Pour la reconstrution de Notre dame, personnellement, je trouverai assez toxique, philosophiquement, de tenir absolument, au fait, de chercher absolument, à reconstruire, à l'indentique.
Je ne suis pas necessairement adepte, d'aventage, du grand chambardement, sur le sujet.
s'il es un point, sur lequel, par contre, il me semblerait bienvu, de faire preuve d'ouverture d'esprit, c'est bien sur le charpente.
Que des chênes, "normands", aient été decretés, Soit, je trouve l'idée geniale...
Mais qu'on les laisse en paix, le serait bien plus encore, si l'on observe que ces arbres, sont bien là où ils sont, VIVANTS, et que d'autre part, on dispose aujourd'hui, de matériaux aussi solides, et non inflammables, plus solides, même, peut être ? Qui pourraient parfaitement remplir ce rôle, comme ce fût le cas, pour d'autres cathédrales qui ont brûlé, et dont la charpente à été reconstruite, en métal.
Moi, qui comme l savent certains, me mefie comme de la peste, des referendums, voilà, bien un sujet, par contre, sur lequel, ça serait plutot bienvenu, non ?
Non pas uniquement, sur le materiau à retenir, pour la charpente uniquement, mais sur les choix decisifs, qui devront être pris, sur ce sujet.
Je me pose, aussi, certaines questions, reltivement, aux gargoilles, monstrueuses, qui ornent la cathedrale, et qui m'ont toujours interpellée...
Je n'ai aucun desir prticulier, d'y voir, uniquement, des bisounours, entendons nous bien.
On sait, d'autre, sauf erreur de ma part, que ces gargouilles, ne sont pas visibles, d'en bas... ces figures monstrueuses, sont vehiclées, alors, uniquement, par les recits, et les images, qui les evoquent comme dans notre dame de paris, de Victor Hugo... Entre autre.
Je ne suis jamais rentrée dans Notre dame, (comme beaucoup, ce qui ne nous empêche pas d'y être attachée), aussi, je ne connais pas suffisamment notre cathédrale parissienne, pour en parler,d e façon suffisemment pointue.
Cependant, ça ne m'empêche pas d'imaginer que ces figures monstrueuses, n'aient été choisies, dans le style, que conformément, à une image, d'un Dieu, "père fouettard", évoquant, les flammessde l'enfer, et je n'ai aucun doute sur le fait, que les croyants d'aujourd'hui, enfin, j'ose l'espérer, n'éprouvent aucune nécessité de subir des images, aussi castratrices, et aussi moribondes, de la chrétienté.
Et si certains "cathos tradi", viennent venir nous donner des leçons, je les enverrai sans le moindre scrupule, aller chercher des infos, à l'éveché de Versailles, où il semble bien que certains problèmes, demeurent encore en attente d'éclaircissements. Je parle de pédophilie... Et oui... MOI AUSSI, J'AI MES RESEAUX !
Pour commencer, Macron a parfaitement raison, sur le fait qu’on ne peut transiger, sur la liberté d’expression, que ce soit ici, sur le sol français, en ce qui concerne la diaspora iranienne, ou que ce soit en Iran….
Au sujet de la posture, de la France, vis-à-vis de ces manifestations, et de l’influence de cette diaspora, je rappelle que sur plusieurs médias, ces jours derniers, dont Europe 1, hier matin, et ça avait été fait, aussi, la veille, il me semble, ont resitué la photo dans son vrai contexte, à savoir qu’elle avait été prise plusieurs jours avant les manifestations, et qu’il était important, de le rappeler.
Maintenant, je tiens juste à rappeler, à monsieur Rohani, que si certains iraniens, ont déserté leur pays, depuis plusieurs décennies, ça n’est pas un hasard, et que s’ils l’ont fait, c’était pour trouver ailleurs, ce qu’ils ne trouvaient pas chez eux.
Revendiquer le fait de ne pas porter le vole, ne signifie pas que l’on souhaite nécessairement tourner le dos à sa culture, dont la religion, n’est que la racine ancestrale, ça signifie simplement que cette culture et accessoirement, si l’on est croyant, sa religion, ne doit pas être un obstacle, au développement personnel, qui permet de s’épanouir, au sein d’une nation.
Si cette diaspora, aujourd’hui, comme c’est toujours le cas, de quelque diaspora qui suit une vague migratoire, revendique plus ou moins ouvertement une quelconque influence, dans ces manifestations, ce qui, soit dit en passant, reste à démontrer, il serait plus judicieux, d’observer cet éventuelle influence, si elle est réelle, comme une opportunité à saisir, et ce ci, pour deux raisons.
La première, réside dans le fait, qu’elle démontre un attachement véritable, à leurs origines.
En sommes, si vous regrettez, qu’ils aient cette influence tâchez de faire le nécessaire, pour qu’ils n’aient plus envie de fuir, votre ays, en respectant les droits de l’homme.
Pour n’importe qui, immigrer, pour ds raisons, purement économiques, ou environnementales, est toujours un déchirement, et une plie profonde, n’importe quel émigré, qu’il s’en soit sorti, ou mal sorti, au fil des décennies, vous le confirmera.
C’est clair, que ceux, qui pourrissent aujourd’hui, au fond de la mer méditerranée, ceux là, ne sont plus dans la souffrance, eux, mais ils y ont cru, et c’est parce qu’ils ont refusé de mourir, justement, qu’ils y ont laissé leur peau.
Ce que je trouve vraiment regrettable, c’est d’observer que l’influence de cette diaspora, soit observée par vous, comme une menace, alors, qu’au contraire, elle devrait être observée, comme une véritable opportunité, au contraire…
Puisque par définition, la diaspora, représentant, la génération, qui est ou qui suit la vague migratoire, ne cherche pas uniquement, à m’immiscer politiquement, ce qui est légitime, mais aussi, à investir, en monnaie sonnante et trébuchante, pour ainsi, insuffler, une énergie nouvelle sur le plan économique….
J’entends bien, qu’un gouvernement, ait du mal à accepter, d’avoir le sentiment d’une certaine façon, de manipulation, vis-à-vis de ces manifestations, et de façon générale, vis-à-vis des diasporas, quelque soit l’endroit, dans le monde, comme on peut m’observer, au USA, avec la diaspora israélienne, et le gouvernement de Netanyaou, je ne trouve pas ça, « honnête »….
Mais entre « accepter de se faire dicter la loi » par cette diaspora », et « entendre ce que dit cette volonté d’influence », je pense qu’il existe certaines nuances, qu’il me semblerait légitime, d’observer avec plus de discernement, et de subtilités….
Quand je parle d’investir, dans l’économie iranienne, je ne suis pas dans la fantasme, là, je suis dans la réalité, vraie…
Quand on observe une vague migratoire, cette diaspora, où que ce soit, dans le monde, on observe, que cette diaspora, ensuite, les générations, qui suivent, souhaite aider leur pays d’origine, pour entre autres, aider à cicatriser leurs blessures, liées à l’immigration, qu’ils ont subie, pour aider au développement du pays concerné, TOUTES LES DIASPORAS FONT CA, et c’est une s chose salutaire, et bienfaisante, qu’il faut saluer et observer, comme une bénédiction, et surtout pas comme une menace.
Une réponse qui pourrait être faite, là, des maintenant, au manifestants, serait des mesures réelles, contre la corruption.
Moi, perso, j'aimerai bien deja, à 56 ans, qu'on m'autorise à les quitter....
Mais enfin, ça finira bien par arriver à un moment, ou un autre.
On se pose toujours la question, à un moment ou un autre, pas necessairement en période de crise, je précise, mais juste quelquefois, quand un évènement survient, une naissance, un décès, ou quoi que ce soit qui survient, et d'un seul, on se souvient.
Alors, vous en aurez toujours pour vous dire gentiment, "et bien t'avais qu'à ne pas les laisser, becasse"....
Certes...
C'est présisément, par l'éloignement, justement, que l'on pend conscience de l'attachement que l'on a à ses racines, et la conscience véritable de cet attachement, ne peut se faire à aucun autre prix, ne serait ce que pour quelques semaines de vacances.
Une autre raison demeure, qui réside dans le fait que familialement, des liens se défont, ou des traumatismes vous font fuir, alors, pour vous protéger, l'éloignement aide à panser les plaies.
C'est une stratégie qui peut aider, effectivement, mais il serait déraisonnable, de pêcher par naïveté sur ce point, car les traumatismes de l'enfance, sont ancrés en nous, et quelque soit l'endroit du monde où l'on habite, ces terribles valises, toujours vous poursuivront.
L'idéal, en pareil cas, ors contraintes proffesionnelles, je veux dire, c'est de ne s'éloigner que de quelques dizaines de kilomètres, et ne pas hésiter à faire appel à un psy.
Camille avait fait une chanson sur ce thème, dans son premier opus, "le sac des filles"....
Pour l'heure ce matin, c'est Rosemary Stanley, qui visiblement a fait des petits pieds, l'année dernière, elle aussi, une des Françoises, qui est retournée sur ses racines, à Lanmeur où visiblement, elle n'a pas eu la chance de croiser, le curé de là bas, qui revenait de sa baignade !
Cette video, remonte à plusieurs années, deja, mais plante bien le decor, d'une certaine façon, puisque qu'elle decrit le fonctionnement, exact, de l'association, et demontre comment, l'education des filles, parce qu'elle sont dans les faits, souvent, de futures mères, detiennet effectivement, un réel potentiel, economique, pour influer, le devenir économique, et donc, de developpement, d'un pays.
Prêtez bien attention, aux chiffres qui sont énoncés, notamment, par Michel Drucker.
Pour ce qui me concerne, je travaille depuis pas mal de temps, deja, à l'écriture d'un livre, qui traite de la famille, au sens large.
J'y compile mes articles sur le sujet, selon les problèmatiques que l'on m'a soumis depuis plusieurs années, et notamment, tout ce qui concerne, le manque d'enfant, donc, la stérilité, notamment, entre autre, l'adoption, et en quoi le phénomène de parrainnage, peut dans certains cas, proposer une forme d'alternative, à un manque d'enfant.
Je ne prétends pas que ce soit, l'alternative absolue, mais uniquement qu'il peut se produire, que ça le soit.
Il n'est pas question, pour moi, de vous livrer l'ensemble de mon travail, sur le sujet, ici, mais je vais juste poser, ce que j'ai rédigé, sur le parrainnage, qui est la solution, la plus souhaittable, pour tout le monde, pour soutenir une ONG, comme l'explique,Tina Kieffer, dans la vidéo.
EXTRAIT:
Pourquoi avoir recours au parrainage ?
J'ai l'intime conviction, que le parrainage par ses différentes formules, propose des opportunité, de remettre du lien, entre les êtres, de la façon la plus ajustée, que chaque cas le nécessite.
Il est tout à fait probable que certains ne discernent pas vraiment en quoi, et pourquoi, je tiens à en développer les différentes formules…
Alors, je m'en explique.
Le souci, est le suivant.
D'un côté, des gens qui ont la chance, d'avoir un niveau de vie suffisamment décent, pour avoir la prétention de parrainer, sans pour autant, je le précise, qu'il soit nécessaire, qu'ils fassent partie des classes particulièrement privilégiées, socialement ou financièrement.
De l'autre, des villages entiers, des familles entières, des fratries, ou des enfants seuls, qui ont besoin, soit, d'un soutien uniquement financier, pour poursuivre leurs études, soit d'un soutien financier, pour jouir d'assez de dignité, pour ne pas mourir de faim et aller à l'école, soit des familles entières, qui sont dans une vraie détresse, totale et absolue, soit leur village, entièrement dévasté….Par un cyclone, par exemple.
L'écueil à éviter absolument, consiste dans le fait que le parrain et celui qui en bénéficie, ne soit pollué par le côté toxique des différences de classe.
Il faut qu'ils ne jouissent que du côté merveilleusement positif du parrainage, tout en évitant, le côté toxique, qui lui, a toutes les chances de se produire, si le parrain, fait partie des classes les plus privilégiées, et que certaines conditions ne sont pas remplies.
Vous doutez ? Et bien écoutez ceci.
J'ai parrainé un enfant, au Nicaragua, il y a quelques années.
J'ai dû stopper, hélas, parce que sous tutelle, je ne pouvais continuer.
C'était par l'association PLAN, que je vous recommande chaleureusement.
Ce sont eux, qui m'avaient expliqué, ce "travers", effectivement regrettable.
Une française, parrainant, à l'époque, un enfant, dans un pays "en voie de développement", parce que les adresses véritables, avaient été échangées, avait été contactée par la famille de l'enfant, et sollicitée plus que de raison, pour donner plus d'argent, et une autre avait pris contact, pour carrément, venir ici en France.
Il n'est pas question pour moi, de polémiquer, ou de porter un jugement sur une famille, qui était effectivement dans le besoin, ou dans une forme de détresse, mais juste de dénoncer les dangers, les risques, ou les dérives qui peuvent survenir, si la notion de parrainage, n'est pas encadrée, dans les règles psychologiques, parfaitement déterminées.
Suite à ces problèmes, l'association PLAN, avait fait le nécessaire, pour que ça ne puisse plus se reproduire, et leur protocole est, je le précise, sur ce point, parfaitement fiable.
Enfin, je veux dire qu'ils ont une grande expérience, du parrainage.
Il est bon de savoir, que suite à mes suggestions, beaucoup d'associations, ont développé le parrainage, qui présente de multiples aventage, dont celui, extrêmement précieux, qui réside dans le fait, qu'au lieu de recevoir de l'argent, massivement, suite à une catastrophe, l'ONG en question reçoit au contraire, l'argent, sur le long terme, et de façon plus régulière, ce qui permet un travail, sur le long court, qui ménage autant le moyen terme, et le long terme, que l'urgence immédiate.
Il peut quelquefois, être parfaitement envisagé, que le parrain, ou la marraine, se rende effectivement sur place, ce qui se fait aussi, mais ce projet est alors, préparé en amont, justement pout en éviter les écueil, et je dois avouer, que ces témoignages, ensuite, concrétisent ce parrainage, de façon particulièrement émouvante, il y a sur le site de l'association, des témoignages, tout à fait touchants.
Parrainage, par Éloignement Géographique.
C'est l'exemple que je cite, plus haut.
Dans l'hypothèse, de parrain, ou marraine qui soit particulièrement généreux, je recommande, EN PLUS DU PARRAINAGE CLASSIQUE ET INDIVIDUEL, que vous êtes en droit de multiplier, votre protégé, ou vos protégés, n'ont pas besoin, d'être informés que vous êtes riche ! Et votre relation, n'en sera que….. Plus riche, encore.
Si vous estimez, qu'ils doivent en être informés, je ne saurai trop vous recommander, de consulter un psy, parce que c'est vous, qui avez un problème avec l'argent, et la relation que vous avez avec…..
Car nous savons tous, que l'argent, pervertit beaucoup de choses, et notamment, la relation que nous avons à l'autre….
Et que certains peuvent être tentés, par le parrainage, pour des raisons qui ne seraient pas les bonnes.
Si vous souhaitez "investir" (je parle affectivement), dans la parrainage, d'aventage que sur le plan individuel, je sais qu'il est possible aussi, d'investir, par le parrainage sur un projet, plus conséquent, et parfaitement déterminé….
Si vous souhaitez que ce projet plus précisément, porte votre nom, quel qu'il soit, et que c'est là votre condition, pour que vous le financiez, je ne connais pas la posture de l'ONG, sur ce point, mais je suppose, que leur position, doit être arrêtée, et pour tout dire, je ne la connais pas.
Il me semble, que cette posture a le mérite, au moins d'être honnête, des lors qu'elle est clairement annoncée, en amont.
Parrainage dans votre ville, ou proche de chez vous.
J'avais suggéré, il y a quelques années, que les ONG œuvrant sur le sol français propose aussi ce parrainage de proximité.
Pour moi, il revêt une importance absolument prépondérante, et présente de multiples avantages….Puisque la rencontre véritable, est effectivement envisageable.
Mais là, encore, dans le cas de parrains, particulièrement aisés financièrement, certaines précautions, doivent être prises, de telle sorte que le parrain, ne se trouve sollicités, "pour de mauvaises raisons".
Sinon, je rappelle que Pascal Plisson avait tourné un film, il y a quelques années, qui s'appelle "sur le chemin de l'école", que j'avais adoré, et qui montrait comment, dans des pays extrêmement defavorisés, certains parents avaient à coeur, de tout faire pour que leurs enfants, aillent à 'ecole, et ce, même si dans leur pays, la scolarité n'est pas encore obligatoire, comme c'est le cas, dans des pays occidentaux. Ce film a été rediffusé, ces derniers temps, et est disponible encre, par le biais de France télévision Education.
Moi aussi, comme Laurent Ruquier, je pourrai l'appeler ainsi, je trouve ça parfaitement légitime, non parce qu'il est "mon pape", mais parce qu'il le mérite amplement, posture que je n'aurai, je crois, jamais adopté, vis-à-vis de ses prédécesseurs, qui ont été bien moins courageux que lui, ne l'a jamais été, depuis le début de sa nomination, en temps que pape.
Pour ce qui concerne le fait, qu'il ait choisi un français, pour ouvrir son cœur, et si j'approuve parfaitement les motivations, qui sont données par l'auteur, je crois que c'est aussi, en partie lié à moi, qui suis française, pour le cas, où certains l'auraient oublié.
Christine Angot, ensuite, explique que sa notion du temps, devient pour le moins contraire, aux propos tenus par l'auteur, si l'on observe que six mois de psychanalyse, lui ait semblé suffisant.
Si je crois avoir un regard à présent assez affuté sur le sujet, tout comme elle, il me semble plutôt hasardeux, de prétendre qu'une psychanalyse soit inefficace, sous prétexte, qu'elle ait été aussi courte….
En effet, chaque individu est unique, il le devient plus encore, au fur et à mesure, que les décennies se déroulent, et posent devant nous d'incroyables obstacles à franchir, et si l'on peut prétendre, dicerner certaines généralités, dans ce domaine, il me semble qu'elle tout comme moi, d'ailleurs, devons a voir la sagesse, de ne pas prendre nos expériences, sur le sujet, comme seul regard qui mériterait de valoir comme généralité….
Pour ce qui concerne le regard qu'il donne, sur les femmes, alors, qu'on lui reproche, que sous prétexte qu'il ait eu quelques petites amies, il ne peut pas les prétendre…
Mais peut on vraiment, aujourd'hui, prétendre les connaître? Ou plutôt NOUS CONNAITRE….
Nous ne pouvons prétendre connaître les femmes, comme n'importe quel autre groupe d'humains, d'ailleurs, que par le regard un peu biaisé, de nos expériences personnelles, qui, si elle peuvent sembler partiales, quelquefois, présentent, au moins, l'aventage, de la bienveillance, enfin, j'ose l'espérer, là, où une plus grande subjectivité, peut être, le serait moins…
Combien d'hommes, aujourd'hui, sont en couple, aujourd'hui, jeunes couples, vieux couples, qui font quelquefois, l'admiration, autour d'eux, alors, qu'une fois, entre leurs quatre murs, ils ne se parlent quasiment, pas, ou peu, et l'un et l'autre, vont confier leurs soucis, à l'extérieur ?
Connaissent ils mieux pour autant, l'autre sexe, que quelqu'un, comme le pape ?... Pas si sûr.
Bon ensuite, en ce qui concerne l'affaire barbarin, par contre je me range entièrement, derrière ce que prétend, Christine Angot….
"Grâce à Dieu, les faits sont prescrits"….
C’est-à-dire que pour barbarin, la réputation de l'Eglise, passe avant l'intérêt des enfants, qui avaient été confiés aux prêtres….
Christine Angot dit : "il considère que le silence des enfants, traduit leur responsabilité", enfin, c'est tourné un peu comme ça.
Quand l'auteur cherche à recentrer la problématique, sur le fait que la pédophilie, doit être revu sous l'angle sociétal donc, surtout, aussi familial, il a parfaitement raison… SAUF QUE…..
Adopter cette tournure, démontre, une méconnaissance absolue de la psychologie de l'enfant, puisque c'est occulter entièrement, le fait que précisément, en temps que "notable spirituel", un prêtre est infiniment plus répréhensible, encore, que ne le serait un autre adulte, qui serait simplement responsable d'un enfant….
Et que c'est justement aussi, parce qu'il s'agit d'un maitre spirituel, que l'enfant se tait, d'autant plus, vis-à-vis de sa famille, et de ses parents…
Pour ce qui concerne le fait, d'observer le fait que l'Eglise, gère des temporalités, je dois admettre, que j'ai du mal, à taire ma colère, parce que la temporalité, j'y vois, moi, une autre notion, qui concerne le temps de prescription, en ce qui concerne les crimes sexuels, en général, et la Loi, qui est si imparfaite, encore, pour l'instant….
Un enfant qui est victime d'un acte pédophile, est entièrement broyé, si cet acte est commis, par un prêtre, il l'est dix fois plus, n'en déplaise à certains, justement, parce que la notion de bienveillance, et de refuge spirituel, s'en trouve assassiné…
Imaginez donc, ensuite, dans quel contexte cet enfant, (qui existe encre aujourd'hui, pour information), et qui va se rendre au catéchisme, sachant que son père et sa mère, souhaite qu'il s'y rende, il n'ose rien dire, de peu du scandale, et ses parents, en gros, l'envoie direct à l'abattoir….
Oui, j'ai bien dit AUJURD'HUI, là, au moment, où je vous parle.
L'Eglise d'aujourd'hui, n'est pas responsable, pour ce cas là, puisque tant que l'enfant, terrifié, n'a pas tiré le signal d'alarme, et que les parents n'ont pas réagi….
Ha, au fait, aujourd'hui, en 2017? Comment, réagit un père ou une mère, qui entend de la BOUCHE DES SON ENFANT, que le prêtre, s'est fait faire une petite gâterie, et qu'il voit son gamin, en pleur, comment, réagit il ?
Est-ce qu'il lui dit, comme je l'ai entendu, les années passées, en disant "tu te tais, tu mens, c'est impossible, " ou bien , "tu vas nous faire remarquer".
Ou bien, "on ira pas au paradis, et ça sera ta faute"…
Ne riez pas,…
Enfin, si riez en, désolée, si je choque, mais à for ce de filer, des coups de tatanes, dans la fourmilière, quelquefois, la colère est si grande….
On nous parle là, une perception, du temps qui passe, aux yeux de l'Eglise, "la bonne blague".
Jusqu'à preuve du contraire, la seule temporalité que connaît la Justice, elle, et la prescription, c'est la temporalité du calendrier, celui, qui, je le rappelle, est basé, au départ, sur le naissance, du Christ, celui là, même que l'on vénère, dans la religion, catholique, ha, ça, pour être "vener", je suis vener…..
Pour information, je signale juste qu'un enfant, quia été victime, d'un pédophile, voir, son traumatisme, inscrit, sur son génome, et que cette trace sur son génome, est inscrite, SUR TROIS GENERATIONS…..
TROIS GENERATIONS…..
Alors, NOUS AUSSUI, LES VICTIMES DE PEDOPHILIE AVONS NOTRE TEMPORALITE !
Pour ce qui concerne les reproches, qui sont faits, sur la responsabilité des enfants…
Je n'ai pas lu, les propos, qui sont reportés dans le livre.
Mais de façon générale, pour qu'un enfant, soit tenté de se confier, à ses parents, quand il subit un acte de pédophilie, il doit se trouver en confiance.
Ce qui traduit, la position, de Christine Angot, et j'espère ne pas la trahir en disant cela, c'est que les choses, sont présentées, comme si l'enfant, parce qu'il a été silencieux, est perçu, comme étant responsable des accusations, qu'il profère ultérieurement.
Je ne crois pas que l'on reprocherait à un enfant de s'être tu, pour un crime semblable, dans un contexte, qui serait en dehors du contexte religieux…
Mais là, PARCE QU'IL S'AGIT DE L'EGLISE, on le lui reproche.
Il me semble que c'est sous cet angle que les choses doivent être observées, parce que la Vérité réside dans le fait, que ça braque l'objectif sur le fait que la pédophilie, serait moins grave dans le cadre religieux qu'elle ne le serait dans les autres sphères sociétales.
Ce qui je prétend là, n'est pas de l'ordre de la suspicion, mais de l'ordre de l'absolue certitude.
Il est probable que beaucoup, qui ont la chance, de ne jamais avoir été confrontés, à la pédophilie, de près ou de loin, et s'il est un point que cette observation, met en évidence, c'est que ça ouvre la boite de pandore, sur le fait, parfaitement positif, celui, là, qui réside, dans le fait, que l'Eglise catholique, au moment, où je vous parle, EST LE SEULE A AVOIR OBSERVE LE PHENOMENE PEDOPHILIE AVEC INTELLIGENCE ET HONNETETE…. De la part du pape.
Car les pédophiles, au sein des autres cultes, eux, agissent en toute légalité, sans que jamais personne ne trouve à y redire.
Je sais, par exemple, qu'aujourd'hui, beaucoup de curseurs, bougent, au sein de l'Eglise, qui tendent à faire évoluer, les choses, sur le mariage des prêtres, par exemple, qui n'est pas le seul point, qui a lui seul, pourrait résoudre, le problème de la négation, du plaisir charnel, vis-à-vis de l'Eglise, nous sommes bien d'accord, mais qui au moins, tend à proposer des solutions….
Aujourd'hui, je sais, parce que j'en ai été informée, que les jeunes hommes, qui souhaitent devenir prêtres, et entament des études, dans cet objectif, font l(objet, d'une détection véritable, relativement au risque pédophile…
Quand je parle "détection", c'est au sens large, qu'il faut l'entendre, et je ne sais pas comment, c'est organisé, mais je sais que c'est fait, véritablement, et la raison, c'est qu'il y a plusieurs années, j'avais m pointé du doigt, le fait, qu'un e pédophile, avéré, avait tout intérêt, à devenir prêtre, puisqu'il savait qu'il serait couvert, par l'Eglise…
Alors, du coup, à présent, ils e anticipent les risques.
Je précise que cette détection ne peut en aucune façon, être sécure à 100%... Quelle qu'elle soit.
Mais au moins, par ce fait, et combiné au fait que l'Eglise, n'est plus considérée à présent, grâce au pape François, comme antinomique avec la psychanalyse, les officiants, qui œuvrent à encadrer les postulants prêtres, agissent en ce sens.
Je précise, d'autre part qu'au sein de chaque diocèse, il y a un psychiatre, qui collabore avec le culte, enfin, c'est le cas pour le diocèse de Rouen, en tout cas, que je connais mieux que les autres, puisque c'est mon diocèse.
Je précise que Monseigneur Lebrun, s'est vu remettre ces jours derniers, la légion d'Honneur.
Je précise ma pensée, s j'ai moi aussi, beaucoup d'admiration pour mon Evêque, je connais fort bien sa position sur le droit à l'avortement, et l'euthanasie…
Mais "ne mélangeons pas tout".
Pour ce qui concerne le rapport au temps, qui est dénoncé par Dominique Wolton, c'est en ce sens, qu'il faut l'entendre…
Ca met alors, parfaitement en lumière, justement, la relation, que nous avons, tout à chacun, avec le culte…
Pour quelle raison, va t'on à l'Eglise, est ce que c'est pour se souvenir de quelle culture nous sommes issus ?
Est ce que c'est pour se retrouver "entre soi" ?
Est ce que parce qu'on croit en Dieu ?
Ne riez pas, certains vont à la messe, alors, qu'ils ne croient pas nécessairement, mais ça les rassure….
Certains croient, et ne veulent pas entendre parler de culte…
Certains y vont uniquement pour les valeurs.
La relation à Dieu, si l'on y croit, est très diverse, celle au culte, l'est d'autant plus.
Et c'est pour cette raison que cette notion de temps, que l'on doit rattacher, à la notion d'adaptabilité, doit être retenue, comme une forme d'indulgence, vis-à-vis du pape, sur ces problèmes de société, il me semble.
Je découvre, en même temps que vous, je vais lire, et ensuite, je commenterai.
Ma conférence écrite.
Conférence pour SECOURS EXPO.
Je me présente, je m’appelle Françoise Niel Aubin.
Je me permets de vous parler, aujourd’hui, de mon cas personnel, non pas dans le but de me mettre en avant, moi, en temps qu’individu, ou en temps que femme, version nombriliste, mais plutôt en temps que patiente, ce que j’ai bien du accepter d’être, pendant plusieurs années, suite, à une dépression aussi sévère que violente.
3 Il est possible que certains considèrent que la dépression, n’entre pas dans le cadre d’une urgence.
4 Grossière erreur.
5 En vérité, le degré d’urgence ou pas, ne peut être connu que par le patient lui même, puisque par définition, quelqu’un qui est en état de souffrance psychologique extrême, a renoncé généralement depuis pas mal de temps, à se confier, à qui que ce soit, « pour ne pas déranger », excepté, quelquefois, à son généraliste, « et encore »….
6 En cas de risque suicidaire d’un proche, la seule option sécure, c’est l’hôpital psychiatrique, vous n’avez aucun état d’âme à avoir, sur le sujet, quelque soit le statut qui est le votre, vis-à-vis de lui, ou elle.
7 Me concernant, je vous passe les détails, parce que sinon, ce soir, nous y sommes encore.
8 Non, ce qui importe, c’est que je mette plutôt l’accent, sur la méthode, que mon instinct, lui, m’ait dictée, et qui importe seul à partager, avec vous, dont la mission, est de venir au secours, de personnes, qui sont dans la détresse, quelqu’en en soit la nature.
9 Alors que j’allais très très mal, ma seconde fille, elle, me proposât d’écouter un artiste.
10 Il s’agit de Thomas Fersen, un auteur compositeur interprète.
11 Dans l’état où j’étais, je dois dire, qu’à part les psychotropes, la drogue, etc, qui ne m’auraient de toute façon pas tentée, je ne me posais pas grand question, et je suivais mon instinct….
12 Enfin, BREF imaginez vous bien que dans l’état où je me trouvais, j’étais un peu prête à tenter n’importe quoi, pourvu que je m’en trouve soulagée.
13 Il se trouve donc, qu’écoutant ses chansons, j’ai eu ce que l’on nomme un coup de foudre artistique.
14 Oui, je dis bien artistique, parce que dans l’état où j’étais pour être franche, je ne risquais pas de tomber amoureuse.
15 Enfin, « pas encore », je veux dire.
16 Enfin, BREF, j’étais dans une bulle, et je me reconnaissais tellement, dans ses chansons, que j’avais le sentiment qu’elles avaient été écrites pour moi.
17 Au bout de quelques jours, littéralement bouleversée, par cette révélation, je décidais de lui écrire, pour lui expliquer ce que je ressentais.
18 La première lettre faisait ça, puis ça, puis ça…….
19 J’avais décidé, moi, que je ne lui écrirai, que quand j’en avais envie, strictement, sans jamais faire la moindre copie, de telle sorte, que ce soit thérapeutique, le plus possible.
20 Exactement comme un exutoire.
21 Bon, je pourrai vous parler de la façon dont ma méthode fût appréciée, moyennement, par la psychiatrie, mais pour être franche, j’ai autre chose à foutre, qu’à déterrer la hache de guerre.
22 Non, ce qui moi, m’importe, réside plutôt, dans le fait, de ressentir le besoin, de faire plus confiance à son instinct.
23 Attention, je ne dis pas qu’il faille toujours y faire confiance, parce qu’il peut arriver, que pour des sombres raisons, liées à différents facteurs, comme une histoire familiale difficile, un profil d’autodestruction, de mutilation, etc, il soit préférable, de ne pas s’y fier, au contraire.
24 Mais quand souffrant, un patient n’a jamais eu envie de se faire du mal, de façon générale, je pense qu’il peut raisonnablement, décider de faire de son instinct, un véritable ami, puisque nous ne sommes que des mammifères, et que cet instinct, à la base, nous a été donné, par notre mère nature, et qu’il est là, pour nous donner à suivre une voie, vers un mieux être, je propose, aux soignants, et aux urgentistes, moi, de penser toujours, à cette option là…..
25 Dire au patient, « qu’est ce que vous en pensez » ?.... Et qu’il sente que son instinct, à lui, peut éventuellement être mis en valeur, comme aide veritable, doit, je pense, être envisagé, plus que ça n’est le cas, aujourd’hui.
26 Ainsi, si un de vos patients, en pleine crise cardiaque vous dit, « ho, oui, vite, mettez moi, très vite du Thomas Fersen, et je sens que mon cœur, va tout de suite, s’en porter mieux »…..
27Excusez moi, moi nez de clown, vient de bondir, ça faisait longtemps.
28 Enfin, j’en viens à vouloir absolument mettre en avant, le fait, que le quotient émotionnel, est une trait de caractère qui doit ne jamais être négligé, et qu’il importe, de dire, à quelqu’un qui souffre, quelqu’en soit la raison, qu’il est parfaitement légitime, d’y avoir recours.
29 Je ne parle pas uniquement, de souffrance, d’ordre psychologique, quand je prétends cela, mais de souffrance, en général.
30 Bien sûr, vous me direz, à juste titre, que quelqu’un qui souffre véritablement, n’est pas en mesure, de pouvoir se rassurer, de cette façon, ce qui est parfaitement légitime.
31 Je pense juste que ce soit un facteur, trop souvent négligé.
32 Pour l’urgence du traitement, un truc que j’avais demandé, moi, il y a bien des années, c’était au moment du tremblement de terre, survenu au Tibet, des cahiers, et des stylos, ça peut sembler anodin, voir stupide, mais je m’en explique, je comprends, que certains puissent trouver ça idiot.
33 Mais suite à un trauma, quelqu’en soit la nature, ce qui importe, c’est que les survivants puissent communiquer, et que cette souffrance réactionnelle, puisse s’extérioriser…
34 Bien sûr, ça ne remplace pas la parole parlée, mais les autres humains, qui sont aussi, dans la détresse, ne sont pas nécessairement disponibles, et donc, pouvoir coucher sur le papier, son ressenti, pour je l’espère, s’autoriser à laisser couler ses larmes, si cette démarche correspond, à un désir réel, est vraiment, j’en suis convaincue, une méthode, qui doit être proposée, chaque fois que possible.
35 Bon, je vais tâcher d’être sage, enfin, autant que faire se peut, et ne pas trop déborder, ce qui pour moi, est un véritable challenge.
36 Je tente de rester dans le registre « urgence ».
37 J’aimerai mettre l’accent, sur le fait, que ce qui importe aujourd’hui, et du coup, me contredis, je vais moi, alors, vous parler de prévention.
38 Ce qui m’importe à moi, puisque la souffrance que j’ai le plus cotoyée, depuis ma plus tendre enfance, ou chez les autres, c’est surtout la souffrance psychologique, c’est de mettre l’accent, sur l’importance, d’apprendre aux enfants, à empêcher, leurs éducateurs, donc, surtout leurs parents, ou leur culture, de poser, devant eux, des portes fermées, qu’ils auront alors, le plus grand mal, à défoncer, ou à ouvrir, parce que leur culture, ou leur éducation, les a façonnés ainsi.
39 Entendre des parents, aujourd’hui, qui se liguent contre la tolérance, contre le fait, de s’adapter aux autres, quand ils pensent autrement, ou sont différents, est pour moi, inconcevable.
40 Il est possible que certains trouvent que mes propos, n’ont rien à faire ici.
41 Mais lors de rixes, de commandos, ou des personnes seules, et armées, qui vont s’attaquer à des minorités, à cause de leurs couleurs de peau, de leur orientation sexuelle, ou de leurs religions, ce sont les flics, et les urgentistes, qui ramassent les morceaux, et personne d’autre…
42 Alors, oui, l’apprentissage de la tolérance, est bien une des clés, qu’il faille apprendre aux enfants, quoi qu’en pensent certains parents, qui eux, choisissent de leur inculquer, au contraire, que de n’être uniquement et strictement, que la réplique idéologique de leurs parents serait la seule voie acceptable et applicable.
43 En ce qui concerne la prévention, donc, je vais finir par le plus jouissif, mais ça serait me renier, que de ne pas en parler.
44 Je veux parler du sens de l’humour, de l’ironie, et j’ose le mot, du dessin de presse, qui est à l’expression artistique, la forme la plus primitive, et peut être justement, pour cette raison avec le musique, la plus sublime, puisqu’elles traversent à elles deux, les cultures, les bois, les forêts, les océans, sans se soucier, ni des religions, ni des frontières, pour communiquer, d’humain à humain, et ce, sans subir la contrainte de la langue.
45 Je veux parler du rire.
46 Certes là, encore, il faut « ne pas trop souffrir », pour en rire.
47 Mais avant d’être la victime de ce qui nous fait si mal, apprendre dès le plus jeune âge, à un enfant, à prendre de la distance, avec ce qui le blesse, ou lui cause du souci, en développant, son sens critique, et la communication verbale, pour qu’il puisse s’exprimer, et se faire respecter, est à mon avis, ce qui importe le plus, pour l’armer, dans le futur.
48 Avant d’en « venir aux mains », comme disait mon papa, un enfant, qui sait, dire sa colère, ou son indignation, de façon verbale, sera infiniment mieux armé, qu’un autre, qui peut être, aura de meilleures notes à l’école….
49 J’entendais, il y a quelques jours, quelqu’un, qui parlait de l’école, et qui disait, critiquant les rythmes scolaires, « Mais ce que nous demandons à l’école, ce sont des résultats, et rien d’autre ».
50 Jamais pour ma part, je ne considérai que d’éduquer un enfant, ce soit d’en faire, ce que l’on nomme, des bêtes à concours », n’en déplaise à certains, que ce soit au sein des familles, ou au sein de l’école.
51 Aujourd’hui, ici en France, et plus encore, à l’étranger, aux USA, notamment, les établissements scolaires, en fin d’année, brandissent leurs résultats, leurs pourcentages, de reçus, non reçus, etc, comme des trophées, quel triste et désolants, et irespectable tableau que voilà, pour l’humanité…..
52 Il persiste juste un énorme problème, qui réside, dan le fait, que ces résultats, ne sont absolument jamais croisés, avec d’une part, la consommation d’alcool, de drogues, du taux de dépression, sur le long terme, et sur le court terme, ainsi que du taux de suicide, chez les jeunes.
53 Les plus belles vertus, que puissent apporter ce que moi, j’appelle une éducation réussie, consiste à transmettre à nos enfants, le pouvoir de s’adapter, de communiquer, de cultiver la curiosité, qu’ils puissent, les jours de découragement, ou de désespoir, par leur instinct, trouver par quelle méthode intellectuelle, qu’un jour de curiosité, dans un livre, en mémoire d’un enseignant, qui l’aura marqué plus qu’un autre, qu’ils puissent regonfler leurs batteries, rebondir, et se satisfaire pour être heureux, de voir le jour se lever, au travers d’une simple fenêtre, s’emerveiller, d’un rien, surtout s’il est gratuit, et à portée de main, voilà, où se trouve l’essentiel, qu’il faille il me semble, transmettre à nos enfants…
54 « Et la réussite par les notes, pour intégrer les bons cursus, me diront certains »…..
55 S’il suffisait d’être bardés de diplômes, pour être à l’abris, quelque soit l’angle observé, je pense qu’on serait déjà tous au courant.
56 Nous sommes ici, parmi des gens civilisés, qui ont parfaitement conscience, que ce qui importe, c’est de déboulonner la souffrance, « à la base », autant que possible.
57 Une fois qu’on a bien bossé sur les bases, ensuite, on peut éventuellement se soucier des détails.
Qu'est ce que moi, j'en pense ? Et bien je trouve que c'est une très bonne idée, certains enfants, soit parce qu'ils ne peuvent pas parler, soit parce qu'ils ont peur, soit parce qu'ils sont trop petits, ne peuvent que mal s'exprimer, ou ne pas s'exprimer du tout, alors, avec la peluche, ça crée un objet transitoire, sur le lequel ils peuvent montrer des points, qui leurs font mal, par exemple, oui, je trouve que c'est vraiment une très bonne idée.
Dans le cas de maltraitance, ou de pedophilie, de façon plus élargie, en observant l'enfant, comme on peut le faire avec une poupée, sur une periode plus longue, les spécialistes, qui bossent sur l'enfance savent ça, qu'on peut comprendre la nature des maltraitances, ou en tout cas, recueillir des indices de probabilité, rien qu'en observant comment un enfant joue avec ses jouets.
voilà, disponible, un certain nombres de videos, sur internet, sur ce sujet.
Pour ce qui est dit, je suis parfaitement d'accord; mMoi, c'est exactement, l sentiment que j'ai eu, aussi, c'est à dire, que compte tenu, du contexte post attentat, il me semble que les entiment, de brassage, émanant, autant des differentes regions, que des differents contextes, qui ont eclairé, la notion du secours, a aidé, à une prise de conscience générale, du bien fondé, de cette simple, enfin, simple, pour moi, en toutcas, de ce qu'on nomme "la BIENVEILLANCE"....
Enfin, personnellement, moi, c'est vraiment en ce sens, que je l'ai vecu.
Bon, sinon, je pose mes commentaires ici, et je pose le lien de l'article, sous la vidéo.
Ce qu'on pourrait améliorer, dans un premier temps, serait, de faire une liste alphabétique, de différentes professions, qui tournent autour de la notion, de secours.
J'ai vu, sur le lien, du journal, que j'ai reçu, qu'on proposait, de rediger des article, chose que je vais donc faire.
Dimanche 24 décembre 2017.
L'edition de fevrier 2018, est cosultable, en suivant ce lien.
Je précise que le fait que je n'ai rien noté de particulier sur l'edition 2017, ne doit pas être perçu comme une baisse d'attention de ma part, mais plutôt, que je n'en ai rien dit, parce que je devais être préoccupée par autre chose d'aussi important.
Pour cette édition, je me suis inscrite, et j'espère pouvoir y venir.
Dimanche 24 decembre 2017.
Je ne sais si certains sujets qui ont beaucoup évolué, ces dernières années, seront abordés, mas la prevention, contre le harcelement de rue, et donc, par concommitance, contre le viol, ou toute forme d'agression, devrait être abordée, et notament, la prevention face au risque pedophile.
Oui, je sais, "ça pique", mais bien moins, que les epines du sapin de Noël, que je dise une chose pareille", et bien "franchement désolée", moi, je fais mon job, et y'a pas de 24 décembre qui tienne.
Si vous voulez, quelques heures avant cette réunion familiale, qu'on appelle, "réveillon", je peux aussi parler du risque, et des politiques de prevention en matière d'inceste, aussi, non ?
Moi, je pense à un truc, enfin, une possibilité de développement. moi, j'ai été assez surprise, de voir une telle diversité d'ouvrages, destinés aux enseignants, ou au personnel, sensés apprendre des notions de secours, tous secteurs confondus.
Ne serait il pas possible de proposer un site internet, qui soit, une émanation du salon, sur lequel on puisse proposer à la vente, les ouvrages, qui étaient présents au salon ?
Je pense aux personnes, qui géographiquement, ne se trouvent pas en région parisienne, au moment du salon, et comme ce sont des ouvrages qui sont très spécialisés, ils ne doivent pas être centralisés nulle part, alors, ça serait peut être bien de les voir regroupés, sur un site commun, et proposés à la vente.
"Il y a urgence. Notre survie sur Terre est menacée et nous devons agir maintenant.
Le dernier rapport du GIEC indique que des changements rapides et de grande envergure doivent être menés si nous voulons limiter au maximum l’augmentation de la température moyenne mondiale. D'après le secrétaire général de l'ONU, nous avons jusqu’à 2020 pour agir. Montée des eaux, inondations, sécheresses, épidémies, famines, réfugié·e·s climatiques : les conséquences nous frappent déjà, et en premier lieu les plus démuni·e·s.
L’urgence n’est pas seulement climatique : les ressources en eau diminuent ; l’eau, l’air et les sols sont pollués ; et nous mettons en danger la survie de nombreuses espèces végétales et animales, mais aussi pour la première fois, la nôtre. Les écosystèmes sont désormais atteints au point de compromettre la survie de l’humanité. Ce n’est pas une crise passagère. Il n’y aura pas de retour en arrière : jusqu’à 35 000 espèces disparaissent chaque année, et elles ne réapparaîtront pas ; une grande partie des ressources finies s’épuisent et ne se régénéreront pas avant des millions d’années ; les littoraux et îles engloutis par la montée des eaux, les lacs et rivières asséchés par le réchauffement, les forêts dévastées par les incendies ne retourneront pas à leur état antérieur. Les changements sont irréversibles.
Nous, habitantes et habitants d’un pays développé, avons conscience que le modèle économique en place est en grande partie responsable de cette situation. Nous avons fait les « gestes pour la planète », scruté notre empreinte carbone, signé des pétitions, marché pour le climat. Et rien de cela n’a suffi. Car, pendant ce temps, les industriels ont continué de polluer et d’épuiser les ressources. Les compagnies pétrolières et de transport aérien et maritime sont toujours exemptées de taxe carbone. Les banques continuent d’investir des milliards dans les énergies fossiles. Pendant que des millions de personnes subissent la précarité énergétique, des multinationales, dont les méthodes annihilent les écosystèmes, sont subventionnées pour extraire des ressources. Pendant que des citoyen·ne·s et des élu·e·s se battent sur leur territoire pour préserver forêts, bocages, rivières..., de « grands » projets délirants soutenus par les finances publiques continuent de voir le jour.
Nous ne sommes pas dupes des discours qui visent à nous rendre toutes et tous également coupables de la catastrophe en cours. Dans ce monde, 70 % des gaz à effet de serre émanent de 100 entreprises. Nous ne nous laisserons pas abuser par des mesures culpabilisantes visant les plus pauvres, alors que les premier·e·s responsables ne cessent de s’enrichir.
Nous n’avons plus confiance en la capacité, ni en la volonté de ce gouvernement ou d’un autre de prendre, sans une forte pression populaire, les mesures que la situation rend nécessaires. La France ne respecte pas même l’accord de Paris, dont elle s’était fait le symbole : loin d’avoir baissé, nos émissions de gaz à effet de serre ont augmenté de 2 % en 2017. En refusant de remettre en question le modèle économique qui nous a conduit à cette situation, et en refusant de reconnaître qu’une croissance infinie dans un monde aux ressources limitées n’est pas viable, notre gouvernement est complice. Quand l’État abandonne délibérément sa responsabilité de protéger ses citoyen·ne·s, il rompt lui-même le contrat social. La révolte devient alors notre droit le plus sacré, et notre devoir le plus indispensable.
Parce que chaque dixième de degré compte, parce que chaque espèce disparue compte, parce que chaque minute compte, nous appelons à la désobéissance civile. Nous sommes prêt·e·s à enfreindre la loi et à en subir les conséquences, y compris l’emprisonnement.
Sur FB, à l'instant:Virginie Carbuccia"On a de gros cinglés à la tête de nombreux pays, mais celui-là, c'est le pire de tous. Comment les Brésiliens ont-ils pu tomber dans ce piège".
Par facilité, ce qui fait la particularité du populisme, c'est justement de faire croire, qu'il existerait des solutions simples, à des problèmes politiques, qui sont toujours complexes et donc, qui demandent le plus souvent, des solutions plurielles, et surtout, qui exigent des mises en pratiques, autant sur le moyens terme, et le long terme, que le court terme...
Des lors, la solution de facilité est envisagée, comme providentielle, et ce sont toujours les minorités, qui en font les frais. Je crois que ma théorie, sauf erreur de la ma part, s'est toujours vérifiée, quelque soit le pays, ou le moment, de l'histoire de l'Humanité.
Francoise Niel AubinNat Snowskye il y a la possibilité de rendre la forêt amazonienne, patrimoine de l'UNESCO, comme je l'avais deja suggéré, à l’époque, peut être que si ça avait été fait à il y a quelques années, comme je l'avais suggéré, ces incendies aujourd'hui, n'auraient pas pu avoir lieu.
Ils recrutent, un chargé de communication, un poste à responsabilité, qui demande certaines competences, précisément.
Pourquoi, est ce un angle du bénévolat, de tout premier choix ?
Parce qu'à une époque, par le biais de la mondialisation, à laquelle chaque citoyen doit d'adapter, ainsi que chaque entreprise, tentée souvent par la délocalisation, pour trouver une main d'oeuvre moins chère, ou par la robotisation, l'être humain, le travailleur, pour dire plus humblement, se retrouve entre le marteau et l'enclume, certes, mieux vaut ça qu'être entre le marteau et la faucille, parce qu'une faucille, ça coupe mais enfin, ça vaut toujours mieux, que la grande faucheuse...
Il n'en demeure pas moins, que l'être humain, semble plus que jamais, une variable d'ajustement, dans le milieu économique, et que sous couvert d'un libéralisme qui prend souvent des airs d'esclavagisme moderne, nous sommes tous, humainement, "du menu fretin"...
Réécoutez l'émission, d'hier soir, "le téléphone sonne", sur France Inter.
Certes, l'ubérisation de notre société, comme dans tous les pays, n'est qu'un aspect qui démontre le véritable mépris, que ressentent les citoyens.
Mais devoir quitter son job, pour cause de date de péremption, vis à vis de ses semblables, n'est pas chose facile, et un futur retraité qui aime son travail, doit pouvoir s'il le désire, mettre son savoir, au service des autres.
C'est en ce sens, précisément, que cette association, prend tout son sens, parce qu'elle met le citoyen en position de mettre son savoir faire à disposition d'assciations, qui elles, recherchent ces compétences.
Cela fait environ 15 jours, que ma voiture neuve, m'a été livrée.
Pour ce qui concerne la voiture en elle même, la conduite est infimiment plus agréable, qu'un moteur à combustion, plus souple, plus fluide, excellente reprise en côte, notamment. pour ce qui concerne l'ordinateur de bord, et la synchronisation avec mon I phonne (neuf, lui aussi), j'en suis encore au minimum syndical, parce que je n'ai pas trouvé le temps encore, de m'y plonger.
Oui, ils auraient pu s'en charger, ils le font, il me semble, généralement, mais le fait que je rencontre des problèmes, au sujet du rechargement a modifié un peu, leur stratégie, me concernant.
Au moment où je vous parle, je ne peux donc recharger que chez eux.
Qu'on se rassure, des que je vais là bas, ils me deposent où je veux, et font le taxi, pour que je sois incommodée, le moins possible.
Je rappelle juste que comme d'habitude, "j'essuie les plâtres", et qu'à ce titre, j'ai acheté un aspirateur, ce qui me simplifie considérablment la vie.
Il est possible que certains dysfonctionnements ne soient liés qu'à ce fait.
Première observation, des que vous tapez sur le moteur de recherche, "où recharger ma voiture électrique", vous disposez deja, de pas mal d'entreprises, qui prétendent vous fournir le fameux badge, je devrai plutôt dire, "le sésame", qui va vous permettre de pouvoir recharger votre voiture, où que vous soyez.
Seulement, c'est sans compter que selon que vous vous trouvez, éventuellement, sur une zone blanche donc, où par définition, le portable ne passe pas, ou bien, certains opérateurs passent alors que précisément, ça n'est pas VOTRE OPERATEUR, et donc, vous êtes chocolat....
Si vous avez un souci, par contre, on donne un 06... Mais vous êtes en zone blanche, et si par miracle, ça capte, vous tombez sur... Un répondeur....
Telle société propose un badge, où la tres grande majorité des bornes sont répertoriées, et donc, vous êtes quasiment certain qu'avec ce badge, vous pourrez recharger où que vous soyez...
Ha, zut, une fois chargé l'appli, une de plus, (je devais bien êtres, la troisième ou quatrieme, sur ce sujet), vous avez acces à la géolocalisation des bornes, et sur ce point, mon I phone neuf, assure au moins autant que gougoule....
Et là, "tonnerre de brest", pour ne pas dire, "moule à gauffre", vous vous appercevez, que zut, de bordel à couilles, justement, celle de mon village, n'est pas repertoriée par cette appli, qui pourtant, vantait les mérites, de couvrir tout le territoire.
Ce qui en ressort, depuis 15 jours, au sujet des bornes de rechargement, c'est quand même, une sacrée opportunité, de se faire pour certains, un bon coup de pub, alors, que dans la pratique, pour le consommateur, on a vraiment le sentiment, que c'est la loi de la jungle....Ou si vous préférez, "un joyeux fouttoir".
J'entendais aux infos, ce matin sur France Inter, que globalement, au sujet des bornes de rechargement, le nombre en ville, était nettement insuffisant.
Sinon, pour ce qui concerne la voiture, en elle même.
J'en suis vraiment ravie, à tout point de vue.
Un autre aventage, non négligeable, dont personne ne parle, c'est pour les demarrages en côte....Les "bip", quand on se gare, aussi, quand on s'approche, physiquement, un peu trop de quelquechose, signalé par un signal sonore, là, où dans le rétro, si bon conducteur soit on, je trouve ça pratique.
Pour ce qui concerne les câbles, par contre, un detail pourrait, être utile.
La loi européenne désormais, impose que chaque voiture électrique, soit fournie avec les deux cables, c'est à dire, celui, pour une charge "prise de terre", à ne pas confondre, avec la "prise de tête", quand vous recherchez désespérément où charger votre voiture... Et l'autre, qui est la prise universelle, indispensable pour les bornes.
Sachant que ces deux câbles sont relativement longs (ce qui est necessaire), lourds et encombrants, par temps sec, ça ne pose pas de problème... Mais imaginons, un temps tres mauvais, et plusvieux, combiné, au fait, que les deux câbles sont identiques, et que ça n'est que leurs extremités qui les différencient, je pense qu'il serait bien vu, que les deux câbles soient differenciés, par une couleur différente, ou un simple fil, dans la matiere, sur l'un d'eux, afin, qu'on puisse bien les reconnaitre dans le coffre de la voiture.
Personnellement, j'ai acheté du chatterton, hier, pour le faire.
L'idéal, à l'avenir serait que le câble puisse bénéficier d'un enrouleur, peut être, comme ça se produit, pour les pistolet quand vous mettez de l'essence.
Un autre souci, reside dans le fait qu'une voiture sécurisées, comme elles, le sont, et c'est bien normal, bénéfcient de différents systêmes de sécurité, quand la température, est trop élevée.
Certes, quand vous rechargez votre voiture, à domicile, il n'y a pas de souci.
Ces jours derniers, 42°, à Barentin, ici, en Haute Normandie.
Le capot fermé (interdiction d'ouvrir quoi que ce soit pendant la charge).
Sous le capot, la température doit monter, peut être, à 60°, ou plus.
Résultat, la voiture se met en veille, parce que le ventilateur, refroidit la batterie, pour assurer la sécurité, et pour celà, cesse de charger.
Imaginons la scène, avec dans la voiture, toute la petite famille, et des enfants en bas age, sous la cagnard.
Sur les autoroutes, la charge se fait parait il, en une demi heure.
Parfait.
Qu'en est il, dans la réalité, avec une températue extérieure, de 40° ?
Conclusion, il faut impérativement, que les bornes de recharge, si l'on observe le réchauffement climatique, soient équipées d'abris, pour les protéger du soleil.
Peut être qu'il serait bon aussi, qu'on puisse vérifier la température sous le capot, à proximité de la batterie, pour que par anticipation, on puisse déterminer où faire la recharge, de façon plus sécurisée, côté température.....
Quels sont les risques, alors ?
Tel que c'est conçu, là, aucun... Puisque par sécurité, tout se met en veille, donc, y compris, la rechargement, pour justement assurer la sécurité.
C'est au niveau du temps de charge, que ça pose alors problème.
Sinon, côté charge.
On oublie, de vous preciser que pour recharger votre voiture, à domicile, il arrive que votre installation, ne permette pas la charge, malgré le fait que votre prise de terre, soit parfaitement conforme.
On vous propose alors, plusieurs devis, avec plusieurs types de prises, de la plus rapide (2000€), à la plus courante, qui est parfaitement suffisante (450€).
La puissance de votre compteur, aussi, et la nature de votre abonnement, jouent un rôle important, et personne ne vous le précise, quand vous achetez votre voiture.
Pourtant, venir simplement au domicile avec une voiture électrique et observer si ça fonctionne ou pas, serait vraiment facile à faire, non ?
Bon, pour l'instant, je n'ai rien à rajouter. Au fur et à mesure, je viendrai poser d'autres commentaires, si necessaire.
2 Août 2019.
Difficile de caler un RV, pour qu'on vienne me poser la prise exterieure...
"On se calme"....
J'ai droit à un traitement de faveur, comme vous le savez, aussi se passe t il des choses étranges, quelquefois.
Ainsi, je refais un essai, sur une prise de terre parfaitement conforme, qui a été repiquée directement du compteur, conformement à ce que les techiniciens de chez Renault exigent, et conformément à ce qu'on exige, en matiere de sécuité, pour brancher à un appareil de chauffage, l'hiver.
MIRACLE, ça fonctionne.
PARFAIT.
Comment ils ont fait ? Je suppose, qu'ils ont modifié, la puissance de mon compteur, sans m'en avertir, ou alors l'alimentation était vérouillée intentionnellement, au sein même de la voiture.
Juste un détail.... Je ne peux donc charger, pour linstant, qu'on depannage de cette façon, en attendant la prise extérieure.
En effet, la fenêtre ouvete, quand je suis à domicile, super, aucun souci.
Mais impossible de charger la nuit, pour cause de fenêtre ouverte, ou bien de sortir, sur une longue distance, deux jours d'affilée, puisque la batterie basse le soir, ne peut être rechargée, pendant la nuit, pour le lendemain matin.
Certains, alors, doivent se dire, "mais enfin, une prise exterieure, tu fermes la maison, pour dormir, comme tout à chacun, qui surveille ta voiture ? Et qui empêche que quelqu'un, puisse se brancher, sur ta prise ?
Pour la premiere remarque, une fois la prise branchée sur la voture, un clic de condamnation, vérouille le système, et seul le badge qui vaut comme clé de contact, peut le vérouiller, tout comme la trappe d'acces.
Pour la prise extérieure, par contre, j'ai demandé à ce qu'on me pose un portail neuf, et j'attends toujours....
En somme, j'aimerai bien qu'on me pose, quand même cete prise extérieure, SVP, que ça recharge la nuit, sans craindre qu'on ne s'introduise dans ma maison, et que je puisse dormir, du sommeil du juste....
6 Août 2019.
J'ai reçu, hier, un nouveau devis, pour poser une prise, de recharge, pour ma voiture electrique, pour une borne rapide.
Nous en sommes, à present, à 1900€....
Pour ce qui me concerne, une prise ordinaire, donc, plus longue à charger, me semble, parfaitement suffisante.
Il s'agit de la prise Green-Up ZE, qui va m'être posée, par l'entreprise Proxiserve, qui va ne me coûter que 438€.
Ce devis (qui a été deja accordé par l'UDAF), incluent la livraison de l'infrastructure d'un vehicule electrique, son installation, ses tests de fonctionnement, et sa mise en service.
Je n'attends, qu'ils ne me fixent le RV pour la pose.
Merci, votre note vient d'être comptabilisée.
Merci, mais vous avez déjà voté pour cette page, réessayez plus tard.
Vous devez être connecté pour pouvoir voter
★★★★★
Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !