oui, c’est vrai, j’aurai pas vu les choses comme ça ».
Un peu des trois, souvent, je crois, avec selon les goûts de chacun, plus certaines raisons que d’autres.
En ce qui me concerne, je place le cinéma si haut, dans mon estime, qu’il me faut bien reconnaitre que c’est la troisième raison, qui est la plus forte.
Inutile de vous alors, que « le film m’est bien vite tombé des mains ».
Mais au-delà du fait que je n’y ai pas trouvé mon compte, je vois d’autre part, par contre, une certaine toxicité, dans le film, puisque ce dernier tendrait à laisser croire, puisque le lien, entre coups et blessures, ou si vous préférez, le phénomène de violences conjugales, est avéré, qu’il existerait une voie, qui tendrait à laisser croire, qu’une femme battue, ne serait qu’une femme, qui serait adepte du SM, mais qui refuse de l’admettre, ou qui en tout cas, refuserait d’admettre, la théorie, sein laquelle, de recevoir des coups serait légitime, et acceptable, au sein d’un couple.
En somme, ce film, pour moi, est juste d’une certaine façon, fortement préjudiciable, parce qu’il tendrait à légitimer la violence conjugale, en laissant croire, que « sous certaines conditions », liées aux pratiques sexuelles, ça serait non seulement, acceptable, mais pourquoi pas, digne, d’ouvrir des portes insoupçonnées, vers le plaisir sexuel.
Et que l’on ne vienne pas me répondre, qu’avec son contrat, qu’il lui fait signer, ça devient recevable et légitime…
S’il suffisait d’être épanouie sexuellement, pour que tout roule, comme sur des roulettes, psychologiquement, ça se saurait.
L’équilibre psychologique au sein d’un couple, est une chose éminemment subtile, l’épanouissement sexuel, n’en est qu’une des facettes, et je persiste à prétendre que ce film, en banalisant les violences et la domination du « mentor sexuel », sur la jeune femme, dans l’esprit de certains jeunes, filles ou garçons, peut être toxique.
Il est possible que certains doutent, de ce que je prétends, là .
Et bien sachez pour information, que lors de cet internement psychiatrique, aussi, justement, il m’est arrivé aux oreilles, que certaines femmes, et pas uniquement des jeunes filles, se retrouvaient embarquées, dans des histoires soit disant SM, alors, que pour moi, la définition même du SM, ne peut être autre, que librement consentie, et entre personnes, qui se connaissent suffisamment, pour y prétendre, certaines, donc, se retrouvent au comissariat, pour viols, ou coups et blessure, voir, internement psy, au seul prétexte, qu’elle sont parties d’à prioris, parfaitement tronqués, sur les pratiques SM.
Alors, je le dis, et je dis, de nouveau, le corps que nous avons, est un bien précieux, qu’on ne doit pas prêter à n’importe qui, et surtout à un connards, qui n’a pour seul ambition, de vous considérer que comme un jouet sexuel, destiné à assouvir, ses frustrations perverses, dans sa sexualité à lui.
Institut pour le cerveau et la moelle épinière.
Le 24/11/2017
Je vous recommande d'aller jeter un eil, sur leurs videos, qui sont fort bien faites.
Le viellissement de la population, combiné aux conséquences de differents facteurs, comme la pollution atmosphérique, "ou pas", le consumérisme, l'invasion des ecrans, les addictions, qui sont une conséquence en premier lieu, d'un véritable mal être intérieur, nous oblige à considèrer que mieux nous connaitrons notre cerveau, et son incroyable plasticité, plus nous seront à même d'aider les patients, à se soigner par eux même, de façon naturelle, à chaque fois que ça sera possible, pour peu qu'eux même acceptent l'idée qu'ils puissent, au moins en partie, être leur propre thérapeute.
Je leur ai envoyé un message, pour proposer mon aide, en temps que "patiente experte".
Le problème de l'Islam, aujourd'hui, en 2017.
Le 19/11/2017
J'expliquais dernièrement, dans une video, que j'ecrivais un livre, sur la spiritualité, ou plus precisement, sur un approche philosophique, du fait religieux.
J'expliquais, qu'aujourd'hui, certains musulmans remettent en cause bon nombre des versets, qui sont écrits dans le Coran, et passent par les reseaux sociaux, pour m'envoyer leurs remarques, me donner certaines explications, pour que je sois leur porte voie, mais aussi, pour que je commente, ou que ça alimente ma reflexion, dans l'ecriture de mon livre.
Avant hier, donc, on vint me poser ce txte, sur FB.
Il est deja arrivé, qu'on m'explique, ce qui est vrai, que le plus gros probleme de l'Islam, aujourd'hui, reside dans le fait qu'il ne parle pas d'une seule voix? mais qu'au contraire, chaque imama, fasse sa sauce, et donc, "pêche", pour defendre les idées, qui l'intéresse, lui, au détriment d'un discours qui dans l'interêt de tous, devrait plutôt montrer une forme de coegherence générale.
Alors certins me diront "mais enfin, un prêtre dans sa paroisse, il en est tout autant"...
Et bien non, justement.
C'est vrai, pour le prêche, oui, il n'est pas question, d'interdire au prêtre, qu'il impregne de ses idées, sont intervention, pendant le culte.
Mais...
Les textes lus chaque dimanche matin, pendant les messes, sont les mêmes lus, où sont dites les messes.
Et c'est uniquement, le commentaire qui en est fait, qui permet au prêtre, de le developper ou de le commenter, comme bon lui semble.
Il est deja arrivé que je recomande de regarder, le dimanche matin, les émissions religieuses...
Il ne faut pas se contenter de ne regarder que celle qui concernent le culte qui est le vôtre, mais au contraire de regarder, au moins en partie, ou episodiquement, les émissions des autres cultes, y compris, ça va sans dire, celle qui est consacrée à l'Islam, pour diverses raisons.
D'une part, ça permet d'observer de façon absolument criante, les énormes simillitudes, qui existent d'un culte à un autre.
Mais ça permet aussi, d'observer, dans chaque culte, en quoi, pourquoi, et comment, le culte en question entre en raisonnance, et de quelle façon, avec l'actualité.
Un exemple.
Dans l'émission qui est consacrée à l'Islam, je me souviens a voir vu qu'il était expliqué, que les prières devaient être adaptées, au pauses observées, selon le travail...
Et pas l'inverse.
Je veux dire par là, que ce sont les moments de prières qui doivent s'adapter aux lois relatives au travail, et pas l'inverse.
Et si j'explique celà, ce matin, c'est pour repondre justement, au post, qu'on m'a posé, sur FB, avant, hier, et que vous livre.
Je cite:
▬ Lu pour vous ▬
Kamel Daoud (je me suis permise d'aérer le texte, pour une lecture plus confortable).
Jeudi 23 nov 2017.
Je viens de revoir occasionnellement, à l'instant, une émission de Thé ou Café, consacrée à Jeannette Bougrab.
J'avais été particulièrement choquée, après l'attentat de Charlie Hebdo, de voir la façon dont elle avait été lynchée, et qu'on remettait en cause sa relation avec Charb'.
Moi, qui suis une fervente défenseuse de le moindre notion de fidélité, que ce soit dans le couple, ou que ce soit de façon plus large, j'avais observé ce problème aussi, à la mort de Coluche, ou la "légitime", qui avait été mariée au defunt revenait sur le devant de la scène, comme la seule femme digne d'être mise en avant, au seul et unique prétexte, qu'un jour, l'homme en question l'avait épousée...
Ca n'est pas la première, helas, ni la dernière, qui se trouvera broyée, au seul pretexte que l'homme en question, a une vie sentimentale, relativement complexe, et que ce soit la femme, qui se touve rangée au placard de la médisance bien pensante.
"Fermons la parenthèse".
Certains la détestent.
Bon, fort bien, raison de plus pour que je m'y attache, alors, j'admire son incroyable courage, et s'il s'en trouve que ça dérange, qu'ils prennent bien conscience que je les emmerde.
Mais au delà, de ces considérations, à la boutin version islamique, je précise que sa position, au sujet du voile, n'est pas exactement la mienne, même si je la respecte.
Je prétends, qu'une jeune femme qui persiste à porter le voile, ici, en France, ne doit le faire que si c'est son choix, et que nous n'avons pas l'entraver, la manipuler, ou la stigmatiser, pour l'instrumentaliser politiquement.
Je veux dire que la base même du féminisme, consiste justement, à leur laisser le choix d'en décider.
Mais les propos qu'elle tient, sur les jeunes femmes qui sont tentées par le fondamentalisme islamique, est parfaitement opportun, et courageux, quand elle parle de pures inventions, quand on parle d'un retour à un islam, qui serait "pur".
Si l'on observe la métaphore avec le végétal, je rappelle que certaines maladies de certaines plantes, s'en prennent aux racines, elles même, et que si les racines, sont gâtées, ou pourries, la partie qui en poussera, ne pourra être viable.
D'autre part, j'ai regardé un reportage passionnant, sur ARTE au sujet des Républiques banannières, en Amérique centrale. j'y reviendrai, dans un autre article.
La théorie que je développe sur la monoculture, qui est toxique, quand à la faune et la flore, Y COMPRIS QUAND C'EST EN BIO...; Trouve aussi, une correspondance parfaitement judicieuse, si on l'applique, à la multiplicité des cultures, dans un même pays, comme l'est la multiplicité des cultures, dans la nature, vraie, ce qu'on appelle la BIODIVERSITE a donc, ainsi, une véritable correspondance, avec le CULTODIVERSITE. (c'est nouveau, ça vient de sortir).
A quel âge peut-on consentir à un acte sexuel ?
Le 16/11/2017
http://www.francetvinfo.fr/choix/a-quel-age-peut-on-consentir-a-un-acte-sexuel-un-fait-divers-impliquant-une-fillette-de-11-ans-rouvre-le-debat_2467732.htmlencer, je dois expliquer ma position, depuis toutes ces années, face ce problème, parce qu’il est possible, que je n’ai pas été bien comprise.
Il s’agissait, depuis quelques années, d’aborder ce sujet, face à des faits divers, qui mettaient en accusation, souvent des professeurs, face à des élèves, qui se voyaient accusés de pédophilie, au seul prétexte de l’âge de l’un d’eux, et sans jamais tenir compte, du fait, que c’était avant tout, d’Amour, dont il était question.
Je ne suis pas en train d’encourager ce type de comportement, je dis juste que le sentiment véritablement amoureux, entre un adulte, et un ou une adolescente, peut effectivement se produire, et ça n’est certes pas notre couple présidentiel, qui risque de mettre ma parole en doute.
Un des aspects, qui doit attirer, la plus grande attention, que ce soit dans le milieu des avocats, ou dans l’entourage, réside, dans le fait, qu’il peut parfaitement se produire, que des parents, se disent les mieux intentionnés du monde, en qualifiant de viol, par le dépôt de plainte, sur l’acte commis, ALORS QUE LA VICTIME ELLE N’A PAS CE SENTIMENT et donc, PAS CE DESIR, rendant ainsi, traumatique, un acte sexuel, qui ne l’aurait pas été.
Voilà, le danger.
Là, le moins que l’on puisse dire c’est qu’on est bien loin, de ce genre de situation, puisque c’est la victime, qui est plaignante.
"A 11 ans, on n'est pas consentante." Devant le ministère de la Justice à Paris, mardi 14 novembre, plusieurs organisations féministes dénoncent de récentes décisions de justice dans des affaires concernant des mineures. Début novembre, notamment, la cour d'assises de Melun (Seine-et-Marne) a acquitté un homme accusé du viol d'une fillette de 11 ans, des faits remontant à il y a huit ans. L'affaire a suscité un vif émoi dans l'opinion et relancé le débat sur le consentement sexuel des mineurs : faut-il fixer un seuil, un âge en dessous duquel une victime ne pourra jamais être considérée comme consentante ?
Dans cette affaire, tout débute au mois d'août 2009. L'enfant se trouve en vacances chez son oncle. Elle joue au ballon et fait du vélo en compagnie d'autres enfants, dans la cour intérieure d'un immeuble de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Sa cousine et une amie viennent l'informer qu'un "grand" veut lui parler. Ce jeune homme âgé de 22 ans se trouve également en villégiature dans le lotissement, chez un proche, mais ne lui a jamais adressé la parole auparavant. "Ils discutent de tout et de rien", raconte Laure Habeneck, avocate de cette jeune fille qui est aujourd'hui âgée de 20 ans. L'homme lui demande où il peut trouver un parc dans les alentours.
La plaignante assure avoir bien informé son interlocuteur de son âge, 11 ans. L'homme affirme qu'elle lui a dit 15 ou 16 ans. La fillette "fait" pourtant bien son âge, affirment par la suite des éducateurs, selon Laure Habeneck. Les deux protagonistes discutent de tout et de rien, tout en se dirigeant vers le parc voisin. "Il la suit, car elle connaît mieux Champs-sur-Marne que lui", raconte Samir Mbarki, avocat de l'homme. "Jusqu'à l'entrée, tout va bien. Ma cliente n'a jamais prétendu qu'il l'avait traînée de force, poursuit Laure Habeneck. Mais d'un seul coup, il s'empare d'elle et tout bascule."
Consentante à 11 ans ?
C'est à partir de là que les versions divergent. La plaignante dit avoir été maintenue, déshabillée et pénétrée. "Elle ne lui dit non à aucun moment, ça se fait naturellement", répond Samir Mbarki.
Et oui c’est bien là, que réside le problème « NATURELLEMENT ? COMME UN ANIMAL EN RUT QUI CONVOITE UNE FEMELLE ET QUI LA PREND,
Ha, ça, pour se faire, NUTURELLEMENT, c’est naturel, c’est sûr.
C’est caractéristique, du viol, par essence, justement, aucun affect, aucun discernement, on dispose du corps de la femme, ou de l’enfant, comme si c’eût été un morceau de viande…
Juste dégueulasse.
"C'est parole contre parole", ajoute-t-il, en pointant l'absence de certificat médical, d'ITT (Incapacité totale de travail) ou de témoins.
Et oui, bien sûr, à 11 ans, effectivement, quand on subit ce genre de chose le cops, lui commence à se transformer, mais mentalement on est encore un enfant.
Ce qui est incroyable, c’est que cette notion de « sidération », que putain de bordel de merde, il va falloir arriver à tatouer, sur le front de tous les humains, ma parole, n’ait encore et toujours, une fois de plus, absolument pas pris en compte !
Alors, on va rappeler de quoi, il s’agit.
Le phénomène de sidération, réside dans le fait, que le sentiment de peur paralyse entièrement, le corps de telle sorte qu’on est incapable de réagir, de hurler, ou d’appeler au secours.
Voir l’exemple que j’ai bien dû raconter environ 20 fais, depuis des années et des années, en divers endroits de mes sites internet, l’exemple de la souris et du chat que j’avais observés, dans mon jardin, il y une vingtaine d’années.
Mais Laure Habeneck est convaincue du caractère contraint de l'acte sexuel. Elle voit mal sa cliente, de nature timide et réservée, tomber dans un tel scénario avec un inconnu. "L'expert-psychologue explique que c'est quelqu'un qui n'exprime pas ses sentiments, jamais." Un enfant issu de ce rapport sexuel est né l'année suivante, en 2010, avant d'être placé. La famille a pris connaissance des faits lors de la grossesse de la jeune fille, selon Le Parisien.
Au moment d'évoquer son histoire, lors de l'audience à Melun, lundi 6 et mardi 7 novembre, la plaignante est en pleurs. Laure Habeneck évoque une jeune femme "très courageuse et digne" : "La défense a décrit la scène comme une initiative d'un rapport sexuel – le premier de sa vie, dans un parc avec un inconnu !". L'avocat général requiert huit ans de prison et un suivi socio-judiciaire, mais l'homme est finalement acquitté des accusations de viol. Citée par l'AFP, la procureure de Meaux explique que les jurés ont considéré que les éléments constitutifs du viol, "la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n'étaient pas établis".
Je regrette , mais pour moi, c’est bien de viol, dont il est question, puisque cet enfant a bel et bien été « prise », par surprise, il y a de toute évidence, abus de pouvoir d’un homme qui se considère comme légitime, AU SEUL PRETEXTE qu’il a un ascendant en âge, et physiquement, pour moi, c’est un viol, et certainement pas une simple agression sexuelle.
"Comment ça se fait que des gens potentiellement parents puissent prendre des décisions comme celle-ci ?", s'interroge la mère de l'accusée, citée par l'avocate. Pourquoi la Cour n'a-t-elle pas retenue la "contrainte morale" ? Depuis 2010, l'article 222-22-1 du Code pénal prévoit que cette contrainte "peut résulter de la différence d'âge" entre une victime mineure et son agresseur. Agée de 11 ans lors des faits, la fillette était-elle seulement en mesure de consentir à un acte sexuel ? "Ma réponse est non", tranche son avocate.
Il n'y a aucun doute possible. C'était une enfant à l'époque. Elle ne s'intéressait pas aux garçons.
Laure Habeneck, avocate de la plaignante
à franceinfo
Mais le texte de 2010 sur la contrainte morale donne une "simple possibilité de définition", nuance Audrey Darsonville, professeure de droit pénal : "C'est une indication". La différence d'âge, seule, n'est aujourd'hui pas suffisante pour qualifier la contrainte. En revanche, la juriste estime que le juge aurait, dans cette affaire, pu et dû retenir le critère de surprise. "Une fillette de 11 ans n’a pas besoin de hurler pour que le viol s’applique, explique-t-elle. On peut considérer que l’état de sidération – qui est un état de tétanie – empêche le consentement."
12, 13, 14, 15 ans... Quelle limite ?
Pour éviter des cas comme celui-ci, de nombreuses associations proposent de fixer dans la loi un âge en deça duquel l'agression sexuelle (ou le viol, en cas de pénétration) serait établie de facto : tout acte sexuel entre un adulte et un mineur en-dessous de ce seuil serait qualifié de viol. "Cette question se pose car la loi est mal appliquée, estime Audrey Darsonville. C’est peut-être aujourd’hui le seul moyen qu’on a de protéger les mineurs." "L'avantage, c'est que l'avocat général n'aurait plus à apporter la preuve d'un défaut de consentement", poursuit Laure Habeneck. L'idée fait aujourd'hui l'objet de plusieurs pétitions et de quatre projets de loi, selon un décompte du Monde. La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s'est engagée "sur une loi autour du printemps", au micro de CNews.
Reste à définir ce fameux seuil. Le Haut Conseil à l'égalité propose 13 ans. Audrey Darsonville rappelle qu'un mineur peut être incarcéré à partir de cet âge, en droit pénal des mineurs. "Si l’on considère qu’un mineur de 13 ans est assez mûr pour être incarcéré, on peut considérer aussi qu’il a la maturité suffisante pour accorder son consentement aux relations sexuelles." C'est aussi l'âge statistique de la puberté, précise le psychiatre Roland Coutanceau, coauteur de Victimes et auteurs de violence sexuelle (éd. Dunod) : "L’imaginaire sexuel est révolutionné par la puberté. Une fille ou un garçon prépubère ne cherchent pas dans la sensualité la même chose qu’un(e) pubère."
Mais "la révolution pubertaire" n'est pas suffisante pour "donner un consentement pour une sexualité adulte". Le médecin rappelle que tous les adolescents ne développent pas la même maturité au même âge. "Au-delà du symbole de l'âge, qui permet de donner un message dans le champ social, rien ne remplace l'étude au cas par cas. Il faut encore étudier in concreto chaque histoire, pour comprendre ce qui s'est passé entre les deux protagonistes." D'autres propositions françaises évoquent un seuil à 15 ans. L'Espagne, l'Allemagne et le Royaume-Uni et l'Allemagne ont respectivement adopté des barrières à 12, 14 et 16 ans.
Une requalification en "atteinte sexuelle" possible
On veut faire croire que la cour d'assises a légalisé la pédophilie en France, mais personne ne veut comprendre ! C’est horrible ce que la plaignante a subi, mais cela s’appelle une atteinte sexuelle sur mineure de moins de 15 ans et pas un viol.
Samir Mbarki, avocat de l'accusé
à franceinfo
Récemment, le tribunal de Pontoise (Val-d'Oise) a ainsi acquitté un homme, accusé de viol, dans un dossier similaire, tout en le poursuivant pour atteinte sexuelle. Cette qualification, toutefois, n'a pas été évoquée dans l'affaire de Champs-sur-Marne. Sollicité par franceinfo à ce sujet, le parquet n'a pour l'heure pas donné suite. Un tel délit aurait peut-être pu permettre de condamner l'accusé, mais pour Audrey Darsonville, toutefois, ce terme reste un pis-aller dans ce genre d'affaires. "C'est très injuste pour les victimes car l'atteinte sexuelle postule qu'elles étaient consentantes", analyse-t-elle.
Contrairement au viol, l'atteinte sexuelle n'est pas un crime, jugé aux assises, mais un délit, puni de cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende, étudiée au tribunal correctionnel. Quand elle n'est pas utilisée à bon escient, il s'agirait donc d'une sous-qualification. "Les juges sont parfois réticents à envoyer des mineurs devant la cour d’assises [pour un crime, le viol], par crainte que leur parole ne soit pas suffisamment entendue par les jurés", explique Audrey Darsonville.
Dans cette affaire, la plaignante "a dû faire preuve d'énormément de courage pour venir à la barre", estime son avocate. Après avoir fait "le deuil de son enfance" en 2009, elle a vécu l'acquittement "comme un deuxième traumatisme", selon les mots de Laure Habenec. Aujourd'hui étudiante, la jeune femme âgée de 20 ans ne souhaite pas s'exprimer. Un nouveau procès doit avoir lieu, car l'avocat général a fait appel du jugement controversé.
Il y a un autre traumatisme, qui n’est pas abordé, c’est que cette jeune femme, elle, a placé son bébé, chose que je peux comprendre.
Le simple fait, que précisément, elle n’ait pas désiré soit le garder, soit manifester un intérêt positif, pour cet enfant, en dit pourtant long sur le sujet.
En effet, dans l’hypothèse, où il n’y ait pas eu viol, il eût été plus facilement envisageable, même si elle l’aurait placé, qu’elle garde un lien, avec cet enfant, non ?
Il importe effectivement, d’aller en appel, et de légiférer sur le sujet, parce que ce verdict, s’il ne change pas, ferait rigoler, bien des pédophiles, qui pour peu que leurs proies potentielles, commencent simplement, à manifester, des signes de puberté, ou à porter le moindre vêtement qui tendraient à montrer un signe de féminité, feraient d’elles, des proies potentielles, avec la bénédiction de la Justice…
En gros, aux yeux des pédophiles, le message serait le suivant :
« Bon, ben, ok, y’a plus qu’à se servir, alors ».
Voilà, la lecture qu’ils en font, EUX !
Sinon, la question à cent balles, il en pense quoi, lui, le coupable, du fait, que sa descendance, soit pris en charge par la DASS ?
Roman Polanski, "impunité, ou pas" ?
Le 02/11/2017
Un article refait l'historique des faits qui lui sont reprochés, depuis que ce monsieur, a considéré que le milieu du cinéma, était l'occasion de consommer de la chaire fraiche, parce que "intellectuellement, il pouvait se le permettre"....
A ceux qui attendent de voir ce que j'en dis, mais surtout, qui s'etonnent de voir, que je n'en ai pas encore parlé, je répondrai simplement, que ça n'est pas par négligeance, mais uniquement, parce que ces histoires de harcelements, de viols, et d'humiliations, que subissent la majorité des femmes, partout dans le monde, chaque jour qui passe avec des nouveaux faits, reactions, et révélations, sur des prises de position, demontrent à quel point c'est extrêmement complexe, et qu'il importe que je veille à ne pas vouloir montrer les différents éclairages, dans la même vidéo, puisque ces derniers temps, c'est par video, souvent, que je travaille.
Cet article présente l'aventage de démonter la chronologie.
La raison, pour laquelle cette chronologie est importante, parce qu'elle doit mettre en evidence, le fait que les faits qui lui sont reprochés, correspondent à une époque, ou la liberation sexuelle, avait poussé certains à considérer que la pedophilie, n'aurait pas été sigrave, et dommageable, pour l'enfant.
On sait, aujourd'hui, qu'il n'en est rien, et au contraire, que c'est là, un crime veritable, qui detruit, la vie de l'enfant violé, à tout jamais.
Maintenant, il y a d'autres eclairages, qu'il me semble judicieux, de montrer.
Je suis particulièrement choquée, pour la part, par le fait, que nulle part, jamais, je n'ai entendu Roman Planski, emettre le moindre regret, sur cette periode de sa vie.
Parce qu'il est bien là, en vérité, le souci, aujourd'hui, ce ne sont pas les faits, qu'il ait commis, qui lui sont reprochés, enfin, je ne pense pas, puisque le passé est le passé, et que les victimes elles, portent ce fardeau, pour leurs vies entières.
Non, la vrai malaise, réside dans le fait que pour lui, c'est avant tout, une histoire d'avocats, d'ailleurs, dans l'article, il est bien précisé, que ça n'est pas lui, qui attaque aux USA, pour se défendre, mais bien "ses avocats", comme si lui, etait dans sa bulle, artitiquement, à l'abri de toute attaque, psychologiquement.
En gros,c'est que du business, tout ça, n'est ce pas ?
La souffrance générée, ma Foi, je crois qu'il s'en tape, mais alors, complètement.
Maintenant, un autre problème se pose, et il est de taille....
Le fait d'observer des crimes commis, et des jugements rendus, et appliqués, quand il s'agit du milieu artitique, fait observer, qu'il se pose, un veritable cas de conscience, ensuite, qui réside dans le fait, qu'artistiquement, une fois la peine prononcée et exécutée, s'il est "entendable", au sens comprendre, que certains se trouvent choqués, par le fait de voir son travail promu... Je considère, comme particulièrement choquant, de refuser à l'artiste en question, une fois la peine executée, qu'il ne s'en trouve pas blanchi, comme doit bénéficier n'importe quel condamné, quelque soit le crime commis, et la peine en question.
Je pense à Canta...
D'accord, sur le fait, que le fait d'être artiste et riche, célèbre, ne doit surtout pas avoir pour conséquence, qu'ils soient au dessus des lois...Pour moi, c'est une évidence....
Mais à l'inverse, une fois le crime payé, par le jugement rendu, et la peine executée, quelque soit la décision de Justice, je trouve incohérent, de ne pas accorder la seconde chance, au coupable en question.
Pour polanski, le problème ne se pose pas sous cet angle, puisque certaines affaires sont en cours....
J'ai le sentiment, our tout dire, d'être vraiment manipulée, pour le coup, parce que moi, qui lit peu, justement, le film dont il est le realisateur, bizarrement, est l'un des rares que j'ai lu, ces derniers temps, et que j'ai beaucoup apprecié, de Delphine de Vigan, "d'apres une histoire vraie".
Je vous recommande chaleureusement le livre, d'ailleurs.
Le problème réside donc, dans le fait que l'on reproche à la cinémathèque d'avoir organisé, cette rétrospective, à cause de ces accusations.
Je suis d'accord avec cette posture, mais je m'en explique.
C'est au prétexte que des accusations, sont encore en cours, que je la justifie, et pas vis à vis des faits qui ont été jugés.
Apres tout, chacun est libre individuellement, de juger, en son âme et conscience, de boïcoter polanski, dans tout ce qu'il fait, non ?
Mais de là, à mettre en avant l'oeuvre d'un homme, qui n'est même pas foutu d'emettre le moindre regret, sur cette periode trouble de son existence, voilà, ce qui moi, me pose veritablement problème.
Et puis merde, enfin, il trouve le pognon, sans le moindre problème, pour exister artitiquement, et faire ses films, mais visiblement, il est trop con, et trop arrogant, pour dire, "j'ai vraiment deconné, alors, j'utilise mon pognon, pour proposer une arrangement amiable, à chacune de mes victmes, dont j'ai ruiné la vie et la carrière?" non mais c'est quoi, ce délire ?
Même DSK, a lui, au moins, eu cette présence d'esprit, que de proposer un arrangement amiable, pour parvenir à avoir la paix, et ne plus être entravé, enfin, le moins possible.
Alors, quoi, polanslki, est aussi con, qu'il est PETIT, c'est ça, son problème ?
Ha, ça, c'est sûr, pour être "petit", il est "petit".
Vendredi 6 octobre 2017 Questions sur le métier d'avocat.
Le 23/10/2017
Je précise que j'avais écouté cette emission, mais que partiellement parce que j'étais en voiture, je la réécoute.